Jevous informe que le collectif "pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne" appelle Ă  nous mobiliser suite aux projets gouvernementaux concernant les modes d'accueil des jeunes enfants. Il est donc organisĂ© une Manifestation : le samedi 5 dĂ©cembre Ă  Paris Ă  14h30 place de l'OpĂ©ra. Mobilisons- nous pour des modes d'accueil de qualitĂ© pour les jeunes enfants !!! Pour En deux mois les de la petite enfance ont Ă  nouveau fait grĂšve Ă  deux reprises dans toute la France, en dĂ©pit des contraintes de la crise sanitaire, pour une rĂ©forme des modes d’accueil favorable aux tout petits. Ce 30 mars, comme en fĂ©vrier, des centaines de crĂšches Ă©taient dans le mouvement, et les dans la rue dans 40 villes, 1300 Ă  Paris, 250 Ă  Toulouse, 200 Ă  Lyon et Nice, 150 Ă  Montpellier et une centaine Ă  Marseille, Pau, Limoges, Dijon, Carcassonne, Toulon... Sur la page facebook du ministĂšre de la santĂ©, plus de 100 tĂ©moignent sur les conditions actuelles d’accueil dans les crĂšches et dĂ©noncent leur prochaine aggravation si la rĂ©forme venait Ă  s’appliquer. Il y a plusieurs mois, la Commission des 1000 premiers jours Ă©mettait des prĂ©conisations pour un accueil de qualitĂ© dont aucune n’est retenue dans la rĂ©forme gouvernementale. Reçus par le directeur de cabinet d’Adrien Taquet, aucune de nos demandes pour assurer la qualitĂ© d’accueil la plus Ă©lĂ©mentaire n’a trouvĂ© grĂące aux yeux du gouvernement ni l’extension Ă  12 heures par an du temps d’analyse de pratiques en crĂšche et son application de droit aux assistantes maternelles, ni l’exclusion des apprentis du calcul du taux d’encadrement, ni le principe de prĂ©server un taux d’encadrement des bĂ©bĂ©s d’un pour cinq en cas de choix par le gestionnaire d’un taux moyen d’un pour six, ni la conservation d’un ratio 40/60 en permanence et pas en "moyenne annuelle". Le grand Ă©cart entre les dĂ©clarations de principe ‐ rĂ©fĂ©rence permanente Ă  la charte d’accueil du jeune enfant ‐ et les mesures concrĂštes de la rĂ©forme se confirmerait‐il comme la marque de fabrique de la politique gouvernementale envers la petite enfance ? Nous ne nous rĂ©soudrons pas Ă  abandonner la cause des tout petits. Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne appelle les de la petite enfance, les parents, les les Ă  tĂ©moigner inlassablement de la rĂ©alitĂ© actuelle dans les modes d’accueil et de leur opposition Ă  voir la qualitĂ© d’accueil se dĂ©grader encore tĂ©moignages sur Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne tiendra une visioconfĂ©rence de presse le mercredi 14 avril Ă  11h lien Ă  venir. Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne appellera prochainement les parents et les Ă  de nouvelles mobilisations pour un vĂ©ritable printemps des modes d’accueil. 1« Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne » Ă©tait le titre d’une pĂ©tition nationale diffusĂ©e au printemps 2009, qui portait sur les conditions d’accueil des jeunes enfants. Le collectif qui en Ă©tait

