Forum Bricolage Jardin - Assainissement - VRD andre171 Messages 166EnregistrĂ© le 23 Juil 2007 1029 Bonjour, Ce matin, j'ai achetĂ© un litre d'herbicide Clinic Ace dont notice ci-aprĂšs Sur base de cette derniĂšre, j'en arrive Ă considĂ©rer que pour traiter au pulvĂ©risateur Ă dos 10 mÂČ il faut diluer 4ml d'herbcide dans 0,3 litre d'eau. Cette quantitĂ© d'eau me paraĂźt bien faible pour traiter 10mÂČ, de sorte que je me permets de demander vos avis sur les proportions en cause ! jacmat Messages 2132EnregistrĂ© le 03 Jan 2009 1844 par jacmat » 09 Mar 2012 2217 bonjour, ton calcul est bon, car il faut 4 litres pour 10000 m2, soit 4000mlSi tu divises par 1000 pour atteidre tes 10 m2 il te faut donc 4 ml c est a peu prĂšs les mĂȘmes proportions que pour le roundup bonsoir! je planifie de traiter les plantes de mon jardin 45mÂČ et je me demandais s'il Ă©tait plus judicieux de faire appel Ă un professionnel car je ne suis pas un bon jardinier!! la question c'est ou le trouver ?? par » 25 Mar 2012 1539 et vous avez fait comment depuis ?? j'ai fait appel aux services d'un professionnel via une annonce Utilisateurs parcourant ce forum Aucun utilisateur enregistrĂ© et 6 invitĂ©s
1a Pour protéger les organismes aquatiques, respecter une zone non traitée de 5 mÚtres par rapport aux points d'eau. 6a. Ne pas appliquer en situation de labour effectué avant l'implantation de la culture, à l'exception des cultures de printemps installées aprÚs un labour d'été ou de début d'automne en sols hydromorphes et ne pas dépasser la dose annuelle de
Dans le cadre du dispositif de phytopharmacovigilance, l'Anses fait le point sur les connaissances actuelles de l'exposition de l'Homme et des milieux au glyphosate. Selon ces données, les contaminations sont inférieures aux seuils nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail Anses publie, ce mercredi 29 octobre, une synthÚse des données de surveillance sur la présence du glyphosate dans les eaux, les aliments mais aussi les niveaux d'imprégnation chez l'Homme. La fiche de phytopharmacovigilance renseigne aussi sur la présence et les niveaux d'imprégnation de l'acide aminométhylphosphonique AMPA, le métabolite principal du glyphosate. Il ressort de ces analyses que le...Article publié le 30 octobre 2019
Glyphosatedans les plantes, pour une efficacitĂ© maximale, mĂȘme en conditions difficiles. Lessivage Evaporation Ruissellement PĂ©nĂ©tration OptimisĂ©e Absorption superficielle et Ă©talement Mouillage et adhĂ©sivitĂ© GLISTERÂź ULTRA 360 Classement toxicologique : H411 (toxique pour les organismes aquatiques, entraine des effets Ă long terme) Pour une meilleure protection de
Navigation des articles Jean-Claude Pierre nâest pas un people ». Il cultive la simplicitĂ©. Depuis 40 ans, il enchaĂźne les confĂ©rences en Bretagne sur le dĂ©veloppement durable. AprĂšs plus de interventions, quatre livres et de multiples voyages, lâinfatigable militant associatif hausse le ton GaĂŻa, la terre, est en colĂšre. Lui aussi. Petit, son vert paradis des amours enfantines, câĂ©tait le LanguidouĂ©, une riviĂšre affluente du Leff 22. Le travail Ă la ferme lâĂ©tĂ©, la proximitĂ© des animaux, lui font dire encore aujourdâhui Jâai de la terre Ă mes sabots ». Tout cela lui rappelle aussi combien nous sommes en rupture avec le monde animal. En 1969, alors quâil se promĂšne avec sa fille, il voit des saumons agoniser dans une riviĂšre polluĂ©e par une papeterie. Cette dĂ©couverte marque le dĂ©but de son engagement. Il venait de lire Quelle terre laisserons-nous Ă nos enfants ? », de Barry Commoner. Sa force, il la tire aussi de son amitiĂ© avec Jacques de BollardiĂšre, ce gĂ©nĂ©ral breton qui sâest Ă©levĂ© contre la torture en AlgĂ©rie. Son combat Ă lui sera de sâopposer au conformisme, en lâoccurrence au culte du veau dâor », câest-Ă -dire le PIB, le profit⊠La plus grave des pollutions, câest lâindiffĂ©rence et la rĂ©signation », assĂšne-t-il. Porteur dâespĂ©rance Avec dâautres militants, il crĂ©e, en 1969, une association de dĂ©fense des saumons, qui deviendra Eau et riviĂšres, puis Nature et culture, le rĂ©seau CohĂ©rence et enfin lâInstitut de Silfiac. Mais celui qui a siĂ©gĂ© au Conseil Ă©conomique et social de Bretagne pendant dix ans accompagne aussi les acteurs qui cherchent Ă se rendre compte par eux-mĂȘmes des rĂ©alitĂ©s du terrain. Agriculteurs, politiques, techniciens, chefs dâentreprise participent Ă ses voyages dâĂ©tudes en Allemagne, Autriche, Suisse, Angleterre et dans dâautres rĂ©gions de France. Relocaliser lâĂ©conomie, diviser par quatre les consommations Ă©nergĂ©tiques, cultiver en prĂ©servant la qualitĂ© de lâeau et des sols autant dâexemples et dâalternatives Ă proposer. On nâa pas le droit dâexacerber les peurs si lâon nâest pas porteur dâespĂ©rance ». CoopĂ©rer Aujourdâhui, la question qui rĂ©sume pour lui toutes les autres, câest la solidaritĂ©. Entre les hommes, dans lâespace et le temps et avec lâensemble du vivant. Dans un monde oĂč tout se voit et tout se sait, lâhumiliation et la frustration ne peuvent dĂ©boucher que sur la violence. La paix sociale implique un partage plus Ă©quitable des ressources ». Mais il prĂ©vient Si tout pousse Ă la compĂ©tition dĂšs lâenfance, qui va enseigner la coopĂ©ration ? Or, coopĂ©ration, synergie et mutualisation sont les vrais enseignements de la nature et de ses multiples Ă©cosystĂšmes ». Lâhomme responsable AprĂšs 40 ans de lutte, le militant, adepte farouche de la non-violence, concĂšde Je suis scandalisĂ© par lâindiffĂ©rence de nos concitoyens face Ă la dĂ©gradation de la planĂšte. Alors que tous les clignotants sont au rouge et que la communautĂ© scientifique est formelle pour Ă©tablir une relation entre lâactivitĂ© humaine et cette dĂ©gradation. Nous sommes entrĂ©s dans lâĂšre de lâanthropocĂšne ». Lâhomme est devenu une force gĂ©ophysique en partie responsable du devenir de la planĂšte. Le cocktail entre rĂ©chauffement climatique, Ă©rosion de la biodiversitĂ© et aggravation des inĂ©galitĂ©s est, selon lui, explosif. Il faut agir sur ces trois flĂ©aux en mĂȘme temps ». Jean-Claude Pierre, loin dâĂȘtre dĂ©sabusĂ©, compte modestement les victoires contre le nuclĂ©aire, des projets de barrages ou des installations de piscicultures gĂ©antes. Oui, le regard de lâopinion a changĂ© ». Partout oĂč il va prĂ©senter la ville du futur », son dernier montage qui rassemble les exemples les plus parlants dâurbanisation rĂ©ussie, les gens ont la pĂȘche », rayonne-t-il. Lui aussi. 1937. Naissance, en fĂ©vrier, le mois des sources et du signe du poisson » sic !. 1969. Cofondateur de lâAssociation pour la protection du saumon et de la truite en Bretagne et en Basse-Normandie 500 membres en 1977. 1970. DĂ©but des chantiers bĂ©nĂ©voles de nettoyages des riviĂšres. 1983. Cofondateur dâEau et RiviĂšres. 1994. Ălu breton de lâannĂ©e par Le TĂ©lĂ©gramme. 1997. Cofondateur du rĂ©seau CohĂ©rence qui regroupe une centaine dâorganisations en Bretagne. 2008. Cofondateur de lâInstitut de Silfiac. Carole Le BĂ©chec Le TĂ©lĂ©gramme Collectif dâassociations paysannes et Ă©cologistes Lettre ouverte Ă Monsieur StĂ©phane Le Foll, Ministre de lâagriculture, de lâagroalimentaire et de la ForĂȘt pour que les annonces sur lâagro-Ă©cologie ne restent pas lettre morte. Monsieur le ministre, Face aux inquiĂ©tudes de la sociĂ©tĂ© française pour la qualitĂ© de son alimentation et ses attentes dans les domaines de lâagriculture, de la santĂ© et de lâenvironnement, le gouvernement français lançait il y a un an un projet de transformation de lâagriculture le projet agro-Ă©cologique pour la France ». Votre ministĂšre en a donnĂ© une dĂ©finition suffisamment large pour ne pas heurter certains intĂ©rĂȘts et pour mobiliser des soutiens divers parmi les agriculteurs et les acteurs de la recherche agronomique et du dĂ©veloppement agricole. MĂȘme sĂ©duisant, ce projet peine encore Ă susciter lâadhĂ©sion de la sociĂ©tĂ© civile. Ce projet agro-Ă©cologique comporte de multiples facettes et a pour ambition de concilier performances Ă©conomique, environnementale et sociale. Pour ce faire, deux leviers sont identifiĂ©s la politique agricole commune rĂ©formĂ©e et la Loi dâavenir pour lâagriculture, lâalimentation et la forĂȘt. DerriĂšre les mots, chacun y trouverait son compte mais selon nous, la cohĂ©rence nây est pas, et certains objectifs agro-Ă©cologiques semblent se soumettre Ă lâobsession de compĂ©titivitĂ© des filiĂšres agricoles. Pour mettre en Ćuvre cette triple performance, entendons-nous sur leur signification. Pour nos organisations, la performance Ă©conomique nâest ni la taille, ni les volumes produits, ni lâimportance du capital financier, ni le volume dâaides perçues, mais bien la capacitĂ© Ă crĂ©er de la valeur ajoutĂ©e. Selon nous, la performance sociale doit faire vivre des paysans nombreux une agriculture ne peut ĂȘtre Ă©conomiquement performante si elle repose sur de moins en moins de paysans. Or lâaspect social reste en jachĂšre des petits Ă©leveurs risquent dâĂȘtre exclus de certaines aides de la PAC, les aides du 2nd pilier de la PAC