Directionde la tranquillité publique – mission prévention. La mission prévention a en charge la prévention sociale de la délinquance et le développement d’actions de Le conseil métropolitain de sécurité et de prévention de la délinquance de Toulouse Métropole CMSPD a été installé le 13 novembre 2017. Il remplace le conseil intercommunal de sécurité et de prévention de la délinquance CISPD créé en 2002 délibération du Conseil Métropolitain en date du 29 juin 2017. Le Conseil Métropolitain de Sécurité et de Prévention de la Délinquance constitue l'instance de partenariat, de concertation et de débat sur les priorités de lutte contre l'insécurité et de prévention de la délinquance sur le territoire métropolitain. A ce titre Il définit, met en œuvre et évalue les actions de prévention de la délinquance prévues dans le cadre de la contractualisation entre l'État, les collectivités et les partenaires. Il décline la stratégie nationale et départementale de sécurité et de prévention de la délinquance. Il coordonne les actions métropolitaines en matière de sécurité et de prévention de la délinquance Il favorise les échanges, le partage d'expériences, la mutualisation des approches, la création d'outils métropolitains. Il assure le pilotage et le suivi du Schéma Métropolitain de Sécurité et de Prévention de la Délinquance. Il est présidé par Jean-Luc Moudenc, Président de Toulouse Métropole. L'élue référente est Julie Escudier, Vice-Présidente en charge de la cohésion sociale. Le CMSPD est composé de membres de droit Préfet de la Haute-Garonne, Procureur de la République, Président du Conseil Départemental de la Haute-Garonne, de la Vice-présidente de Toulouse Métropole déléguée à la cohésion sociale, de la Présidente de la Commission Cohésion Sociale de Toulouse Métropole ainsi que les membres du bureau de la Commission, des Maires du territoire du Toulouse Métropole, des représentants des services de l'État, de partenaires associatifs et institutionnels. Les instances du CMSPD Trois instances structurent le fonctionnement du Conseil Métropolitain de Sécurité et de Prévention de la Délinquance l'assemblée plénière, le comité restreint et les groupes de travail. L'assemblée plénière du Conseil Métropolitain de Sécurité et de Prévention de la Délinquance est l'instance de définition et de validation des grandes orientations en matière de sécurité et de prévention de la délinquance. Elle est ainsi l'instance active du partenariat, d'écoute et d'information, de constat et de diagnostic, de programmation et d'actions et d'évaluation en matière de sécurité et de prévention de la délinquance. Le comité restreint, présidé par le Président de Toulouse Métropole, est chargé de la mise en œuvre concrète et opérationnelle des axes de travail du Conseil Métropolitain de Sécurité et de Prévention de la Délinquance. Il est composé du Président de Toulouse Métropole, du Procureur de la République, du Préfet de Haute Garonne, des Maires des communes disposant d'un CLSPD et de 4 Maires représentant des communes sans CLSPD. Les groupes de travail du Conseil Métropolitain de Sécurité et de Prévention de la Délinquance sont chargés de travailler sur les axes prioritaires, de les suivre et de les mettre en œuvre. Ces groupes de travail sont amenés à évoluer chaque année selon les décisions prises lors des instances plénières. Chaque groupe de travail est piloté par une personne désignée et actrice de la thématique traitée. Les partenaires y agissent dans le cadre de leur domaine d'intervention. Chaque pilote des groupes de travail est rapporteur lors des séances plénières du Conseil Métropolitain de Sécurité de Prévention de la Délinquance et auprès du comité restreint. La coordinatrice du Conseil Métropolitain de Sécurité et de Prévention de la Délinquance de Toulouse Métropole, Isabelle Martinez, est chargée du secrétariat général du dispositif elle suit l'ensemble des instances, elle coordonne les actions et veille à la cohérence des dispositifs du Conseil Métropolitain de Sécurité et de Prévention de la Délinquance et elle rédige le rapport d'activité du Conseil Métropolitain de Sécurité et de Prévention de la