ï»żDans un communiquĂ© adressĂ© aux candidats aux lĂ©gislatives Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne rappelait que le collectif poursuit son combat pour le dĂ©veloppement des modes d’accueil qui est indissolublement liĂ© Ă  l’amĂ©lioration de la qualitĂ© d’accueil des jeunes enfants. Or, la rĂ©cente rĂ©forme des modes d’accueil et les derniers textes Ă  venir vont signer la dĂ©gradation de cette qualitĂ© le nombre de bĂ©bĂ©s accueillis par en crĂšche peut passer de 5 Ă  6, l’accueil d’enfants en surnombre sera possible tous les jours de la semaine, la surface minimale par enfant sera rĂ©duite dans les agglomĂ©rations denses en population par rapport au reste du territoire, les assistantes maternelles pourront accueillir jusque 8 enfants en pĂ©riode de vacances... Les prochains textes envisagent Ă©galement, au prĂ©texte de la pĂ©nurie de qui s’aggrave, que des personnes sans aucun diplĂŽme ni expĂ©rience auprĂšs de jeunes enfants, au terme d’un simple parcours d’intĂ©gration d’un mois, puissent ĂȘtre recrutĂ©es en EAJE pour une proportion de 15% de l’effectif auprĂšs des enfants. Un "ComitĂ© de filiĂšre" a Ă©tĂ© mis en place pour rĂ©soudre notamment les problĂšmes d’attractivitĂ© des mĂ©tiers de la petite enfance. Les informations qui nous parviennent des travaux de ce comitĂ© nous inquiĂštent fortement, en particulier sur la qualification des toujours au prĂ©texte de la pĂ©nurie actuelle, et donc sur la qualitĂ© future de l’accueil des jeunes enfants. Quant au SĂ©gur de la santĂ©, il ne s’applique toujours pas aux de la petite enfance dont les mĂ©tiers n’ont pas Ă©tĂ© revalorisĂ©s, ce qui est pourtant indispensable si l’on veut rĂ©tablir l’attractivitĂ© du secteur... Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne va interpeller le nouveau gouvernement et les nouveaux groupes parlementaires afin qu’ils reviennent sur les mesures les plus dĂ©favorables de la rĂ©forme impactant la qualitĂ© d’accueil. Nous les alerterons sur l’effondrement des capacitĂ©s d’accueil qui s’annonce si les conditions d’accueil ne sont pas revues, car les risquent, encore plus, de quitter en masse le secteur les tĂ©moignages recueillis depuis un an sur le site en attestent. Nous demanderons aux autoritĂ©s de prendre en compte nos 20 propositions pour redonner toutes leurs places aux bĂ©bĂ©s . Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne reste mobilisĂ© aux cĂŽtĂ©s des des modes d’accueil et se tient prĂȘt Ă  les appeler Ă  redescendre dans la rue dĂšs les premiers temps de la rentrĂ©e pour faire entendre la voix de la petite enfance si les Ă©lus ne redressent pas la barre !

Pasde bébés à la consigne. 15,629 likes · 15 talking about this. Pas de bébés à la consigne est un collectif, créé en 2009, qui défend un accueil
La CGT de la ville de Lyon tient Ă  remercier tous les agents, les parents ainsi que les employĂ©s des crĂšches privĂ©es et associatives qui se sont mobilisĂ©s ce 28 mars Ă  l’appel du collectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne ». A la ville de Lyon 270 agents se sont dĂ©clarĂ©s grĂ©vistes, 3 crĂšches Ă©taient fermĂ©es et 38 partiellement ouvertes sur les 52 que compte la ville, grĂące entre autres au travail de terrain de la CGT. MalgrĂ© le succĂšs de cette mobilisation, plus de 300 personnes prĂ©sentes au rassemblement, celui-ci laisse un goĂ»t amer. La dĂ©lĂ©gation reçue Ă  la prĂ©fecture n’était pas reprĂ©sentative du collectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne », Ă©tant composĂ©e uniquement de reprĂ©sentants syndicaux de la CFDT. Les militants CGT pourtant prĂ©sents en nombre n’ont pas Ă©tĂ© conviĂ©s Ă  rejoindre la dĂ©lĂ©gation. A leur retour la dĂ©lĂ©gation qui devait reprĂ©senter le collectif, les reprĂ©sentants CFDT nous