sont flĂ©chĂ©s sur la modernisation des bĂątiments dâĂ©levage et les soutiens Ă lâagrandissement, alors que la promotion de lâinstallation est encore insuffisante. Sur le plan environnemental, le projet chercherait Ă prolonger certains acquis du Grenelle de lâenvironnement, en amalgamant la rĂ©duction de la consommation des pesticides et des antibiotiques, le doublement des surfaces en agriculture biologique et du nombre dâapiculteurs. La monoculture de maĂŻs serait compatible avec le verdissement ! Mais le manque de cohĂ©rence est lĂ nĂ©gociant les derniers ajustements techniques de la PAC Ă Bruxelles, votre ministĂšre prĂ©pare une certification environnementale prĂ©voyant que la monoculture de maĂŻs serait compatible avec le verdissement et que des cultures utilisant pesticides et engrais minĂ©raux rentreraient dans les surfaces dâintĂ©rĂȘt Ă©cologique. De telles mĂ©thodes nâont clairement rien dâagro-Ă©cologique. Ni la PAC, ni la Loi dâavenir ne mettront en place de mesures permettant une rĂ©elle diminution de lâutilisation des pesticides. En revanche, le relĂšvement des seuils pour les installations classĂ©es augmentera celle des antibiotiques, dont la consommation est proportionnelle au nombre dâanimaux sur un mĂȘme site ! Par ailleurs, votre ministĂšre ne garantit pas la pĂ©rennitĂ© de lâaide au maintien de lâagriculture biologique. Comment les surfaces en agriculture biologique pourraient doubler en France sans soutien adĂ©quat et durable ? Le dĂ©veloppement de la mĂ©thanisation ne vise pas Ă orienter ces systĂšmes vers lâagro-Ă©cologie. Le but annoncĂ© serait de dĂ©charger les excĂ©dents azotĂ©s de lâĂ©levage industriel vers des zones de cultures tout aussi intensives, illusion techniciste. Ces usines Ă gaz entreront le plus souvent en concurrence avec la production alimentaire, appauvriront les sols en carbone, les fragilisant, et gĂ©nĂ©reront de nouvelles pollutions par lâammoniac ou le dioxyde dâazote. DĂšs lors, oĂč est lâagro-Ă©cologie mise en avant â et que nous soutenons â dans lâarticle premier de la Loi dâavenir, comme privilĂ©giant lâautonomie des exploitations agricoles et lâamĂ©lioration de leur compĂ©titivitĂ©, en diminuant la consommation dâĂ©nergie, dâeau, dâengrais, de produits phytopharmaceutiques et de mĂ©dicaments vĂ©tĂ©rinaires, en particulier les antibiotiques » ? Si nous partageons lâobjectif visant Ă âproduire autrement en agricultureâ, nous insistons sur lâimpĂ©rieuse nĂ©cessitĂ© dâĂ©valuer autrement la performance Ă©conomique, sociale et environnementale. Les critĂšres dâĂ©valuation standards basĂ©s sur la seule productivitĂ© Ă lâhectare ou sur les volumes sont obsolĂštes, puisquâils ne prennent en compte ni la disparition des emplois agricoles, ni les subventions injectĂ©es, ni la dĂ©gradation des ressources naturelles, ni les Ă©missions de gaz Ă effet de serre. A propos de lâagriculture biologique que vous avez intĂ©grĂ©e Ă lâambition agro-Ă©cologique, vous affirmez quâelle serait moins productive. Ce nâest pas le cas dans des agro-systĂšmes cohĂ©rents rotation longue, prĂ©sence de matiĂšres organiques, etc.. Le solde productif export moins intrants Ă lâhectare en tonne Ă©quivalent pĂ©trole par exemple est souvent supĂ©rieur Ă celui de lâagriculture conventionnelle. Une ambition agro-exportatrice basĂ©e sur lâaugmentation des volumes ne peut lĂ©gitimer le productivisme Ă tout crin. De plus, les exportations agricoles et agroalimentaires françaises dĂ©pendent fortement des intrants importĂ©s aliments du bĂ©tail, fertilisants, pesticides⊠et des subventions directes et indirectes de la PAC. Enfin en matiĂšre de politique commerciale, nous attirons votre attention sur une autre incohĂ©rence. Le gouvernement a refusĂ©, avec raison, dâautoriser un maĂŻs gĂ©nĂ©tiquement modifiĂ© tolĂ©rant aux herbicides. Au mĂȘme moment, son ministre de lâEconomie, Pierre Moscovici plaidait en faveur dâune accĂ©lĂ©ration des nĂ©gociations sur lâaccord de libre-Ă©change et dâinvestissement entre lâEurope et les Ătats-Unis. Pour ces derniers, les objectifs en matiĂšre agricole sont clairs et destructeurs pour lâagriculture ouvrir davantage le marchĂ© europĂ©en y compris pour les cultures OGM, la viande aux hormones ou issue dâanimaux clonĂ©s, affaiblir les rĂ©glementations existantes en matiĂšre de pesticides notamment en donnant le droit aux multinationales dâattaquer les gouvernements qui adopteraient des lois contraires Ă leurs intĂ©rĂȘts. Selon nous, cette orientation libĂ©rale va donc Ă lâencontre des faibles acquis de la PAC rĂ©formĂ©e, du projet agro-Ă©cologique français et de la Loi dâavenir. Elle enterre tout espoir de projet politique europĂ©en au prĂ©texte dâun bĂ©nĂ©fice global mal Ă©valuĂ© et non discutĂ©. Les enjeux sont de taille si le gouvernement français veut dĂ©fendre son projet agro-Ă©cologique, il doit dâabord viser lâambition et la cohĂ©rence, et le mettre Ă jour Ă lâaune des incohĂ©rences que nous avons soulignĂ©es. Câest dans ces conditions que les organisations que nous reprĂ©sentons y contribueront activement. Veuillez recevoir monsieur le ministre, lâexpression de notre sincĂšre considĂ©ration. RenĂ© BECKER, PrĂ©sident de Terre de Liens Allain BOUGRAIN DUBOURG, PrĂ©sident de la LPO Jean-Marc BUREAU, PrĂ©sident de la FNCIVAM BenoĂźt DROUIN, PrĂ©sident du RĂ©seau Agriculture Durable Nicolas HULOT, PrĂ©sident de la Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et lâHomme StĂ©phen KERCKOVE, DĂ©lĂ©guĂ© gĂ©nĂ©ral dâAgir Pour lâEnvironnement Jacques MARET, administrateur de E3D StĂ©phanie PAGEOT, PrĂ©sidente de la FNAB Pierre PERBOS, PrĂ©sident du RĂ©seau Action Climat Laurent PINATEL, Porte-parole de la ConfĂ©dĂ©ration Paysanne Xavier POUX, Administrateur du Forum EuropĂ©en pour la protection de la nature et le pastoralisme Joseph RACAPE, Administrateur de Dossiers et DĂ©bats pour un DĂ©veloppement Durable 4D François VEILLERETTE, Porte-parole de GĂ©nĂ©rations Futures Avec ce dispositif technocratique arbitraire et tĂ©nĂ©breux, nos enfants vont Ă nouveau devoir se lever et commencer lâĂ©cole de nuit comme en hiver. Suite Ă lâabsence de la lumiĂšre du jour, leur horloge centrale nâest pas en phase. Lâimpact nĂ©gatif dâune telle amplitude horaire sur la rĂ©ussite scolaire de nos enfants est bien rĂ©el. La MĂ©ridienne a de nouveau Ă©crit au ministre de la SantĂ© dans ce sens, lui suggĂ©rant dâimpulser une dynamique sur le rĂ©gime horaire actuel auprĂšs des ministres concernĂ©s Ăconomie, Ăducation, IntĂ©rieur, Travail, Famille, Environnement⊠pour mettre un terme Ă cette âaberration chronobiologiqueâ. Câest ce que demandent des dizaines de milliers de personnes selon les derniers sondages dâopinion et les signataires de pĂ©titions citoyennes mises en Ćuvre successivement de 2009 Ă 2012. Câest aussi pourquoi lâEspagne envisage de revenir Ă lâheure de son fuseau horaire origine. Le rapport approuvĂ© par le parlement espagnol, avec lâappui du Ministre de lâĂconomie, Luis de Guindos, dĂ©montre, entre autres mĂ©faits*, quâune heure trop avancĂ©e nuit au sommeil des Espagnols horloge centrale et Ă leur Ă©conomie. Il prĂ©cise que reculer les aiguilles nâa aucun coĂ»t et prĂ©sente de nombreux bĂ©nĂ©fices les mĂȘmes que ceux mis en avant par La MĂ©ridienne. Il faut, sans plus tarder, revenir Ă lâheure de notre fuseau horaire pour dormir mieux afin de vivre mieux et de travailler mieux, dans la vie publique et privĂ©e, dans lâentreprise, Ă lâhĂŽpital, Ă lâĂ©cole, dans la famille⊠Si lâon veut que les autres rĂ©formes aboutissent, câest la premiĂšre rĂ©forme Ă faire ! LA MĂRIDIENNE * Moins de qualitĂ© de vie et de temps passĂ© en famille, impact nĂ©gatif sur la productivitĂ©, stress burn out, absentĂ©isme, dĂ©penses dâĂ©nergie, accidents du travail, courbe du chĂŽmage, Ă©chec scolaire, etc, etc⊠sans parler des graves atteintes Ă lâenvironnement pollution de lâair. Beaucoup dâargent, dont les familles ont grand besoin, est gaspillĂ©. On nous fait croire que la prĂ©occupation de la sĂ©curitĂ© NuclĂ©aire est prise en compte en France⊠et pourtant, si vous voulez avoir une idĂ©e de la pollution radioactive Ă©ventuelle, en un point du territoire, Ă un moment donnĂ©, voici les moyens dont vous disposez selon que vous habitez Berne, Munich ou Angers⊠Pour la Suisse, une carte globale du territoire qui donne la valeur moyenne quotidienne des dĂ©bits de dose ambiants en nanosieverts Ă lâheureâŠpour un ensemble de 66 lieux rĂ©partis sur lâensemble du territoire, câest simple, clair, et la rĂ©solution Ă la journĂ©e permet de suivre une Ă©ventuelle pollution liĂ©e Ă un accident en Suisse ou dans un pays voisin⊠En quatre langues sâil vous plaĂźtâŠOn peut consulter pour chaque point suivi le chronogramme des mesures pour visualiser dâĂ©ventuelles variations plus rapides que sur un jour⊠Lien Pour lâAllemagne, une carte globale du territoire lĂ encore, qui donne la valeur moyenne quotidienne des dĂ©bits de dose ambiants en microsieverts Ă lâheure⊠pour un ensemble de 1 800 lieux rĂ©partis sur lâensemble du territoire, câest simple, clair, et la rĂ©solution Ă la journĂ©e