Délinquance. Journée radicalisation le 6 mars 2018 Dans le cadre du CMSPD, et à la suite d'échanges avec les communes, il a été décidé d'organiser une journée de travail avec les 37 communes sur la radicalisation le 6 mars 2018, afin de mutualiser nos expériences et d'échanger sur la thématique de la radicalisation. La première partie de cette journée a été consacrée au processus de radicalisation avec un tour d'horizon des principaux concepts, facteurs et acteurs intervenant dans ce processus avec l'intervention de l'Association ARTEMIS MM. Cabras et Missraoui Dans un second temps , Mme Domenach, Secrétaire Générale du Comité Interministériel de Prévention de la Délinquance et de la Radicalisation, a présenté le nouveau plan national de prévention de la radicalisation Prévenir pour Protéger » présenté le 23 février 2018 par le Premier Ministre. Mme la Députée Mörch, qui a une mission parlementaire sur Radicalisation et Education» est également intervenue pour présenter sa mission. Un échange riche a pu avoir lieu avec les représentants des communes et les expériences territoriales menées par la Métropole ou certaines communes ont été présentées.le1° de cet article prÉvoit que le maire concourt par son pouvoir de police À l'exercice des missions de prÉvention de la dÉlinquance. l'article l. 2211-1 du code gÉnÉral des collectivitÉs territoriales (cgct) dispose dÉjÀ que ce pouvoir de police concourt À l'exercice des missions de sÉcuritÉ publique. le maire pourra donc justifier le recours À ces pouvoirs de Code de l'emploi-référence Intitulé de l'emploi référence CHARGEE/CHARGE DE SECURITE GENERALE Définition synthétique Assurer les opérations de tranquillité, de sécurité générale et contribuer à l’encadrement des missions de sécurité dans tous milieux. Activités principales Accueillir et assister les victimes Animer l’activité des équipes Mettre en œuvre des actions de prévention, de dissuasion et de répression afin d’assurer la sécurité des personnes et des biens Participer à des missions de sécurisation d’un secteur territorial et lutte contre les violences urbaines Protéger des personnalités, des institutions et des sites sensibles Recueillir et transmettre des informations locales de proximité Assurer des interventions en milieu difficile ou y participer en appui Constater des infractions, rechercher et interpeller les auteurs pour les mettre à disposition de services spécialisés ou de la justice Savoir-faire Analyser un risqueGérer une situation de stressPrendre en compte un contexte, une contrainte, une complexitéRédiger une lettre, un document, une note , un rapportRendre compteTravailler en équipe Savoir-être Sens de l'analyseCapacité d'adaptationMaîtrise de soiRéactivité Connaissances En fonction du milieu compétences techniques adaptéesEnvironnement professionnel du domaine d’activitéRègles de déontologie du domaine d’activitéRéglementation du domaine d’activitéSécuritéTechniques du domaine d'activité Compétences managériales requises Conditions particulières d'exercice Aptitude physique et médicale Obligation de résidence Le cas échéant, déplacements fréquents et/ou de longue durée sur le territoire national Le cas échéant, port d’arme, de l’uniforme, habilitation judiciaire Continuité du service 24 h/ 24 h Tendances d'évolution Facteurs clés à moyen terme Modernisation des moyens techniques dans les domaines de l’informatique, des transmissions et de l’armementSensibilité accrue des interventions dans un contexte opérationnel difficile Impact sur l'emploi-référence Maîtrise accrue des nouvelles technologies et techniques d’intervention Exemples de libellés d'emploi-types ministériels associés Ministère / Filière Intitulé de l'emploi type Intérieur Chargée de la sécurité générale en milieu urbain Ministères Sociaux Chargée de sécurité Défense Enquêteurtrice d’unité de sécurité publique en milieu spécialisé Intérieur Sous-officierère d'unité de sécurité publique générale Intérieur Sous-officierère d'unité montagnechargéde mission prévention de la délinquance et coordinateur du groupe de prévention et suivi de la délinquance (h/f) - Ville de AUBERVILLIERS (93 Seine-Saint-Denis)Le code de la sécurité