ont fait part de l’entretien et des revendications portĂ©es. Celles-ci ne vont pas le sens des revendications de Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne ». La dĂ©lĂ©gation s’est bornĂ©e Ă  demander que l’ordonnance contre laquelle nous nous battons devienne une loi parce qu’une loi est amendable ». Nous avons Ă©tĂ© interpellĂ©s par de nombreux manifestants nous demandant si nous Ă©tions d’accord avec la dĂ©claration citĂ©e. Pour nous, Ă  la CGT, la sĂ©curitĂ© de nos enfants, leurs conditions d’accueil, la dĂ©gradation des conditions de travail des agents et du service rendu sont trop graves pour rĂ©sumer cette loi rĂ©trograde Ă  un simple problĂšme lĂ©gislatif, quelle que soit la forme, ordonnance, dĂ©cret ou loi, nous sommes et serons toujours contre. Cette rĂ©forme rĂ©trograde aura des consĂ©quences sur la qualitĂ© d’accueil de nos enfants, du nombre d’enfants accueillis par mĂštre carrĂ© dans une crĂšche, du nombre de personnel prĂ©vu pour le taux d’encadrement. Nous continuerons Ă  nous battre et mettrons tout en Ɠuvre afin de rendre un service public de qualitĂ© partout et pour tous. Le 29 mars 2019
SuiteĂ  la manifestation de notre opposition aux mesures envisagĂ©es, le gouvernement vient d’annoncer le 2 avril 2009, par la voix du directeur de cabinet de Madame Morano, secrĂ©taire d’Etat Ă  la famille, que les taux d’encadrement des enfants dans les Ă©tablissements et services d’accueil ne seraient pas modifiĂ©s (un adulte pour 5 bĂ©bĂ©s et un adulte pour 8
Ce mardi 30 mars, un mouvement de grĂšve national peut perturber l'accueil des tout-petits dans les crĂšches. Ce mardi 30 mars, un mouvement de grĂšve national peut perturber l'accueil des tout-petits dans les crĂšches. PHOTO ARCHIVES PIERRE ROUANET LA VOIX DU NORD - VDNPQR PubliĂ© 30 Mars 2021 Ă  11h43 Temps de lecture 1 min Pas de bĂ©bĂ© Ă  la consigne ! ». C’est le mot d’ordre de ce mouvement de grĂšve initiĂ© ce mardi en France dans les crĂšches, Ă  l’appel de plusieurs syndicats CGT, CFDT, FSU, FO, Sud, et le Syndicat national des professionnels de la petite enfance, SNPPE. Les syndicats montent au crĂ©neau contre la rĂ©forme des modes d'accueil, initiĂ©e par le secrĂ©taire d'État chargĂ© de l'Enfance et des Familles, Adrien Taquet, et lancĂ©e depuis janvier. Cette rĂ©forme prĂ©voit notamment de rĂ©duire le taux d'encadrement des professionnels, en passant d’un professionnel pour six enfants au lieu de cinq enfants qui ne marchent pas, ou huit enfants qui marchent, prĂ©cise Le Figaro. Le texte doit entrer en vigueur Ă  la rentrĂ©e de septembre. Augmenter le nombre de places Cette rĂ©forme doit permettre d’augmenter le nombre de place en crĂšches. Mais toutes les recherches montrent qu’il faudrait une adulte pour cinq bĂ©bĂ©s, voire une pour quatre », s’était dĂ©jĂ  indignĂ©e Birgit Hilpert, porte-parole du collectif Pas de bĂ©bĂ© Ă  la consigne » auprĂšs de 20 Minutes. Le gouvernement va Ă  l’encontre des recommandations des spĂ©cialistes de la petite enfance », ajoute-t-elle. Lire aussi Climat Élisabeth Borne dĂ©bloque 1,5 milliard d’euros pour aider les collectivitĂ©s Inflation la hausse des tarifs de l’électricitĂ© en 2023 sera contenue», promet Bruno Le Maire HarcĂšlement victime, tĂ©moin, prĂ©vention, tĂ©moignage... ce qu’il faut savoir avant la rentrĂ©e Poursuivez votre lecture sur ces sujets GrĂšve Syndicats Enfants France ConfĂ©dĂ©ration