etc.. On peut lĂ aussi suivre les variations Ă lâheure en cliquant sur un point quelconque ⊠on obtient le graphe des valeurs moyennes horaires en ”Sv/h⊠pour le point considĂ©ré⊠Lien LĂ encore en deux langues, allemand et anglais⊠Pour la France⊠tapez dans google âmesures de radioactivitĂ©â, vous trouverez le site et tomberez sur ActualitĂ©s. 26 AoĂ»t 2013 sic!!! câest dire la fraĂźcheur des infos sur ce site⊠Vous cliquez sur âLa carte des mesuresâ et tombez sur une carte de France, avec des petits signes, et en bas Ă droite âcarte des 1 231 689 mesuresâ ! Fichtre ! Mais pas moyen dâavoir dâun coup dâoeil rapide une idĂ©e de la pollution radioactive actuelle sur les X points reprĂ©sentĂ©s⊠Il faut aller chercher lâinformation pour un point dĂ©terminĂ©, pas de vision globale pratique⊠Ce serait trop simple !!! Je sĂ©lectionne donc CNPE Centrale NuclĂ©aire de Production dâElectricitĂ© de St Laurent des Eaux, aprĂšs avoir rĂ©glĂ© le zoom adĂ©quat pas Ă©vident, je tombe sur cette page Cliquant sur un point bleu proche de ladite centrale, je tombe sur cette page, relative Ă des mesures sur lâeau, alpha global en Becquerel par litre, cours dâeau non identifiĂ©, 6 mesures datent de 2009 et une de 2010, depuis plus rien !!! Les chiffres sont trĂšs petits, ou Ă©videmment avec un tel choix dâunitĂ© !!! Ăa câest de la surveillance efficace !!! revenu Ă la carte, Ă©chelle adĂ©quate, je clique sur le symbole reprĂ©sentant le CNPE de St Laurent des Eaux, je tombe sur la page suivante qui est relative enfin Ă quelque chose de semblable Ă ce que font nos voisins, Ă savoir le dĂ©bit de dose ambiant en micro sievert par heure, mais lĂ pas de carte globale, il sâagit de mesures âvalablesâ pour St Laurent des eaux. Allons voir de plus prĂšs ces mesures⊠Sont annoncĂ©s deux producteurs et 2533 mesures⊠Nous sommes en Mars, nous ne disposons au mieux sur la page 1/64 que des mesures faites en FĂ©vrier 2014, les autres pages Ă©tant les rĂ©sultats antĂ©rieurs, remontant jusquâen 2009⊠Je pense immĂ©diatement Ă Fukushima et au 11 Mars 2011, que va dĂ©tecter le systĂšme de mesure de lâASN Ă ces dates??? Facile RIEN. Conclusion Rideau⊠Dormez tranquilles braves gens, EDF & AREVA veillent sur leurs profits⊠Bernard P AFRIQUE du SUD â OGM Monsanto Ă nouveau condamnĂ© pour publicitĂ© non fondĂ©e » Les paysans indiens se mettent en rĂ©seau pour lutter contre lâappropriation de la biodiversitĂ© cultivĂ©e et les OGM RĂ©emploi câest bon pour la planĂšte, câest bon pour le business ! Lâinitiative citoyenne pour le droit Ă lâeau acceptĂ©e par la Commission europĂ©enne NuclĂ©aire la prolongation des centrales nâest pas acquise, insiste lâASN Ces bonnes nouvelles sont dans la revue de presse dâhier Elles doivent nous inciter Ă continuer Ă nous mobiliser mĂȘme quand le doute nous assaille. NuclĂ©aire Ă©nergie dâavenir ? Votre mobilisation a permis de faire passer de 73% de Oui Ă 64% de Non BRAVO la Bourgogne est la cinquiĂšme collectivitĂ© française Ă rĂ©pondre â ou Ă devancer â lâappel DĂ©clarons nos communes hors Tafta », publiĂ© le 14 mars par le collectif unitaire national contre le traitĂ©. Au nom du libre-Ă©change, les poulets de Bresse vont-ils cĂ©der la place aux volailles amĂ©ricaines lavĂ©es Ă la Javel? Merci de contribuer Ă faire pression sur vos collectivitĂ©s car beaucoup de nos combats communs dĂ©pendent de notre capacitĂ© Ă faire capoter ce projet dâaccord transatlantique. 1 Abandon du projet dâabattoir de Gueret Le projet dâabattoir sans Ă©tourdissement de GuĂ©ret est abandonnĂ© ! IMPORTANT ! La manifestation du 29 mars prochain, Ă GuĂ©ret, est maintenue ! Voir le texte complet du communiquĂ© du NARG en archives 2 Sentier de Beg Meil ouverture aprĂšs lâĂ©tĂ© 3 Bilan dâĂ©tape de la mobilisation âStop Ă lâĂ©touffement des paysansâ OĂč en sommes-nous ? La nouvelle annĂ©e sâest ouverte sur les premiers rĂ©sultats de notre action. Avec la premiĂšre lecture de la Loi dâAvenir Agricole LAAF en janvier puis lâadoption dĂ©finitive de la loi contrefaçons le 26 fĂ©vrier, nous avons gagnĂ© une reconnaissance partielle de lâexception agricole et alimentaire gĂ©nĂ©rale » que nous rĂ©clamons, notre mobilisation doit continuer jusquâĂ sa reconnaissance totale ! La dĂ©sobĂ©issance des paysans, contre un cadre lĂ©gal illĂ©gitime, est lĂ©gitime A de trĂšs rares exceptions prĂšs les variĂ©tĂ©s reproductibles inscrites au catalogue qui conditionne lâautorisation de commercialiser des semences sont protĂ©gĂ©es par un Certificat dâObtention VĂ©gĂ©tale COV. Les brevets sur leurs caractĂšres et ceux des animaux se multiplient. Les prĂ©parations naturelles produites Ă la ferme PNPP, levains, levures, ferments⊠peuvent Ă©galement ĂȘtre soumises Ă des droits de propriĂ©tĂ© intellectuelles Ă travers le dĂ©veloppement de brevets sur les micro-organismes ou les substances chimiques. Celles qui sont qualifiĂ©es de produit phytopharmaceutiques » sont de fait interdites dâutilisation et de commercialisation dĂšs quâelles ne sont pas protĂ©gĂ©es par un brevet. En renforçant, les moyens pour lutter de maniĂšre indiffĂ©renciĂ©e contre la contrefaçon de tous types de droit de propriĂ©tĂ© intellectuelle, le projet de base de la loi contrefaçon de novembre 2013 Ă©tait une menace importante pour les paysans qui produisent leurs semences, leurs animaux reproducteurs et leurs prĂ©parations naturelles. Vous avez soutenu la mobilisation du Collectif Semons la BiodiversitĂ© et de ses partenaires sur ces enjeux qui concernent deux textes juridiques lâun, la loi pour lâAvenir de lâAgriculture, de lâAlimentation et de la ForĂȘt LAAF est encore Ă©tudiĂ©e par les parlementaires, alors que le second, la loi contre les contrefaçons, a Ă©tĂ© adoptĂ© dĂ©finitivement le 26-02. Des avancĂ©es sont effectives grĂące Ă votre soutien mais la mobilisation reste dâactualitĂ©. Pour cela signez la cyber action actualisĂ©e LE BILANVers un dĂ©tricotage de lois beaucoup trop favorables aux obtenteurs ⊠Lors de la premiĂšre lecture de la LAAF dĂ©but janvier , cinq nouveaux articles ont Ă©tĂ© introduits les paysans pourront Ă©changer leurs semences de variĂ©tĂ©s non protĂ©gĂ©es par un COV, ce qui facilitera les sĂ©lections et la conservation de semences paysannes libres de droit de propriĂ©tĂ© », les paysans qui produisent leurs semences de ferme1 ne seront plus obligĂ©s de sâenregistrer, les accords interprofessionnels destinĂ©s Ă prĂ©lever les royalties sur les semences de ferme devront ĂȘtre approuvĂ©s par des organisations dâagriculteurs ayant recueilli plus de 70 % des voix aux Ă©lections professionnelles, la suppression de la protection du brevet en cas de prĂ©sence fortuite dâune information gĂ©nĂ©tique brevetĂ©e dans des plantes les paysans dont les cultures seraient contaminĂ©es par des caractĂšres gĂ©nĂ©tiques brevetĂ©s pourront vendre librement leur rĂ©colte, les Ă©leveurs garderons la libertĂ© dâacheter des reproducteurs ailleurs que dans des Ă©levages certifiĂ©s. Le SĂ©nat doit encore confirmer ces avancĂ©es, restons mobilisĂ©s pour quâil ne fasse pas marche arriĂšre ! Restait la contrefaçon il est Ă©vident quâavec une telle menace, aucun transformateur nâachĂšterait une rĂ©colte sans la garantie quâelle est issue de semences certifiĂ©es ou de semences de ferme ayant acquittĂ© les royalties exigĂ©es. Le 21 janvier 2014, en point dâorgue de la vaste campagne de sensibilisation organisĂ©e par le Collectif Semons la BiodiversitĂ©, la ConfĂ©dĂ©ration paysanne sâinstallait dans les locaux parisiens de lâinterprofession semenciĂšre GNIS pour obtenir une exception agricole » Ă lâapplication de la loi sur la contrefaçon. Quelques heures aprĂšs, le Ministre de lâagriculture promettait de lui donner satisfaction. Le 4 fĂ©vrier, les dĂ©putĂ©s votaient deux amendements, le premier dĂ©clarant que lâutilisation des semences de ferme des 21 espĂšces dĂ©rogatoires ne constitue pas une contrefaçon », le deuxiĂšme que la loi sur la lutte contre la contrefaçon nâest pas applicable aux semences de ferme de toutes les espĂšces ». Cela a Ă©tĂ© confirmĂ© par le vote dĂ©finitif de la loi contrefaçon le 26 fĂ©vrier. ⊠pour une premiĂšre victoire politique Ă transformer ! Dâun point de vue technique, il sâagit de nouveaux clous enfoncĂ©s dans lâapplication des droits des obtenteurs Les semences de ferme des 21 espĂšces dĂ©rogatoires ne sont plus des contrefaçons. Certes la loi oblige encore le paysan Ă payer des royalties, mais les obtenteurs ont perdu tous les moyens juridiques de lutte contre les contrefaçons qui leur auraient permis de les rĂ©cupĂ©rer. La promesse dâaccords interprofessionnels ou de dĂ©crets en Conseil dâĂtat quâon attend depuis plus de deux ans nous dira sâils en trouveront dâautres. Ăa ne fait aprĂšs tout que 43 ans quâils les cherchent⊠Pour les autres espĂšces, les semences de ferme restent des contrefaçons interdites, mais lĂ encore les obtenteurs ont perdu un puissant levier juridique ils ne pourront pas faire pression sur les acheteurs des rĂ©coltes en les menaçant de saisie et de destruction des rĂ©coltes quâils ont achetĂ©es. Et les seuls moyens qui nâont pas Ă©tĂ© abrogĂ©s car issus de lois prĂ©cĂ©dentes huissiers, saisies de document administratifs chez les paysans⊠ont dĂ©jĂ fait la preuve de leur inefficacitĂ©. Avec cette loi contrefaçon, les paysans ont renforcĂ© leurs moyens de continuer Ă dĂ©sobĂ©ir aux lois sur les COV et les brevets sur le vivant beaucoup trop favorables aux multinationales des semences. Câest le meilleur moyen de pouvoir continuer Ă lutter pour les abroger article aprĂšs article. Les membres du collectif Semons la BiodiversitĂ© sây emploieront dĂšs les prochaines discussions françaises sur la loi sur lâAvenir de lâAgriculture, de lâAlimentation et de la ForĂȘt LAAF et les prochaines discussions europĂ©ennes sur le COV, le brevet, la commercialisation des semences, la santĂ© des vĂ©gĂ©taux et le contrĂŽle de la chaĂźne alimentaire. 1 reproduction des semences produites par lâindustrie semenciĂšre Dans CĂŽtĂ© Quimper Alain Uguen votera pluriel Alain Uguen votera pluriel Son idĂ©e dâorganiser une primaire entre les forces de gauche nâa pas eu dâĂ©cho. Quinze jours avant le 1er tour des Ă©lections municipales, le QuimpĂ©rois Alain Uguen lance lâinitiative du vote pluriel. LâidĂ©e est de mettre deux bulletins dans la mĂȘme enveloppe. Ce qui permet aux Ă©lecteurs dâindiquer les listes quâils souhaitent voir gĂ©rer la ville, explique le militant Ă©cologiste, non encartĂ©. Le vote pluriel est aussi un moyen de lutter contre lâabstention. » Lui, câest certain, se fera plaisir. Il espĂšre tout de mĂȘme faire le meilleur score possible pour inviter les listes concernĂ©es Ă regarder de prĂšs le dĂ©pouillement. Pour lâheure, il va diffuser son idĂ©e sur internet et mĂȘme coller des affiches sur les panneaux Ă©lectoraux en place depuis le dĂ©but de semaine Ă Quimper. Pour rappel, tout de mĂȘme, le vote pluriel tel que le dĂ©finit Alain Uguen sera considĂ©rĂ© comme nul. Du 10 au 14 mars, se tient Ă Bruxelles le quatriĂšme cycle de la nĂ©gociation du partenariat transatlantique de commerce et dâinvestissement PTCI entre lâUnion europĂ©enne et les Etats-Unis. Le manque de transparence et le contenu mĂȘme des nĂ©gociations de cet accord prĂ©occupent les et des plateformes dâassociations, de syndicats, dâONG, de partis et dâorganisations de consommateurs se crĂ©ent partout en Europe pour mener campagne contre ce projet dâaccord. Les collectivitĂ©s locales sâassocient Ă©galement Ă la dynamique les rĂ©gions Ile-de-France, PACA et la municipalitĂ© de Besançon ont rĂ©cemment adoptĂ© des dĂ©clarations demandant lâarrĂȘt des nĂ©gociations du grand marchĂ© transatlantique et se dĂ©clarant symboliquement zone hors PTCI». Redoutant ces mobilisations citoyennes dâampleur contre lâaccord, le Commissaire europĂ©en au commerce, Karel de Gucht, a annoncĂ© une consultation de trois mois sur le volet investissement des nĂ©gociations. Mais cette consultation est loin de satisfaire aux exigences dâun vrai dĂ©bat dĂ©mocratique et des fuites confirment nos inquiĂ©tudes concernant le trĂšs controversĂ© mĂ©canisme de rĂšglement des diffĂ©rends investisseur-Ătat. Ă lâoccasion de ce nouveau cycle de nĂ©gociations,de nombreuses initiatives seront organisĂ©es cette semaine par les cadres unitaires opposĂ©s au TAFTA les 11 et 12 mars, Ă Bruxelles premiĂšre rĂ©union transatlantique des mouvements, Ă lâinitiative de Seattle to Brussels Network, Rosa-Luxemburg â Stiftung Brussels Office, Citizens Trade Campaign, Coalition of Sensible Safeguards, ARC2020, Forum Umwelt & Entwicklung. Les reprĂ©sentants de la sociĂ©tĂ© civile europĂ©enne et Ă©tats-unienne se rĂ©unissent pour adopter une agenda commun de mobilisation -> Lors de cette rĂ©union sera rendue publique une dĂ©claration commune de la sociĂ©tĂ© civile europĂ©enne *** le 12 mars Ă 14h, Ă Bruxelles confĂ©rence du collectif Altersommet sur le PTCI *** 13 mars Ă 10h00, Ă Bruxelles rassemblement devant la DG Commerce, Ă lâinitiative du collectif Altersommet et de D19 Des membres du collectif français seront prĂ©sent-es Ă Bruxelles pour participer Ă ces diffĂ©rentes initiatives. En France et en Europe, nous sommes mobilisĂ©s et unis pour que ce projet de traitĂ© ne puisse pas voir le jour! Nous ne pouvons accepter que la dĂ©mocratie soit laissĂ©e aux mains des entreprises transnationales et des marchĂ©s financiers. Organisations membres du collectif âStop Taftaâ Au niveau national Agir pour lâenvironnement, Aitec-Ipam, Les Alternatifs, Amis de la confĂ©dĂ©ration paysanne, Amis de la Terre, Attac, CADTM France, Cedetim, Colibris, Collectif citoyen les engraineurs, Collectif des associations citoyennes, Collectif Roosevelt, ConfĂ©dĂ©ration paysanne, Convergence citoyenne pour la transition Ă©nergĂ©tique, Convergences et alternative, Copernic, Economistes atterrĂ©s, Ecologie sans frontiĂšres, Ensemble, Europe Ă©cologie les verts, Faucheurs volontaires, FĂ©dĂ©ration Nationale Accueil Paysan, FĂ©dĂ©ration pour une alternative sociale et Ă©cologique, Fondation sciences citoyennes, France AmĂ©rique Latine, FSU, GAĂŻA SOS planĂšte en danger, Gauche anticapitaliste, GĂ©nĂ©rations futures, Golias, Jeunes Ă©cologistes, Mouvement de la paix, Mouvement des objecteurs de croissance, MPEP, NPA, la Nouvelle Ă©cole Ă©cologiste, Objectif transition, Parti de gauche, PCF, RĂ©seau action climat, RĂ©elle dĂ©mocratie maintenant IndignĂ©-e-s, RĂ©seau environnement santĂ©, collectif Semons la biodiversitĂ©, Solidaires national, Solidaires douanes, Syndicat national des arts vivants, UFISC, Utopia Au niveau local Collectifs locaux anti-gaz de schiste Orb Taurou, Anduze, PĂ©zenas, Castelneau de Guers, Clapiers, SĂšte, Bassin de Thau, Vigan, Briard, Florac, MontĂ©limar DrĂŽme Sud, Orb-Jaur, Roynac, Toulon, BĂ©ziers, Campagnan, Haut-Bugey, Narbonnais, CorbiĂšres, Causse MĂ©jean, Jaujac-ArdĂšche-Lignon, Pays cigalois, Littoral 34, ArdĂšche, Ain, Pays de Savoie et de lâAin, RĂ©seau Rhonalpin, Jura, IsĂšre, Lot-et-Garonne, RhĂŽne, Var, Vaucluse, Houille-ouille-ouille 59/62, Ăcolectif DĂ©gaze Gignac et Environs 34, Montpellier Littoral contre les gaz, pĂ©trole de schiste! et Basta Gaz AlĂšs, Garrigue-Vaunage, Collectif de Vigilance Gaz de Gardanne, Touche pas Ă mon schiste, Non aux forages dâhydrocarbures Haut-Jura, Carmen ChĂąteau-Thierry, ARPE 69, collectif anti-OGM 31 Les Instances EuropĂ©ennes travaillent-elles pour lâagro-industrie? Ces derniers jours les Ă©lĂ©ments Ă charge se multiplient. A premiĂšre vue le rejet par le Parlement europĂ©en ce mardi 11 mars de la proposition de rĂšglement de la Commission europĂ©enne sur la commercialisation des semences et plants peut sembler aller dans le bon sens. Mais nâoublions pas quâentre temps câest la rĂ©glementation actuelle qui sâapplique, celle qui restreint de maniĂšre inacceptable les droits des paysans dâĂ©changer leurs semences et dâaccĂ©der Ă la biodiversitĂ© cultivĂ©e. Nâoublions pas non plus que ce rĂšglement fait partie dâun paquet » lĂ©gislatif qui comprend 4 autres propositions de rĂšglement ContrĂŽles, SantĂ© des Plantes, SantĂ© Animale et Cadre Financier le Parlement europĂ©en doit aussi les rejeter. Ces textes, particuliĂšrement dangereux, gĂ©nĂ©ralisent les auto-contrĂŽles sous contrĂŽles officiels ». Ce qui se prĂ©pare, câest en fait la privatisation du systĂšme de contrĂŽle public non seulement des semences, de la santĂ© animale et vĂ©gĂ©tale, mais aussi de toute la chaĂźne alimentaire. Sans contrĂŽle public, lâagro-industrie devra se contrĂŽler elle-mĂȘme câest ce qui a permis Ă lâentreprise Spanghero de commercialiser des lasagnes contenant de la viande de cheval Ă la place de bĆuf. Mais les mĂ©faits de ce paquet lĂ©gislatif ne sâarrĂȘteraient pas aux scandales alimentaires les petits artisans et paysans qui ne pourront pas respecter les normes et le coĂ»t de ces auto-contrĂŽles faits sur mesure pour lâagro-industrie, seront Ă©liminĂ©s. Au mĂȘme moment, la Commission et le Conseil se concertent sur la meilleure maniĂšre pour lâEurope dâautoriser les OGM refusĂ©s par la majoritĂ© des citoyens et des Ătats. Un rapport trĂšs favorable Ă une utilisation accrue des pesticides et des biotechnologies brevetĂ©es en agriculture vient dâailleurs dâĂȘtre validĂ© par le Parlement. Pour la ConfĂ©dĂ©ration paysanne, le Parlement europĂ©en qui sera Ă©lu en mai devra empĂȘcher les cultures de plantes gĂ©nĂ©tiquement modifiĂ©es, refuser lâouverture du marchĂ© aux semences brevetĂ©es, et informer clairement le consommateur sur toutes les manipulations gĂ©nĂ©tiques des plantes. Il est urgent que les instances europĂ©ennes reconnaissent enfin le droit des paysans et des jardiniers dâĂ©changer leurs semences, et ouvrent largement le marchĂ© des semences Ă toute la biodiversitĂ© disponible sans la contraindre par les normes imposĂ©es par lâindustrie. Navigation des articles
Laformulation de glyphosate utilisĂ©e (Glycel 410 SL) Ă©tait de type liquide soluble (SL). Elle Ă©tait dosĂ©e Ă 410 g de glyphosate (41 % sel dâisopropylamine) par litre de solution commerciale. La dose recommandĂ©e Ă©tait de 200 ml pour 15 litres dâeau. Cette dose correspondait Ă une solution de 5,47 g/l.
Pour certaines activitĂ©s, les dispositions des articles 27 et 29 sont modifiĂ©es ou complĂ©tĂ©es conformĂ©ment aux dispositions suivantes 1° Cokeries les dispositions du 3° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes Si le flux horaire est supĂ©rieur Ă 25 kg/h, la valeur limite de concentration est de 500 mg/ Fabrication du dioxyde de titane Les dispositions du 1° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes La valeur limite de concentration pour les rejets de poussiĂšres est de 50 mg/ Nm Âł en moyenne horaire pour les sources principales et de 150 mg NmÂł en moyenne horaire pour les autres dispositions du 3° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes La valeur limite pour les rejets d'oxydes de soufre est pour les unitĂ©s de digestion et de calcination de 6 kg d'Ă©quivalent SO2 par tonne de dioxyde de titane produite en moyenne annuelle et 500 mg/NmÂł d'Ă©quivalent SO2 pour les unitĂ©s de concentration de dĂ©chets acides moyenne horaire.Des dispositifs permettant d'Ă©viter les Ă©missions de vĂ©sicules acides sont installĂ©s et les installations de calcination des sels produits par le traitement des dĂ©chets sont Ă©quipĂ©es selon la meilleure technologie disponible en vue de rĂ©duire les Ă©missions d'oxydes de dispositions du 5° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes Les valeurs limites de concentration pour les rejets de chlorure, dans le cas des unitĂ©s utilisant le procĂ©dĂ© au chlore sont de 5 mg/NmÂł en moyenne journaliĂšre et de 40 mg/NmÂł Ă tout dispositifs permettant d'Ă©viter les Ă©missions de vĂ©sicules acides sont Plates-formes de raffinage de les plates-formes de raffinage de pĂ©trole neuves, c'est-Ă -dire constituĂ©es entiĂšrement d'unitĂ©s neuves, les dispositions des 1°, 3° et 4° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes - le rejet total d'oxydes de soufre ne doit pas dĂ©passer le flux journalier correspondant Ă une concentration moyenne journaliĂšre de 600 mg/Nm3 exprimĂ© en SO2 sur l'ensemble des installations en fonctionnement ;- pour chaque installation, la valeur limite d'Ă©mission en oxydes d'azote exprimĂ© en NO2 ne dĂ©passe pas 200 mg/Nm3 ;- pour chaque installation, la valeur limite d'Ă©mission en particules ne dĂ©passe pas 30 mg/ valeurs limites d'Ă©mission sont rapportĂ©es Ă une teneur en oxygĂšne, dans les gaz rĂ©siduaires secs, de 3 % en volume. Ces dispositions sont applicables sans prĂ©judice de l'application des textes relatifs aux chaudiĂšres, turbines et moteurs visĂ©s par la rubrique 2910 de la nomenclature des installations Traitement des gaz soufrĂ©s rĂ©siduaires sur un site pĂ©trochimique, mais Ă l'extĂ©rieur d'une raffinerie de produits pĂ©troliers les dispositions du 3° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes Le taux de conversion est d'au moins 99,6 %.5° Fabrication et rĂ©gĂ©nĂ©ration de dioxyde, trioxyde de soufre, acide sulfurique et olĂ©um les dispositions du 3° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes Pour les unitĂ©s de rĂ©gĂ©nĂ©ration d'acide sulfurique - si la teneur en SO2 Ă l'entrĂ©e est supĂ©rieure Ă 8 %, le taux de conversion est d'au moins 99 % et la valeur limite de flux spĂ©cifique est 7 kg/tonne ;- si la teneur en SO2 Ă l'entrĂ©e est infĂ©rieure Ă 8 %, le taux de conversion est d'au moins 98 % et la valeur limite de flux spĂ©cifique est de 13 kg/ les autres unitĂ©s le taux de conversion est d'au moins 99,6 % lorsque la teneur en SO2 Ă l'entrĂ©e est supĂ©rieure Ă 8 %. La valeur limite de flux spĂ©cifique pour la moyenne des rejets d'oxydes de soufre et d'acide sulfurique, exprimĂ©s en SO2, est de 2,6 kg/tonne produite d'acide sulfurique 100 % ou d'Ă©quivalent acide 100 % pour l'olĂ©um ou l'anhydride Fabrication d'acide nitrique les dispositions du 4° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes La valeur limite de flux spĂ©cifique pour la moyenne des rejets d'oxydes d'azote, hormis le N2O, exprimĂ©s en HNO3 est de 1,3 kg/tonne produite d'acide nitrique 100 % et la valeur limite de flux spĂ©cifique pour la moyenne des rejets de protoxyde d'azote N2O est de 7 kg/tonne produite d'acide nitrique 100 %.7° AlinĂ©a supprimĂ©8° SidĂ©rurgie a AgglomĂ©ration les dispositions du 1° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes Quel que soit le flux horaire, les valeurs limites de concentration et de flux spĂ©cifique en poussiĂšres sont simultanĂ©ment infĂ©rieures aux deux valeurs ci-aprĂšs - ateliers de cuisson des agglomĂ©rĂ©s 100 mg/m3 et 200 g/tonne d'agglomĂ©rĂ© pour l'ensemble des poussiĂšres Ă©mises par ces ateliers ;- autres ateliers 100 mg/m3 et 100 g/tonne d'agglomĂ©rĂ© pour les poussiĂšres Ă©mises par l'ensemble de ces dispositions du 3° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes Quel que soit le flux horaire, la valeur limite de concentration de rejet en oxydes de soufre est infĂ©rieure Ă 750 mg/ dispositions du 4° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes Quel que soit le flux horaire, la valeur limite de concentration de rejet en oxydes d'azote est infĂ©rieure Ă 750 mg/ AciĂ©ries de conversion les dispositions du 1° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes Pour le gaz primaire, en dehors des phases de rĂ©cupĂ©ration des gaz de procĂ©dĂ© moins de 20 % du flux total Ă©mis, la valeur limite de concentration en poussiĂšres est infĂ©rieure Ă 80 mg/ Fours Ă arc Ă©lectrique y compris le prĂ©chauffage de la ferraille, le chargement, la fusion, la coulĂ©e, la mĂ©tallurgie en poche et la mĂ©tallurgie secondaire les dispositions du 1° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes La valeur limite d'Ă©mission des poussiĂšres ne dĂ©passe pas 5 mg/ Nm3 en moyenne journaliĂšre. La valeur limite d'Ă©mission du mercure ne dĂ©passe pas 0,05 mg/ Nm3 en moyenne sur la pĂ©riode d'Ă©chantillonnage mesure discontinue, prĂ©lĂšvement instantanĂ© pendant au moins quatre heures. L'exploitant peut solliciter une dĂ©rogation permettant de fixer des valeurs limites d'Ă©mission qui excĂšdent ces niveaux d'Ă©mission. Cette demande est formulĂ©e et instruite dans les formes prĂ©vues au I de l'article L. 515-29 du code de l'environnement et dans les dispositions rĂ©glementaires prises pour son Fabrication d'aluminium par Ă©lectrolyse les dispositions du 6° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes Les Ă©missions de fluor et de composĂ©s fluorĂ©s, sous forme de gaz et de poussiĂšres, ne dĂ©passent pas 1 kg de fluor par tonne d'aluminium produite ; en moyenne sur un mois, cette valeur ne doit pas dĂ©passer 850 g par tonne d'aluminium Cubilots de fonderie de fonte les dispositions du 1° de l'article 27 sont complĂ©tĂ©es par les dispositions suivantes La valeur limite de flux spĂ©cifique pour les rejets de poussiĂšres Ă©mises par les cubilots dans les fonderies de fonte, sur un cycle complet de fabrication, est de 500 g par tonne de fonte produite pour les cubilots de capacitĂ© infĂ©rieure ou Ă©gale Ă 4 tonnes ;350 g par tonne de fonte produite pour les cubilots de capacitĂ© supĂ©rieure Ă 4 tonnes mais infĂ©rieure ou Ă©gale Ă 8 tonnes ;200 g par tonne de fonte produite pour les cubilots de capacitĂ© supĂ©rieure Ă 8 Fours Ă cuve de fusion de cuivre Ă©lectrolytique les dispositions du d du 8° de l'article 27 sont complĂ©tĂ©es par les dispositions suivantes Pour les gaz de rejets des fours Ă cuve, lors de la fusion de cuivre Ă©lectrolytique, les Ă©missions de cuivre et de ses composĂ©s, exprimĂ©es en cuivre, ne dĂ©passent pas 10 mg/ AbrogĂ©13° PolymĂ©risation du chlorure de vinyle homopolymĂšres et copolymĂšres les dispositions du troisiĂšme tiret du 12° de l'article 27 et du c du 7 de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes La teneur rĂ©siduelle en chlorure de vinyle, avant sĂ©chage, ne doit pas dĂ©passer les valeurs suivantes, en moyenne mensuelle PVC en masse 50 mg/kg de en suspension 100 mg/kg de polymĂšre ;CopolymĂšres en suspension 400 mg/kg de et Ă©mulsion HomopolymĂšres 1 200 mg/kg de polymĂšre ;CopolymĂšres 1 500 mg/kg de Installations de sĂ©chage de matĂ©riaux divers, vĂ©gĂ©taux organiques ou minĂ©raux les dispositions du 1° de l'article 27 sont remplacĂ©es par la disposition suivante a Quel que soit le flux horaire, la valeur limite de concentration pour les rejets de poussiĂšres est de 100 mg/ Installations de manipulation, chargement et dĂ©chargement de produits pondĂ©reux les dispositions du 1° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes La concentration en poussiĂšres de l'air ambiant Ă plus de 5 m de l'installation ou du bĂątiment renfermant l'installation ne dĂ©passe pas 50 mg/ Installations de combustion, Ă l'exclusion des chaudiĂšres, turbines et moteurs relevant de la rubrique 2910 de la nomenclature des installations classĂ©es les dispositions du 3° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes Dans le cas d'un combustible liquide, la valeur limite de concentration pour les rejets d'oxydes de soufre exprimĂ©s en dioxyde de soufre est de 1 700 mg/Nm3 pour une teneur en oxygĂšne des fumĂ©es de 3 % en volume Ă l'Ă©tat le cas des fours, l'arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral d'autorisation tient compte de l'Ă©ventuelle rĂ©tention du soufre par les produits le cas d'installations consommant, simultanĂ©ment ou sĂ©parĂ©ment, plusieurs combustibles, l'arrĂȘtĂ© d'autorisation fixe une valeur limite pour chaque combustible. Si des combustibles sont consommĂ©s simultanĂ©ment, la valeur limite doit ĂȘtre une moyenne pondĂ©rĂ©e en fonction de la puissance dĂ©livrĂ©e par chaque AbrogĂ©18° DĂ©shydratation de conditions fixĂ©es au paragraphe 1 de l'article 27 ne s'appliquent pas aux installations de dĂ©shydratation de fourrage pour la partie dĂ©shydratation-sĂ©chage de l' la partie dĂ©shydratation-sĂ©chage de ces installations, la valeurlimite de concentration des poussiĂšres totales Ă©mises est fixĂ©e Ă 200 mg/m3 quel que soit le flux concentrations sont mesurĂ©es sur gaz Imprimerie Impression sur rotative offset Ă sĂ©cheur thermique les dispositions du premier alinĂ©a du a du 7° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes "La valeur limite d'Ă©mission de COV non mĂ©thanique dans les rejets canalisĂ©s, exprimĂ©e en carbone total, est de 15 mg/ la consommation de solvants est supĂ©rieure Ă 15 tonnes par an, le flux annuel des Ă©missions diffuses ne doit pas dĂ©passer 30 % de la quantitĂ© de solvants utilisĂ©e. Le rĂ©sidu de solvant dans le produit fini n'est pas considĂ©rĂ© comme faisant partie des Ă©missions diffuses."HĂ©liogravure d'Ă©dition les dispositions du premier alinĂ©a du a du 7° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes "La valeur limite d'Ă©mission de COV non mĂ©thanique dans les rejets canalisĂ©s, exprimĂ©e en carbone total, est de 75 mg/ la consommation de solvants est supĂ©rieure Ă 25 tonnes par an, le flux annuel des Ă©missions diffuses ne doit pas dĂ©passer 10 % de la quantitĂ© de solvants utilisĂ©e pour les installations autorisĂ©es Ă compter du 31 dĂ©cembre 2000 et 15 % pour les installations autorisĂ©es avant le 1er janvier 2001."Autres ateliers d'hĂ©liogravure, flexographie, impression sĂ©rigraphique en rotative, contrecollage ou vernissage, impression sĂ©rigraphique en rotative sur textiles/cartons les dispositions du premier alinĂ©a du a du 7° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes "La valeur limite d'Ă©mission de COV non mĂ©thanique dans les rejets canalisĂ©s, exprimĂ©e en carbone total, est de 75 mg/ flux annuel des Ă©missions diffuses ne doit pas dĂ©passer 25 % de la quantitĂ© de solvants utilisĂ©e, si la consommation de solvants est infĂ©rieure ou Ă©gale Ă 25 tonnes par an ;20 % de la quantitĂ© de solvants utilisĂ©e, si la consommation de solvants est supĂ©rieure Ă 25 tonnes par an."20° Application de revĂȘtement adhĂ©sif sur support quelconque toute activitĂ© dans laquelle une colle est appliquĂ©e sur une surface, Ă l'exception des revĂȘtements et des adhĂ©sifs entrant dans des procĂ©dĂ©s d'impression si la consommation de solvants est supĂ©rieure Ă 5 tonnes par an, les dispositions du premier alinĂ©a du a du 7° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes "Si la consommation de solvants est infĂ©rieure ou Ă©gale Ă 15 tonnes par an, la valeur limite d'Ă©mission de COV non mĂ©thanique dans les rejets canalisĂ©s, exprimĂ©e en carbone total, est de 50 mg/m3. En cas d'utilisation d'une technique permettant la rĂ©utilisation des solvants rĂ©cupĂ©rĂ©s, la valeur limite d'Ă©mission exprimĂ©e en carbone total est de 150 mg/m3, sauf en cas d'utilisation de composĂ©s mentionnĂ©s au c du 7° de l'article flux annuel des Ă©missions diffuses ne doit pas dĂ©passer 25 % de la quantitĂ© de solvants la consommation de solvants est supĂ©rieure Ă 15 tonnes par an, la valeur limite d'Ă©mission de COV non mĂ©thanique dans les rejets canalisĂ©s, exprimĂ©e en carbone total, est de 50 mg/m3. En cas d'utilisation d'une technique permettant la rĂ©utilisation des solvants rĂ©cupĂ©rĂ©s, la valeur limite d'Ă©mission canalisĂ©e exprimĂ©e en carbone total est de 150 mg/m3, sauf en cas d'utilisation de composĂ©s mentionnĂ©s au c du 7° de l'article flux annuel des Ă©missions diffuses ne doit pas dĂ©passer 20 % de la quantitĂ© de solvants utilisĂ©e."21° Application de revĂȘtement sur un support en bois si la consommation de solvants est supĂ©rieure Ă 15 tonnes par an, les dispositions du premier alinĂ©a du a du 7° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes "Si la consommation de solvants est infĂ©rieure ou Ă©gale Ă 25 tonnes par an, la valeur limite d'Ă©mission de COV non mĂ©thanique dans les rejets canalisĂ©s, exprimĂ©e en carbone total, est de 100 mg/m3 pour l'ensemble des activitĂ©s de sĂ©chage et d'application du revĂȘtement dans des conditions flux annuel des Ă©missions diffuses ne doit pas dĂ©passer 25 % de la quantitĂ© de solvants la consommation de solvant est supĂ©rieure Ă 25 tonnes par an, la valeur limite d'Ă©mission de COV non mĂ©thanique dans les rejets canalisĂ©s, exprimĂ©e en carbone total, est de 50 mg/m3 pour le sĂ©chage et 75 mg/m3 pour l' flux annuel des Ă©missions diffuses ne doit pas dĂ©passer 20 % de la quantitĂ© de solvants utilisĂ©e."22° Application de revĂȘtement, notamment sur support mĂ©tal, plastique, textile, carton, papier, Ă l'exception des activitĂ©s couvertes par les points 19 et 20 si la consommation de solvants est supĂ©rieure Ă 5 tonnes par an, les dispositions du premier alinĂ©a du a du 7° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes "Si la consommation de solvants est infĂ©rieure ou Ă©gale Ă 15 tonnes par an, la valeur limite d'Ă©mission de COV non mĂ©thanique dans les rejets canalisĂ©s, exprimĂ©e en carbone total, est de 100 mg/m3. Cette valeur s'applique Ă l'ensemble des activitĂ©s de sĂ©chage et d'application, effectuĂ©es dans des conditions maĂźtrisĂ©es. Le flux annuel des Ă©missions diffuses ne doit pas dĂ©passer 25 % de la quantitĂ© de solvants utilisĂ©e. L'activitĂ© d'impression sĂ©rigraphique est soumise aux dispositions du 19° ci-dessus ;Si la consommation de solvant est supĂ©rieure Ă 15 tonnes par an, la valeur limite d'Ă©mission de COV non mĂ©thanique dans les rejets canalisĂ©s, exprimĂ©e en carbone total, est de 50 mg/m3 pour le sĂ©chage et de 75 mg/m3 pour l'application. Pour le revĂȘtement sur textile, en cas d'utilisation d'une technique permettant la rĂ©utilisation du solvant rĂ©cupĂ©rĂ©, la valeur limite d'Ă©mission exprimĂ©e en carbone total est de 150 mg/m3 ; cette valeur s'applique Ă l'ensemble des opĂ©rations application de sĂ©chage. Toutefois, elle ne s'applique pas en cas d'utilisation de composĂ©s mentionnĂ©s au c du 7° de l'article 27. Le flux annuel des Ă©missions diffuses ne doit pas dĂ©passer 20 % de la quantitĂ© de solvants utilisĂ©e. L'impression sĂ©rigraphique en rotative sur textiles et cartons est soumise aux dispositions du 19° ci-dessus."Lorsque les activitĂ©s de revĂȘtement ne peuvent pas ĂȘtre rĂ©alisĂ©es dans des conditions maĂźtrisĂ©es telles que la construction navale, le revĂȘtement des aĂ©ronefs ..., l'exploitant peut dĂ©roger Ă ces valeurs, s'il est prouvĂ© que l'installation ne peut, d'un point de vue technique et Ă©conomique, respecter cette valeur, pour autant qu'il n'y ait pas de risques significatifs pour la santĂ© humaine ou l'environnement. L'exploitant devra dĂ©montrer qu'il fait appel aux meilleures techniques disponibles. On entend par conditions maĂźtrisĂ©es, les conditions selon lesquelles une installation fonctionne de façon que les COV libĂ©rĂ©s par l'activitĂ© soient captĂ©s et Ă©mis de maniĂšre contrĂŽlĂ©e, par le biais soit d'une cheminĂ©e, soit d'un Ă©quipement de rĂ©duction, et ne soient, par consĂ©quent, plus entiĂšrement Fabrication de mĂ©langes, revĂȘtements, vernis, encres et colles fabrication de produits finis et semi-finis, rĂ©alisĂ©e par mĂ©lange de pigments, de rĂ©sines et de matiĂšres adhĂ©sives Ă l'aide de solvants organiques ou par d'autres moyens ; la fabrication couvre la dispersion et la prĂ©dispersion, la correction de la viscositĂ© et de la teinte et le transvasement du produit final dans son contenant si la consommation de solvants est supĂ©rieure Ă 100 tonnes par an, les dispositions du premier alinĂ©a du a du 7° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes "Si la consommation de solvants est infĂ©rieure ou Ă©gale Ă 1 000 tonnes par an, la valeur limite d'Ă©mission de COV non mĂ©thanique dans les rejets canalisĂ©s, exprimĂ©e en carbone total, est de 110 mg/m3. Le flux annuel des Ă©missions diffuses ne doit pas dĂ©passer 5 % de la quantitĂ© de solvants utilisĂ©e. Le flux des Ă©missions diffuses ne comprend pas les solvants vendus avec les mĂ©langes dans un rĂ©cipient fermĂ© hermĂ©tiquement ;Si la consommation de solvant est supĂ©rieure Ă 1 000 tonnes par an, la valeur limite d'Ă©mission de COV non mĂ©thanique dans les rejets canalisĂ©s, exprimĂ©e en carbone total, est de 110 mg/m3. Le flux annuel des Ă©missions diffuses ne doit pas dĂ©passer 3 % de la quantitĂ© de solvants utilisĂ©e. Le flux des Ă©missions diffuses ne comprend pas les solvants vendus avec les mĂ©langes dans un rĂ©cipient fermĂ© hermĂ©tiquement."Les dispositions ci-dessus ne s'appliquent pas si les Ă©missions totales diffuses et canalisĂ©es de COV sont infĂ©rieures ou Ă©gales Ă 5 % de la quantitĂ© de solvants utilisĂ©e, si celle-ci est infĂ©rieure ou Ă©gale Ă 1 000 tonnes par an ;3 % de la quantitĂ© de solvants utilisĂ©e, si celle-ci est supĂ©rieure Ă 1 000 tonnes par an".24° Emploi ou rĂ©emploi de caoutchouc toute activitĂ© de mixage, de malaxage, de calandrage, d'extrusion et de vulcanisation de caoutchouc naturel ou synthĂ©tique ainsi que toute opĂ©ration connexe destinĂ©e Ă transformer le caoutchouc naturel ou synthĂ©tique en un produit fini si la consommation de solvants est supĂ©rieure Ă 15 tonnes par an, les dispositions du premier alinĂ©a du a du 7° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes "La valeur limite d'Ă©mission de COV non mĂ©thanique dans les rejets canalisĂ©s, exprimĂ©e en carbone total, est de 20 mg/m3. Toutefois, en cas d'utilisation d'une technique permettant la rĂ©utilisation du solvant rĂ©cupĂ©rĂ©, la valeur limite d'Ă©mission canalisĂ©e, exprimĂ©e en carbone total, est portĂ©e Ă 150 mg/m3, sauf en cas d'utilisation de composĂ©s mentionnĂ©s au c du 7° de l'article flux annuel des Ă©missions diffuses ne doit pas dĂ©passer 25 % de la quantitĂ© de solvants utilisĂ©e. Les flux annuel des Ă©missions diffuses ne comprennent pas les solvants vendus, avec les produits ou prĂ©parations, dans un rĂ©cipient fermĂ© dispositions ci-dessus ne s'appliquent pas si les Ă©missions totales annuelles canalisĂ©es et diffuses de COV sont infĂ©rieures ou Ă©gales Ă 25 % de la quantitĂ© de solvant utilisĂ©e annuellement."25° Utilisation de solvants dans la chimie fine pharmaceutique toute activitĂ© de synthĂšse chimique, fermentation, extraction, formulation et la prĂ©sentation de produits chimiques finis ainsi que la fabrication des produits semis-finis si elle se dĂ©roule sur la mĂȘme installation. Si sur l'installation une autre activitĂ© de chimie fine est exercĂ©e, phytosanitaire, vĂ©tĂ©rinaire, cosmĂ©tique, colorants, photographie, notamment, les valeurs limites d'Ă©missions prĂ©vues au prĂ©sent point s'appliquent Ă l'ensemble des activitĂ©s de l'installation si la consommation de solvants est supĂ©rieure Ă 50 tonnes par an, les dispositions du premier alinĂ©a du a du 7° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes "La valeur limite d'Ă©mission de COV non mĂ©thanique dans les rejets canalisĂ©s, exprimĂ©e en carbone total, est de 20 mg/m3. Toutefois, en cas d'utilisation d'une technique permettant la rĂ©utilisation du solvant rĂ©cupĂ©rĂ©, la valeur limite d'Ă©mission canalisĂ©e est portĂ©e Ă 150 mg/m3, sauf en cas d'utilisation de composĂ©s mentionnĂ©s au c du 7° de l'article flux annuel des Ă©missions diffuses ne doit pas dĂ©passer 5 % de la quantitĂ© de solvants utilisĂ©e pour les installations autorisĂ©es Ă compter du 30 dĂ©cembre 2000 et 15 % pour les installations autorisĂ©es avant le 1er janvier 2001. Les valeurs limites d'Ă©mission diffuses ne comprennent pas les solvants, vendus avec les prĂ©parations ou produits dans un rĂ©cipient fermĂ© dispositions ci-dessus ne s'appliquent pas si les Ă©missions totales annuelles de COV sont - pour les installations autorisĂ©es Ă compter du 30 dĂ©cembre 2000, infĂ©rieures ou Ă©gales Ă 5 % de la quantitĂ© annuelle totale de solvants utilisĂ©s ;- pour les installations autorisĂ©es avant le 1er janvier 2001, infĂ©rieures ou Ă©gales Ă 15 % de la quantitĂ© annuelle totale de solvants utilisĂ©s."26° Fabrication de bois et de plastiques stratifiĂ©s toute activitĂ© de collage de bois et de plastique en vue de produire des laminats si la consommation de solvants est supĂ©rieure Ă 5 tonnes par an, les dispositions du premier alinĂ©a du a du 7° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes "Le total des Ă©missions de COV est infĂ©rieur ou Ă©gal Ă 30 g/m2."27° Fabrication de chaussures si la consommation de solvants est supĂ©rieure Ă 5 tonnes par an, les dispositions du premier alinĂ©a du a du 7° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes "Le total des Ă©missions de COV est infĂ©rieur ou Ă©gal Ă 25 grammes par paire de chaussures complĂšte fabriquĂ©e."28° Nettoyage Ă sec les dispositions du premier alinĂ©a du a du 7° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes "Le total des Ă©missions de COV est infĂ©rieur ou Ă©gal Ă 20 grammes par kilogramme de produit nettoyĂ© et sĂ©chĂ©. Les dispositions du paragraphe c sauf dernier alinĂ©a du 7° de l'article 27 ne s'appliquent pas Ă ce secteur."29° RevĂȘtement sur fil de bobinage toute activitĂ© de revĂȘtement de conducteurs mĂ©talliques utilisĂ©s pour le bobinage des transformateurs, des moteurs par exemple si la consommation de solvants est supĂ©rieure Ă 5 tonnes par an, les dispositions du premier alinĂ©a du a du 7° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes "Le total des Ă©missions de COV est infĂ©rieur ou Ă©gal Ă 10 grammes par kilogramme de fil revĂȘtu si le diamĂštre du fil est infĂ©rieur ou Ă©gal Ă 0,1 mm et de 5 grammes par kilogramme de fil revĂȘtu pour les fils de diamĂštre supĂ©rieur."30° Laquage en continu toute activitĂ© dans laquelle une bobine de feuillard, de l'acier inoxydable, de l'acier revĂȘtu ou une bande en alliage de cuivre ou en aluminium est revĂȘtu d'un ou plusieurs films dans un procĂ©dĂ© continu si la consommation de solvants est supĂ©rieure Ă 25 tonnes par an, les dispositions du premier alinĂ©a du a du 7° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes "Si la consommation de solvant est supĂ©rieure Ă 25 tonnes par an, la valeur limite d'Ă©mission de COV non mĂ©thanique dans les rejets canalisĂ©s, exprimĂ©e en carbone total, est de 50 mg/m3. En cas d'utilisation d'une technique permettant la rĂ©utilisation du solvant rĂ©cupĂ©rĂ©, la valeur limite d'Ă©mission canalisĂ©e, exprimĂ©e en carbone total, est de 150 mg/m3, sauf en cas d'utilisation de produits mentionnĂ©s au c du 7° de l'article 27 ;Pour les installations autorisĂ©es respectivement, Ă compter du 30 dĂ©cembre 2000 et avant le 1er janvier 2001, le flux annuel des Ă©missions diffuses ne doit pas dĂ©passer respectivement 5 % et 10 % de la quantitĂ© de solvants utilisĂ©e."31° Atelier de rĂ©paration et d'entretien de vĂ©hicules et d'engins Ă moteur toute activitĂ© industrielle ou commerciale de revĂȘtement de surface ainsi que les activitĂ©s connexes de dĂ©graissage Ă appliquer si la consommation de solvants est supĂ©rieure Ă 0,5 tonne par an, les dispositions du premier alinĂ©a du a du 7° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes "La valeur limite d'Ă©mission de COV non mĂ©thanique dans les rejets canalisĂ©s, exprimĂ©e en carbone total, est de 50 mg/m3. La conformitĂ© Ă cette valeur est dĂ©terminĂ©e sur la base de mesures moyennes quart flux annuel des Ă©missions diffuses ne doit pas dĂ©passer 25 % de la quantitĂ© de solvants utilisĂ©e."32° Fabrication de polystyrĂšne expansĂ© les dispositions du premier alinĂ©a du a du 7° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes "L'exploitant met en Ćuvre des procĂ©dures visant Ă rĂ©duire les Ă©missions de COV de son installation comprenant notamment - l'utilisation de matiĂšres premiĂšres contenant au plus 4 % de COV en masse, lorsque la possibilitĂ© technique existe ;- le recyclage intĂ©gral des chutes de dĂ©coupe ;- l'incorporation optimale de matĂ©riaux usagĂ©s dans les matiĂšres premiĂšres ;- la captation et le traitement des Ă©missions, lorsque la possibilitĂ© technique existe, notamment sur les postes de prĂ©-expansion."33° RevĂȘtement sur vĂ©hicules si la consommation de solvants est supĂ©rieure Ă 0,5 tonne par an et infĂ©rieure ou Ă©gale Ă 15 tonnes par an, les dispositions du premier alinĂ©a du a du 7° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes "La valeur limite d'Ă©mission de COV non mĂ©thanique dans les rejets canalisĂ©s, exprimĂ©e en carbone total, est de 50 mg/m3. La conformitĂ© Ă cette valeur est dĂ©terminĂ©e sur la base de mesures moyennes quart flux annuel des Ă©missions diffuses ne doit pas dĂ©passer 25 % de la quantitĂ© de solvants utilisĂ©e."Si la consommation de solvants est supĂ©rieure Ă 15 tonnes par an, les dispositions du premier alinĂ©a du a du 7° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes "Les valeurs limites d'Ă©mission totales sont exprimĂ©es en grammes de solvant par mĂštre carrĂ© de surface revĂȘtue et en kilogrammes de solvant Ă©mis par carrosserie d'automobile surface revĂȘtue, indiquĂ©e au tableau ci-dessous, est dĂ©finie comme suit La surface totale de l'aire calculĂ©e sur la base de la surface de revĂȘtement Ă©lectrophorĂ©tique totale et de l'aire de toutes les parties Ă©ventuellement ajoutĂ©es lors d'Ă©tapes successives du traitement qui reçoivent le mĂȘme revĂȘtement que celui utilisĂ© pour le produit en question, ou l'aire totale du produit traitĂ© dans l' de la surface de revĂȘtement Ă©lectrophorĂ©tique est calculĂ©e Ă l'aide de la formule suivante 2 x poids total de la coqueĂ©paisseur moyenne de la tĂŽle x densitĂ© de la tĂŽleCette mĂ©thode est appliquĂ©e Ă©galement pour d'autres parties en conception assistĂ©e par ordinateur ou d'autres mĂ©thodes Ă©quivalentes sont utilisĂ©es pour le calcul de l'aire des autres parties ajoutĂ©es ou de l'aire totale traitĂ©e dans l' le tableau suivant, la valeur limite d'Ă©mission totale se rapporte Ă toutes les Ă©tapes des opĂ©rations qui se dĂ©roulent dans la mĂȘme installation, de l'application par Ă©lectrophorĂšse ou par tout autre procĂ©dĂ© de revĂȘtement jusqu'au polissage de la couche de finition, ainsi qu'aux solvants utilisĂ©s pour le nettoyage du matĂ©riel, y compris la zone de pulvĂ©risation et autre Ă©quipement fixe, tant pendant la durĂ©e de production qu'en dehors de celle-ci. La valeur limite d'Ă©mission totale est exprimĂ©e en poids total de composĂ©s organiques par mĂštre carrĂ© de surface revĂȘtue et en masse totale de composĂ©s organiques par carrosserie d'automobile DE PRODUCTION production annuelle du produit traitĂ©VALEUR LIMITE D'ĂMISSION TOTALEInstallations autorisĂ©es Ă compter du 30 dĂ©cembre 2000Installations autorisĂ©e avant le 1er janvier 2001RevĂȘtement d'automobiles neuves45 g/mÂČ ou 1,3 kg/carrosserie + 33 g/mÂČ60 g/mÂČ ou 1,9 kg/carrosserie + 41 g/mÂȆ5000 monocoque ou > 3500 chĂąssis90 g/mÂČ ou 1,5 kg/carrosserie + 70 g/mÂČ90 g/mÂČ ou 1,5 kg/carrosserie + 70 g/mÂČRevĂȘtement de cabines de camion neuves†5000 > 500065 g/mÂČ 55 g/mÂČ85 g/mÂČ 75 g/mÂČRevĂȘtement de camionnettes et camions neufs†2500 > 250090 g/mÂČ 70 g/mÂČ120 g/mÂČ 90 g/mÂČRevĂȘtement d'autobus neufs†2000 > 2000210 150290 22534° Extraction d'huiles vĂ©gĂ©tales et de graisses animales et activitĂ©s de raffinage d'huile vĂ©gĂ©tale toute activitĂ© d'extraction d'huile vĂ©gĂ©tale Ă partir de graines et d'autres matiĂšres vĂ©gĂ©tales, le traitement de rĂ©sidus secs destinĂ©s Ă la production d'aliments pour animaux, la purification de graisses et d'huiles vĂ©gĂ©tales dĂ©rivĂ©es de graines, de matiĂšre vĂ©gĂ©tale et/ou de matiĂšres animales si la consommation de solvants est supĂ©rieure Ă 10 tonnes par an, les dispositions du premier alinĂ©a du a du 7° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes La valeur limite d'Ă©mission totale des Ă©missions de COV non mĂ©thanique figure dans le tableau ci-dessous pour diffĂ©rents types de produits DE MATIĂRE TRAITĂE 1VALEUR LIMITE D'ĂMISSION totale de cov par tonne de matiĂšre traitĂ©e 1Graisse animale1,5 kg/tonneRicin3 kg/tonneColza1 kg/tonneTournesol1 kg/tonneSoja broyage normal0,8 kg/tonneSoja flocons blancs1,2 kg/tonneAutres graines et autres matiĂšres vĂ©gĂ©tales3 kg/tonne 2 3 41 IntitulĂ© modifiĂ© par arrĂȘtĂ© du 2 mai 2002, art. 4-I et 4-II.2 Pour les installations transformant des lots sĂ©parĂ©s, les valeurs limites d'Ă©mission sont fixĂ©es au cas par cas en recourant aux meilleures techniques disponibles.3 Pour les procĂ©dĂ©s de fractionnement, Ă l'exception de la dĂ©mucilagination Ă©limination des matiĂšres gommeuses de l'huile, le total des Ă©missions est infĂ©rieur ou Ă©gal Ă 1,5 kg/tonne.4 Pour la dĂ©mucilagination, le total des Ă©missions est infĂ©rieur ou Ă©gal Ă 4 kg/ Travail du cuir si la consommation de solvants est supĂ©rieure Ă 10 tonnes par an, les dispositions du premier alinĂ©a du a du 7° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes "Si la consommation de solvants est infĂ©rieure ou Ă©gale Ă 25 tonnes par an, le total des Ă©missions de COV ne doit pas dĂ©passer 85 grammes par mĂštre carrĂ© de produit fabriquĂ© ;Si la consommation de solvants est supĂ©rieure Ă 25 tonnes par an, le total des Ă©missions de COV ne doit pas dĂ©passer 75 grammes par mĂštre carrĂ© de produit fabriquĂ©."Par exception aux prescriptions ci-dessus, pour les activitĂ©s de revĂȘtement du cuir dans l'ameublement et de certains produits en cuir utilisĂ©s comme petits articles de consommation tels que les sacs, les ceintures, les portefeuilles, etc., si la consommation de solvants est supĂ©rieure Ă 10 tonnes par an, le total des Ă©missions de COV ne doit pas dĂ©passer 150 grammes par mĂštre carrĂ© de produit Nettoyage de surfacesToute activitĂ© de nettoyage ou de dĂ©graissage de surfaces utilisant des liquides organohalogĂ©nĂ©s ou des solvants organiques. Une activitĂ© de nettoyage constituĂ©e de plusieurs Ă©tapes se dĂ©roulant avant et aprĂšs une autre activitĂ© est considĂ©rĂ©e comme une seule activitĂ©Si la consommation de solvants est supĂ©rieure Ă 2 tonnes par an, les dispositions du premier alinĂ©a du a du 7° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes La valeur limite exprimĂ©e en carbone total de la concentration globale de l'ensemble des composĂ©s organiques volatils Ă l'exclusion du mĂ©thane est de 75 mg/m3. Le flux annuel des Ă©missions diffuses de ces composĂ©s ne doit en outre pas dĂ©passer 20 % de la quantitĂ© de solvants utilisĂ©e ; ce taux est ramenĂ© Ă 15 % si la consommation de solvants est supĂ©rieure Ă 10 tonnes par la consommation de solvants de mentions de danger H340, H350, H350i, H360D ou H360F ou Ă phrase de risque R 45, R 46, R 49, R 60, R 61 ou halogĂ©nĂ©s de mentions de danger H341 ou H351 ou Ă©tiquetĂ©s R40 ou R68 est supĂ©rieure Ă 1 tonne par an, les dispositions du deuxiĂšme alinĂ©a du c du 7° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes La valeur limite de la concentration globale des solvants de mentions de danger H340, H350, H350i, H360D ou H360F ou Ă phrase de risque R 45, R 46, R 49, R 60, R 61, exprimĂ©e en masse de la somme des diffĂ©rents composĂ©s, est de 2 mg/m3. La valeur limite de la concentration globale des solvants halogĂ©nĂ©s de mentions de danger H341 ou H351 ou Ă©tiquetĂ©s R40 ou R68, exprimĂ©e en masse de la somme des diffĂ©rents composĂ©s, est de 20 mg/m3. Le flux annuel des Ă©missions diffuses de ces solvants ne doit en outre pas dĂ©passer 15 % de la quantitĂ© de solvants utilisĂ©e ; ce taux est ramenĂ© Ă 10 % si la consommation de solvants est supĂ©rieure Ă 5 tonnes par Fabrication de panneaux Ă base de bois panneaux de particules orientĂ©es, panneaux d'agglomĂ©rĂ© ou panneaux de fibres si la capacitĂ© de production est supĂ©rieure Ă 600 m3 par jour. Les niveaux d'oxygĂšne de rĂ©fĂ©rence sont les suivants Source d'Ă©missions Niveau d'oxygĂšne de rĂ©fĂ©rence Les sĂ©choirs directs pour panneaux de particules ou panneaux Ă lamelles orientĂ©es OSB, seuls ou en association avec la presse 18 % d'oxygĂšne en volume Toutes autres sources Pas de correction pour l'oxygĂšneLes valeurs d'Ă©mission sont exprimĂ©es en mg/ Nm3 sur gaz secs valeur moyenne de trois mesures consĂ©cutives d'au moins 30 minutes chacune 1. Les dispositions du a du 7° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes Pour le COVT, les Ă©missions respectent les valeurs limites suivantes Produit Valeur limite d'Ă©mission Pour les Ă©missions atmosphĂ©riques du sĂ©choir seul et pour les Ă©missions atmosphĂ©riques combinĂ©es et traitĂ©es du sĂ©choir et de la presse Panneaux de particules qui n'utilisent pas du pin comme matiĂšre premiĂšre principale 200 Panneaux Ă lamelles orientĂ©es OSB 400 Panneaux de fibre 120 Pour les Ă©missions atmosphĂ©riques de la presse - 100 Pour les Ă©missions atmosphĂ©riques provenant d'un sĂ©choir d'imprĂ©gnation du papier - 30L'exploitant peut solliciter une dĂ©rogation permettant de fixer des valeurs limites d'Ă©mission qui excĂšdent ces niveaux d'Ă©mission. Cette demande est formulĂ©e et instruite dans les formes prĂ©vues au I de l'article L. 515-29 du code de l'environnement et dans les dispositions rĂ©glementaires prises pour son application. Pour ce qui concerne le formaldĂ©hyde, les dispositions du b et du c du 7° de l'article 27 sont remplacĂ©es par les dispositions suivantes Pour le formaldĂ©hyde, les Ă©missions respectent les valeurs limites suivantes Produit Valeur limite d'Ă©mission Pour les Ă©missions atmosphĂ©riques du sĂ©choir seul et pour les Ă©missions atmosphĂ©riques combinĂ©es et traitĂ©es du sĂ©choir et de la presse Panneaux de particules qui utilisent presque exclusivement du bois de rĂ©cupĂ©ration 15 Autres panneaux de particules 10 Panneaux Ă lamelles orientĂ©es OSB 20 Panneaux de fibre 15 Pour les Ă©missions atmosphĂ©riques de la presse - 15 Pour les Ă©missions atmosphĂ©riques provenant d'un sĂ©choir d'imprĂ©gnation du papier - 10L'exploitant peut solliciter une dĂ©rogation permettant de fixer des valeurs limites d'Ă©mission qui excĂšdent ces niveaux d'Ă©mission. Cette demande est formulĂ©e et instruite dans les formes prĂ©vues au I de l'article L. 515-29 du code de l'environnement et dans les dispositions rĂ©glementaires prises pour son application.
Tourde France. Un stock de 10 000 litres dâeau pour refroidir les routes pendant la canicule. La canicule attendue ces prochains jours sur la route du Tour de France oblige les organisateurs Ă
Vote pour lâinterdiction du glyphosateđ MalgrĂ© les enjeux considĂ©rables concernant lâutilisation du glyphosate pour la santĂ© de nos cours dâeau, de nos zones humides et de nos cĂŽtes, nous dĂ©plorons lâabsence de tous les dĂ©putĂ©s vendĂ©ens lors du vote sur le sujet. Nous ne connaissons pas la conviction de chaque dĂ©putĂ© sur le sujet mais on ne peut croire que les impacts sur la vie des baies, estuaires et cours dâeau laissent nos Ă©lus indiffĂ©rents. Ne pas se prononcer sur les questions agricoles revient Ă laisser la dĂ©cision Ă lâexĂ©cutif dont on a compris quâil est trĂšs attentif aux arguments de lâagro industrie. Ceux qui aiment les huĂźtres et les hirondelles pourront interroger leur dĂ©putĂ© ... FrĂ©dĂ©ric Signoret PrĂ©sident & porte-parole de la LPO VendĂ©e Glyphosate qui a votĂ© quoi ? Votre dĂ©putĂ© a-t-il votĂ© pour ou contre lâinterdiction ?
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dosage de glyphosate pour 10 litres d eau