intérieure confie au maire des missions de prévention de la délinquance sur le territoire de sa commune. Dans ce cadre, les communes mettent parfois en œuvre des dispositifs de suivi de situations individuelles. Ces traitements de données personnelles peuvent porter sur des données sensibles ou concerner des publics vulnérables. La CNIL, qui a réalisé des contrôles sur cette thématique, rappelle les principaux points de que la prévention de la délinquance par les mairies ? Les mairies peuvent mettre en œuvre des dispositifs de prévention de la délinquance, au titre des dispositions des articles L. 132-4 et suivants du code de la sécurité intérieure. Certaines communes coordonnent ainsi les actions de prévention de la délinquance et mènent des actions collectives à destination de groupes de personnes sur des thèmes déterminés réunions d’information sur les violences faites aux femmes, sur la déscolarisation…. Elles peuvent également décider de mettre en place des groupes de travail chargés d’examiner des situations individuelles signalées par divers acteurs établissements scolaires, bailleurs sociaux, services de police municipale et nationale afin de déterminer si des actions de suivi individualisé doivent être mises en œuvre. Dans le cadre de l’examen d’une situation individuelle, les mairies sont amenées à traiter des données personnelles. Le plus souvent, ces traitements de données sont réalisés dans le cadre de dispositifs de prévention de la délinquance des mineurs primodélinquants ou exposés à la délinquance, mais ils peuvent également concerner d’autres catégories de personnes femmes victimes de violences, mineurs déscolarisés ou auteurs d’incivilités, etc.. Quel régime juridique ? Avant l’entrée en vigueur du RGPD, les traitements de données personnelles mis en œuvre dans le cadre de la prévention de la délinquance par les mairies étaient encadrés par une autorisation unique AU-38. Depuis l’entrée en vigueur du RGPD, le régime de l’autorisation unique ne s’applique plus aux traitements de données mis en œuvre par les mairies dans le cadre de leurs missions de prévention de la délinquance. Elle reste néanmoins un cadre de référence utile sur lequel les mairies peuvent s’appuyer pour vérifier la conformité de leurs traitements. Quels sont les 5 manquements les plus souvent rencontrés et les bonnes pratiques à adopter ? Une série de contrôles réalisés récemment par la CNIL a permis de mettre en évidence la récurrence de certains manquements. La CNIL souhaite donc rappeler les mauvaises pratiques détectées en précisant les mesures pouvant être mises en œuvre pour les éviter. Une collecte systématique des données sensibles ou des données relatives à des infractions, condamnations et mesures de sûreté. Or, ces données ne doivent en principe être collectées que lorsqu’elles sont indispensables pour le suivi de la personne concernée. Par exemple, pour l’examen de la situation d’un mineur condamné à effectuer des travaux d’intérêt général, le motif de la condamnation n’est pas nécessaire à la mise en œuvre du suivi. Les bonnes pratiques à adopter S’assurer de la stricte nécessité de collecter chaque catégorie de donnée au vu des objectifs du suivi. L’insertion des champs motif du signalement » ou des zones de commentaire libre dans les fiches de suivi sans en contrôler strictement le contenu. L’usage de champs libres favorise la collecte excessive de données. Par exemple, il a été constaté que les champs motifs du signalement » entraînent parfois l’insertion de données issues de fichiers de police comme le Traitement d’antécédents judiciaires TAJ alors que la communication de tels éléments est limitée, dans les textes, à certaines personnes. La CNIL a également constaté, dans certains cas, des commentaires purement subjectifs ou inappropriés. Les bonnes pratiques à adopter Privilégier les fiches individuelles de suivi aux fichiers collectifs de suivi du type tableur, en déterminant un format unique de fiche individuelle de suivi. Ces fiches de suivi doivent être conçues pour minimiser la collecte d’information. Le recours à des cases à cocher avec une liste de choix prédéfinis concernant l’origine du signalement police nationale, bailleurs sociaux, établissement scolaire… plutôt que des zones de commentaire libre est une bonne pratique à adopter. Lorsque le recours à des zones de commentaire libre est nécessaire, le contenu de ces champs doit être strictement contrôlé, avec rappel régulier des consignes aux personnes chargées de les remplir. Une conservation des fiches individuelles ou collectives de suivi sans limite de temps, alors que les données ne doivent être conservées que le temps strictement nécessaire au suivi de la personne concernée. Les bonnes pratiques à adopter Définir des durées de conservation strictes, le cas échéant avec des mécanismes de purge automatique. La gestion des durées de conservation peut être facilitée en proscrivant le recours à des fichiers collectif de suivi, les fiches individuelles de suivi permettant d’avoir une politique fine de gestion des durées de conservation en indiquant dans ces fiches les dates de fin de suivi. Après la fin du suivi, les données peuvent être archivées avec des restrictions d’accès, pendant 3 ans maximum. Une absence d’information des personnes concernées du traitement de leurs données. Or, les personnes doivent être informées du traitement de leurs données aux fins de prévention de la délinquance. Les bonnes pratiques à adopter Prévoir un double niveau d’information des personnes, collective et individualisée. Le site web de la mairie peut ainsi intégrer une rubrique spécifique aux dispositifs de prévention de la délinquance qui informe de façon collective les administrés de l’existence de traitements de données à caractère personnel aux fins de prévention de la délinquance. Par ailleurs, la mairie doit également informer de manière individuelle les personnes concernées lorsque leurs données font l’objet d’un traitement. Cette information individuelle doit intervenir avant la réunion d’examen de la situation de la personne. Une information au moment de la mise en place du suivi social est en effet considérée comme tardive. De manière pratique, il s’agit d’un courrier adressé à la personne concernée et, le cas échéant, à son représentant légal. Un défaut de sécurité pour l’accès aux données. Or, compte tenu du caractère particulièrement sensible des données traitées et des publics concernés, l’accès aux données doit être strictement limité aux personnes légitimes à en connaître du fait de leurs fonctions. Les bonnes pratiques à adopter Définir des politiques de sécurité destinées à garantir la confidentialité des données. Le maire doit désigner les personnes habilitées à accéder aux données et mettre en œuvre des protections physiques armoires sécurisées par exemple et logiques restrictions d’accès informatique adéquates. L’échange des informations entre les différents acteurs intervenant dans l’examen des situations individuelles doit également être sécurisé, en chiffrant ou en protégeant par mot de passe les fichiers échangés. Enfin, les mairies doivent mettre en œuvre des mesures de traçabilité des accès aux données, afin de détecter les accès illégitimes.
NicolasSarkozy tente de relancer les pistes de la prévention de la violence, après son discours sécuritaire controversé de Grenoble.
PRÉSENTATION Située dans le département de la Seine-Saint-Denis, la ville d’Aubervilliers habitants, pôle dynamique et en développement de la métropole du Grand Paris, est membre de l’Etablissement public territorial Plaine Commune habitants. Sous l’autorité de la Maire et du Directeur général des services DGS, la mairie est organisée en 4 pôles, regroupant l’ensemble des services municipaux par domaine de compétences et compte agents chargés de mettre en œuvre les politiques municipales. MISSIONS Au sein du service Prévention, aide aux victimes et interventions publiques, sous l’autorité de la responsable de service, vous mettez en œuvre la politique municipale de prévention de la délinquance. Vous êtes également coordinateur du Groupe de prévention et de suivi de la délinquance Gpsd. Vous assurez la réflexion et le montage d’actions dans le cadre de la politique publique de prévention de la délinquance. Vous assurez notamment la coordination d’actions collectives de sensibilisation en milieu scolaire, associatif et hors les murs, principalement en matière de prévention primaire et d’éducation à la citoyenneté thèmes justice, citoyenneté, prévention de la délinquance, prévention routière, dangers d’internet, amélioration des relations police-population…. Vous êtes susceptible d’intervenir en milieu scolaire sur la thématique du droit et de la citoyenneté. Vous accompagnez des mineurs dans un parcours individuel dans le cadre du Gpsd. Sous l’égide du Procureur de la République, ce dispositif que vous coordonnez permet un travail partenarial entre le Parquet, l’Éducation nationale, le Commissariat, la ville autour de l’accompagnement de mineurs ayant commis une première infraction. Vous développez et animez le partenariat entre les différents acteurs de la prévention de la délinquance. PROFIL – diplôme de niveau II en sciences politiques, criminologie, sociologie ou diplôme d’État d’Éducateur spécialisé – expérience de 3 à 5 ans sur des fonctions similaires – obligation de discrétion professionnelle – travail en équipe, esprit d’initiative – maîtrise de soi – connaissance du code pénal et de la procédure pénale – connaissance des dispositifs de la prévention de la délinquance et de l’aide sociale à l’enfance – connaissance de la Fonction publique territoriale et de l’environnement territorial – maîtrise de l’ingénierie de projet et de l’animation de réseaux professionnels – savoir se positionner dans le cadre du respect et du rappel à la loi – techniques de conduite d’entretien, d’écoute et d’évaluation – capacités rédactionnelles – maîtrise de l’outil informatique INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES – poste à pourvoir dès que possible – cadre d’emploi de catégorie A ou grade d’avancement de catégorie B des filières administratives ou médico-sociale – poste permanent à temps complet 36h avec possibilité de réunions en soirée – déplacements ponctuels sur le territoire la Seine-Saint-Denis CONTACTS Merci d’adresser votre candidature lettre de motivation et CV, avant le 15 février 2019, sous la référence CG/DPS/COORGPSD/NOV2018 à l’attention de Mme La Maire Mairie d’Aubervilliers Direction des Ressources humaines – Service développement des compétences 2 rue de la Commune de Paris 93300 Aubervilliers ou par mail villedaubervilliers-329428DIRECTIONDE LA SECURITÉ CHARGÉ DE MISSION – COORDONNATEUR CLSPD - H/F (Conseil Local de Sécurité et de Prévention de la Délinquance) (Cadre d’emplois des
Organisation locale relative à la prévention de la délinquance La prévention de la délinquance de la ville de Pierre-Bénite est travaillée dans le cadre d’un Conseil Local de Sécurité et Prévention de la Délinquance, dont la coordination est assurée par la Direction Générale des local de prévention de la délinquanceLa Ville de Pierre-Bénite est doté d’un Plan Local de Prévention de la Délinquance déclinant l’action de la Ville et des partenaires de la sécurité suivant 3 axes sécurité et tranquillité publiqueprévention des jeunes exposés à la délinquanceprévention des violences intrafamiliales, violences faites aux femmes et aides aux victimesQuel que soit le champ d’intervention, les actions se déclinent suivant 3 principes Agir sur la proximité, par un travail de terrain à l’écoute des habitantsAgir en partenariat avec l’ensemble des acteurs du territoire associations, institutions, services municipaux…Agir en réseau au niveau local, départemental et régionalPrincipales missions Assurer une veille sur le climat général au niveau du territoire au travers de cellules de veille réunissant élus, techniciens, police municipale et police nationale, notamment sur les thématiques suivantes – lutte contre les faits de délinquance constatés et les possibles dérives vers la délinquance ;– lutte contre les cambriolages et l’insécurité ;– sécurisation des espaces sensiblesConduire des projets sur le champ de la prévention des jeunes exposés à la délinquance et la lutte contre les violences conjugales, violences intrafamiliales et aide aux victimes permettant de réunir l’ensemble des partenaires susceptibles de conduire des actions de prévention et ou de remobilisation en direction des jeunesrechercher et initier des modalités de prise en charge des mineurs et adultes en dangerprévenir la délinquance de personnes qui sont en grande détresse sociale, économique et familiale
OFFRED’EMPLOI CHARGE DE MISSION PREVENTION SECURITE Conseil Intercommunal de Sécurité et de Prévention de la Délinquance (H/F) Date de publication : 12/05/2022 Type de Le Code de la sécurité intérieure confie au maire des missions de prévention de la délinquance sur son territoire. Certaines communes coordonnent ces actions et organisent des réunions d’information sur les violences faites aux femmes, la déscolarisation… Elles peuvent aussi créer des groupes de travail qui examinent les situations individuelles signalées par les établissements scolaires, les bailleurs sociaux ou encore les services de police municipale et nationale et déterminent si des actions de suivi individualisé sont appropriées. À cette occasion, les mairies traitent des données personnelles dispositifs de prévention de la délinquance des mineurs primo-délinquants ou exposés à la délinquance, femmes victimes de violences, mineurs déscolarisés ou auteurs d’incivilités… Ces fichiers relèvent aujourd’hui de la réglementation européenne sur la protection des données RGPD. Toutefois, le cadre fixé auparavant par l’autorisation unique AU-38 peut encore servir de référence pour vérifier la conformité des traitements. À la suite d’une série de contrôles, la Cnil a jugé bon de préciser également les bonnes pratiques qui permettent d’éviter les manquements les plus fréquents. Ainsi, collecter systématiquement les données sensibles ou des données relatives à des infractions, condamnations et mesures de sûreté n’est pas de mise. La collecte doit être indispensable au suivi de la personne concernée. Par exemple, pour examiner la situation d’un mineur condamné à des travaux d’intérêt général, le motif de la condamnation n’est pas nécessaire à la mise en œuvre du suivi. Il convient donc de s’assurer systématiquement de la stricte nécessité de collecter chaque catégorie de données en fonction des objectifs du suivi. Autre erreur ne pas contrôler le contenu des commentaires remplis dans les fiches de suivi. En effet, constate la Cnil, l’usage de champs libres favorise la collecte excessive de données, à travers des commentaires subjectifs ou inappropriés. Idem pour l’insertion de données issues de fichiers de police traitement d’antécédents judiciaires… dans les champs motifs du signalement », alors que les textes limitent leur communication à certaines personnes. La commune doit privilégier les fiches individuelles de suivi à format unique aux fichiers collectifs du type tableur. Ces fiches doivent être conçues pour minimiser la collecte d’information cases à cocher avec liste de choix prédéfinis concernant l’origine du signalement police nationale, bailleurs sociaux, établissement scolaire…… Au cas où le recours aux commentaires libres est nécessaire, leur contenu doit être strictement contrôlé, avec rappel régulier des consignes aux personnes chargées de les remplir. Il ne faut pas conserver les fiches individuelles ou collectives de suivi sans limite les données doivent être conservées seulement le temps nécessaire au suivi d’une personne. Il faut donc définir des durées de conservation strictes, le cas échéant avec des mécanismes de purge automatique, et proscrire les fichiers collectifs de suivi. Les fiches individuelles doivent aussi comporter les dates de fin de suivi. Les données peuvent ensuite être archivées, avec des restrictions d’accès, pendant trois ans maximum. La Cnil relève que, souvent, les personnes concernées ne sont pas informées du traitement de leurs données lié à la prévention de la délinquance. Il convient donc de prévoir un double niveau d’information, collective et individualisée. Sur le site municipal, une rubrique spécifique peut mentionner ces traitements de données. Préalablement à la réunion d’examen de la situation d’une personne, la mairie doit l’informer individuellement par courrier et, le cas échéant, adresser un courrier à son représentant légal. Attention une information au moment de la mise en place du suivi social est considérée comme tardive. Enfin, l’accès aux données doit être limité aux personnes légitimes du fait de leurs fonctions ; or, un défaut de sécurité d’accès est fréquemment relevé. Il faut donc définir des politiques de sécurité pour garantir la confidentialité des données. Le maire doit désigner les personnes habilitées à y accéder, et prévoir des protections physiques armoires sécurisées… ainsi que des restrictions d’accès informatique. L’échange des informations entre les différentes personnes intervenant dans l’examen des situations individuelles doit également être sécurisé, en chiffrant ou en protégeant par mot de passe les fichiers échangés. Enfin, la traçabilité des accès aux données permettra de détecter les accès illégitimes. Marie GasnierIlassure le pilotage et le suivi du Schéma Métropolitain de Sécurité et de Prévention de la Délinquance. Il est présidé par Jean-Luc Moudenc, Président de Toulouse Métropole. L'élue référente est Julie Escudier, Vice-Présidente en charge de la cohésion sociale. Le CMSPD est composé de membres de droit (Préfet de la Haute Par Gilbert HabatjouPublié le 30/07/2013 à 0h00 Voici bientôt trois ans que la CdC du Vallon de l’Artolie a mis en place un Conseil intercommunal de sécurité et de prévention de la délinquance CISPD. Notre objectif, lorsque nous avons décidé de mettre en place ce CISPD, a été d’assumer notre responsabilité territoriale en termes de solidarité sociale et d’éducation civique », dit Colette Scott, présidente de la CdC. Le CISPD du Vallon de l’Artolie est d’abord un conseil et ensuite un réseau. Un réseau tissé progressivement, au fil des ans, par Pierre Larroche, chargé de mission. En terme de prévention, chaque institution, qu’elle soit éducative, d’accompagnement ou de soutien à la personne, a son mot à dire. L’assistante sociale, l’éducateur de prévention, le conseiller de la Mission locale, le militant associatif, le gendarme, l’élu, l’instance judiciaire, chacun dans son rôle, tient un petit bout de connaissance des publics en mal de ans de diagnostic Début 2011 est le temps du diagnostic et des rencontres afin d’identifier les publics en difficulté, analyser les parcours, proposer des solutions, construire des une trentaine de personnes contactées, 18 ont été accompagnées sur des problèmes de délinquance, d’accès à l’emploi, de prévention de récidive, de jeunes du secteur jeunesse ont profité de séances de sensibilisation, de réflexion sur les thèmes du harcèlement, des consommations abusives drogues et alcool.Par convention avec Vict’aid, le CISPD a accueilli et orienté les publics victimes de violence. Les seniors, en partenariat avec l’association de prévention routière de la Gironde, ont participé à une journée de remise à travail de fond a été mené avec les acteurs de l’enfance-jeunesse sur le soutien à la parentalité, l’objectif étant de proposer aux familles des espaces de réflexion et d’information en termes de connaissance de l’enfant et de l’adolescent. Deux conférences ont été proposées aux familles du actions prévuesAinsi, dans l’immédiat, la CdC propose des travaux d’intérêt généraux. L’Artolie est une des toutes premières CdC de Gironde à mettre en place des de nuit. Face à un certain nombre de troubles, pendant la saison estivale en des endroits précis du territoire zone identifiée de tapages, de consommations excessives et de dégradations récurrents, la CdC a passé convention avec l’entreprise Form’action, et un éducateur addictologue interviendra cet été sur un certain nombre de nuits 1.Conférence sur le passage à l’âge adulte. Dans une volonté d’accompagner les familles en difficulté face aux conduites à risques stupéfiants, violences, prévention routière… de leurs adolescents, le CISPD proposera, en novembre, une conférence avec le docteur Pommereau, psychiatre et responsable Pôle aquitain de l’adolescent, au centre Abadie CHU de Bordeaux. 1 Mounir Smail, éducateur et addictologue. Un total de six interventions pour juillet-août quatre interventions en début de soirée de 21 h 30 à 0 h 30 ; deux interventions en milieu de nuit de 0 h 30 à 3 h 30.svFPJLv.