gĂ©nĂ©rale du travail A lire aussi Climat Élisabeth Borne dĂ©bloque 1,5 milliard d’euros pour aider les collectivitĂ©s Inflation la hausse des tarifs de l’électricitĂ© en 2023 sera contenue», promet Bruno Le Maire HarcĂšlement victime, tĂ©moin, prĂ©vention, tĂ©moignage... ce qu’il faut savoir avant la rentrĂ©e Je suis fiancĂ©e Ă  mon prince charmant marocain» la Nordiste Iris Mittenaere va se marier Tuerie de Chevaline dix ans aprĂšs, le quadruple meurtre toujours aussi mystĂ©rieux Incendies en Gironde voici pourquoi le vin risque d’avoir un goĂ»t dĂ©sagrĂ©able» Voir plus d'articles

Pasde bébés à la consigne. 15,209 likes · 44 talking about this. Pas de bébés à la consigne est un collectif, créé en 2009, qui défend un accueil de qualité pour les jeunes enfants en

CommuniquĂ© de presse du collectif "Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne" dont la FSU Territoriale est membre. AprĂšs le drame survenu la semaine derniĂšre dans une micro‐crĂšche de la ville de Lyon, nous nous associons trĂšs sincĂšrement Ă  la douleur de la famille, et nous rappelons que seuls les services de police et de justice sont fondĂ©s Ă  faire la lumiĂšre sur cet Ă©vĂ©nement tragique. Tout en faisant preuve de la plus grande prudence quant aux liens Ă  Ă©tablir entre cela et la situation gĂ©nĂ©rale des crĂšches, le collectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne rappelle qu’il alerte depuis des annĂ©es sur la dĂ©gradation des conditions d’accueil des jeunes enfants, notamment en structures collectives, et sur celle des conditions de travail des Le collectif s’est mobilisĂ© depuis 2018 avec de trĂšs nombreux collĂšgues pour dĂ©noncer la rĂ©forme, dite loi ASAP, des modes d’accueil portĂ©e par le gouvernement Macron, qui aboutit encore Ă  dĂ©qualifier les mĂ©tiers de la petite enfance et Ă  dĂ©rĂ©glementer le secteur. Nous avons fait des propositions, nous avons manifestĂ© mais n’avons jamais Ă©tĂ© entendus, pas plus que la Commission des 1000 premiers jours qui a Ă©galement proposĂ© vainement au gouvernement de rĂ©hausser les standards d’accueil en crĂšche. Depuis longtemps, nous affirmons que rester seul en accueil collectif avec un ou plusieurs enfants ne permet pas de garantir la sĂ©curitĂ© des enfants et des professionnels. Avant les dĂ©crets dĂ©rogatoires adoptĂ©s durant la crise sanitaire, seules les micro‐crĂšches avaient cette possibilitĂ© rester seul jusqu’à 3 enfants, aujourd’hui toutes les structures collectives peuvent utiliser cette disposition. Par ailleurs les conditions d’accueil sont devenues extrĂȘmement compliquĂ©es manque de personnel, dĂ©gradation des taux d’encadrement, recours Ă  du personnel peu qualifiĂ©, possibilitĂ© d’accueil en surnombre des enfants tous les jours. Ces situations du quotidien conduisent les au bord de pratiques qu’ils jugent eux‐mĂȘmes potentiellement maltraitantes, selon de nombreux tĂ©moignagescf. S’il est bien Ă©vident que la responsabilitĂ© civile et pĂ©nale est engagĂ©e pour tous les professionnels du secteur et que chacun doit rĂ©pondre de ses actes, les questions se posent quant aux responsabilitĂ©s des pouvoirs publics et Ă  celles des gestionnaires des Ă©tablissements d’accueil, de garantir une rĂ©glementation et son application pour offrir des conditions d’accueil aux jeunes enfants, en toute sĂ©curitĂ© psychique et physique dans tous les modes d’accueil. Documents associĂ©s Le04/07/2022. CommuniquĂ© de presse du collectif "Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne" dont la FSU Territoriale est membre. AprĂšs le drame survenu la semaine derniĂšre dans une micro‐crĂšche de la ville de Lyon, nous nous associons trĂšs sincĂšrement Ă  la douleur de la famille, et nous rappelons que seuls les services de police et de justice
Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne ! Un rassemblement et une grĂšve avaient pour but de prĂ©server la qualitĂ© d’accueil des jeunes enfants. Le personnel des crĂšches ne veut pas de dĂ©gradation du mode d’accueil des petits enfants Il s’inquiĂšte d’une nouvelle rĂ©forme gouvernementale gardĂ©e secrĂšte aprĂšs le dĂ©cret Morano de 2009 qui viserait Ă  rĂ©duire l’encadrement et la surface par enfant. Actuellement, il faut 7 mÂČ par enfant, l’espace serait rĂ©duit Ă  5, 5 mÂČ L’encadrement est actuellement d’une auxiliaire pour 5 bĂ©bĂ©s et une pour 8 enfants qui marchent. Avec cette rĂ©forme, le personnel qualifiĂ© pourrait ĂȘtre remplacĂ© par des personnes non qualifiĂ©es. Les manifestantes rejettent la marchandisation de la petite enfance. Il faut savoir que le financement par la CAF dĂ©pend du taux d’occupation. On assiste aussi Ă  la multiplication des crĂšches privĂ©es, plus chĂšres pour les parents. Selon la dĂ©lĂ©guĂ©e CFDT, la qualitĂ© de l’accueil est maintenue pour l’instant Ă  Besançon dans les 12 crĂšches municipales sous la responsabilitĂ© des Ă©lus M Dahoui et de Madame Rosa Rebrab La mairie de Besançon a mis en place un guichet unique pour inscrire son enfant soit dans une des 12 crĂšches collectives offrant 470 places pour un accueil rĂ©gulier, soit dans les crĂšches familiales ou les haltes garderies Un rassemblement a Ă©tĂ© organisĂ© Ă  14 h esplanade des droits de l’homme avec le soutien des syndicats CFDT, FO et Sud. Le personnel de la crĂšche des Chaprais, rue Suard, une des plus grosses de la ville Ă©tait reprĂ©sentĂ© Un petit groupe qui travaille dans une crĂšche privĂ©e Ă©tait aussi prĂ©sent Selon le syndicat FO, 152 agents de la Petite Enfance Ă  Besançon se sont dĂ©clarĂ©s grĂ©vistes ce jeudi 23 mai 2019 Cette mobilisation entre dans le cadre d’une mobilisation nationale des agents des structures de la petite enfance. Le but du mouvement est de prĂ©server la qualitĂ© d’accueil des jeunes enfants. Les syndicats craignent des mesures du projet de rĂ©forme du ministĂšre de l’action sociale et de la santĂ© taux d’encadrement dĂ©gradĂ©, possibilitĂ© d’accueil en surnombre, surface d’accueil rĂ©duite, etc. Voici les revendications du mouvement national Atteindre l’objectif d’un ratio moyen d’encadrement d’un professionnel pour cinq enfants en Ă©tablissement d’accueil du jeune enfant Ă  l’horizon 2022. Revenir Ă  un ratio d’au moins 50% de professionnels les plus qualifiĂ©s en EAJE, mesure qui devrait ĂȘtre immĂ©diatement suivie d’un plan de formation initiale et continue permettant d’élever progressivement ce ratio. Limiter les possibilitĂ©s d’accueil en surnombre Ă  110% de l’effectif en EAJE. Garantir une surface de 7 mÂČ minimum par enfant. Élever globalement les niveaux de qualification de l’ensemble des professionnel-le-s des modes d’accueil individuels et collectifs, en formation initiale et formation continue diplĂŽmante et permettre Ă  tous de bĂ©nĂ©ficier de rĂ©els parcours de promotion professionnelle. Instituer et financer des temps d’analyse sur les pratiques professionnelles en EAJE et pour les assistant-e-s maternel-le-s exerçant Ă  domicile. RedĂ©finir le mode de financement des EAJE en encadrant la tendance Ă  rentabiliser » les temps d’accueil au dĂ©triment de la qualitĂ© d’accueil. About Author Billets similaires
LUnion Locale CFDT de BAR LE DUC appelle à une Mobilisation générale le 8 avril pour le retrait du nouveau décret sur l'accueil collectif, pour un plan d'urgence pour la petite enfance. CFDT - Pas de bébés à la consigne
l'essentiel "Les bĂ©bĂ©s ne sont pas des sardines", qu’on entasse. Les professionnels de la petite enfance ont utilisĂ© des slogans chocs, hier, pour dire leur opposition Ă  la future ordonnance qui risque de dĂ©grader fortement les conditions d’accueil des bĂ©bĂ©s. Le mouvement national "Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne", s’est mobilisĂ© hier, devant la prĂ©fecture, Ă  l’appel de la CFDT Interco. L’appel a rassemblĂ© une centaine de professionnels de la petite enfance, inquiĂšte des consĂ©quences des mesures par ordonnance et dĂ©crets, actuellement Ă  l’étude par le gouvernement. Les professionnels craignent des changements dans l’accueil et la prise en charge des enfants. En attendant cette ordonnance qui devait "tomber en fĂ©vrier", mais sera reportĂ©e selon les syndicats, place donc Ă  l’apprĂ©hension. "Notre travail n’est pas de mettre des enfants dans une piĂšce et de fermer la porte", rappelle GaĂ«l Lafarge, secrĂ©taire adjoint dĂ©partemental CFDT. Un surnombre de 115 % ?Les personnels de la petite enfance qui attendent l’aboutissement des Ă©changes, souhaitent des prĂ©cisions sur le ratio de 50/50 avec des professionnels diplĂŽmĂ©s d’État, une surface de 7 m2 par enfant accueilli, des horaires dits "atypiques", sous condition, une reconnaissance salariale des postes de direction par un dĂ©roulement de carriĂšre et une capacitĂ© "du surnombre" limitĂ©e Ă  110 %. "Aujourd’hui, le gouvernement veut aller Ă  une capacitĂ© de 115 %, du lundi au vendredi, vous imaginez les conditions d’accueil", ajoute GaĂ«l Lafarge. Ces professionnels souhaitent Ă©galement une reconnaissance des compĂ©tences des puĂ©ricultrices et infirmiĂšres par une valorisation financiĂšre. Globalement, Interco CFDT demande au ministĂšre en charge de ce dossier "d’abattre ses cartes" rapidement."Il y a eu des Ă©changes entre les syndicats et le secrĂ©tariat d’État Ă  la cohĂ©sion social, il y a plus d’un an de cela. Depuis, on n’a plus de nouvelles. Il est temps de savoir ce que le gouvernement prĂ©voit", ajoute le reprĂ©sentant syndical. À l’issue de la manifestation, une contribution, rĂ©digĂ©e par la CFDT, a Ă©tĂ© remise Ă  la prĂ©fecture. La contribution demande, entre autres, "un changement de paradigme par la prise en co mpte d’abord de l’enfant dans une sphĂšre sĂ©cure et bienveillante". hy5rU.
  • il6oec35fh.pages.dev/968
  • il6oec35fh.pages.dev/13
  • il6oec35fh.pages.dev/611
  • il6oec35fh.pages.dev/813
  • il6oec35fh.pages.dev/422
  • il6oec35fh.pages.dev/485
  • il6oec35fh.pages.dev/870
  • il6oec35fh.pages.dev/516
  • il6oec35fh.pages.dev/918
  • il6oec35fh.pages.dev/512
  • il6oec35fh.pages.dev/917
  • il6oec35fh.pages.dev/736
  • il6oec35fh.pages.dev/546
  • il6oec35fh.pages.dev/909
  • il6oec35fh.pages.dev/754
  • pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne