Onouvre les yeux. Le doute s’installe hmmm c’est pas bon. 3. Il n’est pas affectueux. Bien sĂ»r, il y en a qui sont moins dĂ©monstratifs que d’autres. Mais bon, quand mĂȘme l’amour Le deal Ă  ne pas rater Coffret PokĂ©mon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en français oĂč le ... Voir le deal Morsmordre DEPARTEMENT DES MYSTERES. » Pensine. Corbeille AuteurMessageMorsmordre Democraty is always an abuse of statistics. » Sujet Faire le bien et le faire bien. Ven 28 Jan - 708 Et voilĂ , ouverture du premier sujet d'entraĂźnement des jeunes AD. Donc je laisse l'entiĂšre libertĂ© Ă  Ted de monter son entraĂźnement comme elle l'entend, mais en fait pour ce premier cours il faudrait surtout de la pĂ©dagogie, des explications et tout, plus que des premiers sortilĂšges en eux-mĂȘmes. Que vous sachiez qui sont vos alliĂ©s et dans quoi vous vous ĂȘtes engagĂ©s.✄- Lily L. Potter Forgive me father for I have sinned, I have sinned a lot. » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Sam 29 Jan - 1136 On est en mars. Il commence Ă  faire beau, et en plus il fait bon. Un dĂ©but de chaleur, la fin de l’hibernation des marmottes. Eh oui, Lily se rĂ©veille ! Et c’était super rigolo de la voir se rĂ©veiller ! Bon, ce qui Ă©tait moins rigolo c’était le contrecoup de la manifestation en fait. Elle dĂ©testait de plus en plus les lieux clos, distribuait de violentes baffes Ă  ceux qui osaient ne serait-ce qu’à peine l’effleurer, et elle Ă©tait verbalement plus violente avec ceux qui la charriaient sur sa crise d’agoraphobie. Puis de verbalement violente, elle devenait physiquement violente, et lĂ  on sentait qu’elle Ă©tait une gamine de Harpies, rien qu’à la force des branlĂ©es qu’elle collait Ă  ceux qui l’emmerdaient. Lily se transformait en vĂ©ritable terreur 8D. Le dernier en date c’était un Serpentard qui l’embĂȘtait pour 
 Excellente question, qui l’embĂȘtait quoi, et Lily lui avait collĂ© une dĂ©rouillĂ©e tellement sĂ©vĂšre qu’elle avait envoyĂ© son camarade d’un mĂštre quatre-vingt quinze et le mĂȘme poids en muscles Ă  l’infirmerie. Donc maintenant on Ă©vitait un peu de l’emmerder, ce qui Ă©tait on ne peut plus tip top pour elle. Puis le changement se montrait aussi pendant les cours, surtout celui de mĂ©tamorphoses. Appartenant Ă  ceux qui foutaient la merde pendant les cours des remplaçants, elle n’avait pas hĂ©sitĂ© Ă  remettre sĂšchement Ă  sa place un Ă©lĂšve qui voulait recommencer, et ce en plein cours de mĂ©tamorphoses. Personne n’embĂȘte le beau gosse lupin qui sera bientĂŽt son 
 Euh 
 Le mari de sa cousine Victoire. Donc son tonton ? Ouais on va dire. TONTON TED 8D. Hrm pardon XD. Enfin bref, lĂ  actuellement elle Ă©tait dans sa salle commune, dans les cachots, sous le lac de Poudlard, et malgrĂ© sa claustrophobie agoraphobie aquaphobie – ouais ça fait beaucoup – elle s’en foutait totalement, aprĂšs cinq ans d’habitude. AllĂ©luia. Bref. VautrĂ©e dans un canapĂ© Ă©meraude, elle papotait innocemment avec Meghan, genre on ne va pas se tirer dans moins de cinq minutes pour prendre part Ă  un truc illĂ©gal, ce n’est pas du tout notre style voyons, et laçait ses chaussures. De jolies Doc Martens noires. Cool. En fait elle Ă©tait vĂȘtue comme un corbeau la demoiselle, ou plutĂŽt comme une mini-punk, ce qui faisait assez sensation dans sa salle commune. Et pourquoi personne ne l’avait encore abordĂ©e ? Peut-ĂȘtre parce qu’un nounours d’un mĂštre quatre-vingt la tenait dans ses bras. Waw. Enfin en attendant, elle laçait ses pompes en papotant avec Meghan et en sirotant de la vodka tout en surveillant que son – beau et grand et sexy et magnifique et gruatant et nyutant – petit ami en reste Ă  l’eau plate. Ou gazeuse. Enfin bref on s’en branle, Ă  l’eau quoi. Se levant de son confortable canapĂ© – bon ok elle Ă©tait assise sur les jambes de Nathan – on ne la fixa pas trop longtemps parce que monsieur nounours se leva aussi en attrapant sa main. La classe moi je dis. Se hissant sur la pointe des Doc, elle posa ses lĂšvres sur celles de son Nathan – DE SON NATHAN A ELLE, espĂšce de pĂ©tasse peroxydĂ©e qui le reluque avec envie ! – et se dirigea vers la porte de la salle commune toute guillerette, couverte comme une marmotte anĂ©mique et frileuse non sans foudroyer la blondasse du regard. Ce ne fut que lorsqu’elle vit celle-ci se pencher vers une de ses camarades pour murmurer d’un air mĂ©chant qu’elle lĂącha sans s’en rendre compte la main de son petit ami pour se diriger vers la demoiselle et poser ses deux mains sur la table pour se pencher vers la sale blonde. Quoi, t’as un problĂšme ? » En effet, la façon dont tu reluques mon mec me dĂ©plaĂźt fortement. » Va falloir t’y faire. » Je suis une Potter, pas une soumise. »Silence autour d’elles. Oui, Lily venait bien d’insinuer que la blondasse Ă©tait une soumise. Pas du tout contente, celle-ci se leva, faisant abstraction de Nath qui s’approchait d’un air menaçant. T’es trop mignon mon cƓur > - qui faisait chier ceux qu'il pensait plus faible. Et bah ça c'est pas tombĂ© dans l'oreille d'un sourd. Il avait pas choisi le bon cheval... ’ Je me passerais du nombre de gars qui m'ont tapĂ© dessus, ça tient pas sur tes doigts, tu risques de te perdre dans le nĂ©ant de ta boite crĂąnienne. Pense pas ajouter les doigts de pied, y en a un peu plus. Ma copine, j'te jure que si tu l'approches je te tuerais avant qu'elle-mĂȘme ne prenne l'initiative de le faire. ’- Si tu me touches Lou te collera. Et ouais, elle est prĂ©fĂšte. Toi t'es qu'une bouse. T'as plus que ta langue pour te dĂ©fendre, mais j'vais tellement te faire baver que tu pourras mĂȘme plus embrasser ta pĂ©tasse d' stop and go avant la rĂ©partie de notre redskin favori. Pour commencer, vous avez sĂ»rement compris que ce gars allait finir les dents par terre. Bon. Ensuite, je vous signalerais qu'il y a vraiment des cons pour oser s'attaquer directement Ă  des types comme m'sieur Derek, celui que tout le monde rĂ©clame en garde du corps! D'ailleurs notre tas de muscles prĂ©fĂ©rĂ© vient de se lever subitement. Il venait aussi d'attraper le gars par le col pour le soulever du sol comme s'il n'avait Ă©tĂ© qu'un fĂ©tu de paille. De son bras non-enroulĂ© dans l'Ă©charpe of course. ’ Meghan Anna Prewett n'est pas une pĂ©tasse d'aristo. Si t'as que ça pour m'insulter tu peux toujours aller voir ailleurs, ça te coĂ»tera moins de dents. Ensuite, demande Ă  tes parents de t'offrir des yeux en plus du cerveau que tu devrais avoir commandĂ© et du dentier dont tu vas bientĂŽt avoir besoin. Y a un petit badge collĂ© sur pull, il est pas lĂ  pour faire joli. Et aux vues de comment Lou t'apprĂ©cie, on risque pas de me voir collĂ© Ă  ta place. ’Monsieur Pustules ne devait pas avoir grand chose Ă  dire en plus. Parce qu'il se contenta de cracher sur le visage crispĂ© de colĂšre de Mister Gray. Ça sonne pas erreur lĂ ? Y en a qui ont pas peur pour leurs vies. Le bras en Ă©charpe ne le fut soudainement plus - malgrĂ© les os encore fragiles, fuck la constitution du mĂ©tabolisme de Lycanthrope - et Derek balança son poing dans la joue du gars. Et avant que celui-ci ait pu rĂ©pliquer, il fit faire Ă  son visage un aller simple sur la table oĂč ses pieds Ă©taient prĂ©cĂ©demment croisĂ©s. Puis il attrapa les cheveux du gars pour relever sa tĂȘte. Autour d'eux dans la salle commune plus personne ne parlait. Personne ne venait prendre la dĂ©fense de cet abruti. Trop peur de Derek. Et puis, il l'avait cherchĂ©. ’ Un ĂȘtre humain adulte normalement constituĂ© possĂšde un total de 32 dents. Tu viens de rejoindre la race des cons adultes qui n'en ont plus que 31, fĂ©licitations. Et si t'es pas sage, tu vas pouvoir inaugurer la race des cons adultes qui n'en ont plus du tout. ’Il laissa retomber la tĂȘte du gars, attrapa son sac et sortit. Personne ne le suivit. Personne ne lui demanda oĂč il pouvait bien aller Ă  cette heure tardive. Il allait Ă  la rĂ©union de l'AD se passer un peu les nerfs. Bon Derek, promets que tu seras sage. On voudrait pas d'ennuis avec tes gentils copains. Le skinhead gravit rapidement toutes les marches et entra dans la salle sur demande sans faire de cĂ©rĂ©monie. Il avait la mine grave. Pourquoi lui cherchait-on toujours des embrouilles?! Lorsqu'il entra, il vit qu'il n'Ă©tait pas le premier arrivĂ©. Lily et Nathan Ă©taient dĂ©jĂ  lĂ . Meg ne devait pas tarder, ou alors elle fouinait dans un coin et il ne l'avait pas vue. Un jeune Poufsouffle Ă©tait lĂ  aussi. IdentitĂ© inconnue. Le Gryffondor salua Nathan et Lily d'un signe de tĂȘte. Il sourit aux paroles du jeune homme dont il ne connaissait pas le nom. Il lui tapota l'Ă©paule de sa main retournĂ©e dans l'Ă©charpe en riant doucement. ’ La vie Potter Raven crois-moi c'est pas du gĂąteau, mais c'est assez distrayant. Laisse-les faire ce qu'ils veulent, ils ne sont pas bĂȘtes et savent se raisonner... Et puis je les comprends. Y a mieux qu'un placard Ă  balais. ’Il se mit Ă  rire doucement. Ça allait mieux. Il ne manquait plus que SA Meg chĂ©rie d'amour et tout serait parfait, ou presque. DĂ©pĂȘche-toi beautĂ©, Derek l'a faim de toi te voir Lucy Robinson Time to save the universe again then, isn't it ? » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Dim 30 Jan - 552 Mais oĂč pouvait donc aller Lucy, toute seule ? Voyons, c'est Ă©videeeent, elle va sauver le monde ! Oui, Lucy a beauuuucoup d'espoir et quand elle part dans ses dĂ©lires Ă  elle et bah elle pars vraiment trĂšs, trĂšs loin. Dans sa tĂȘte actuellement c'Ă©tait un peu genre une james bond girl, genre ultra dangereuse et tout et tout bon un peu moins sexy que les jmg la lucy, mais quand mĂȘme... qui doit pas ĂȘtre suivie sinon elle zigouile l'espion. Invincible quoi. Bon, une james bond girl perdue parce qu'elle retrouve pas se foutu couloir de merde. C'est pas sa faute non plus si elle a pas de gps intĂ©grĂ© dans le petit orteil gauche, et qu'en plus on lui a pas filĂ© de plan. Elle n'arrivera jamais vivante Ă  la rĂ©union... Finalement super-Lucy a rĂ©ussi a retrouver son chemin, fallait prendre l'escalier et ensuite tourner Ă  gauche et non Ă  droite comme elle l'avait fait juste avant. Elle regarda la porte soigneusement cachĂ©e derriĂšre la tapisserie, priant dans toute les langues pour que ce ne soit pas un placard Ă  balai ou un autre truc du genre ultra Ă©troit, ultra sans lumiĂšres, etc. Mais plutĂŽt la planque de super hĂ©ros avec tout plein de gadget partout, ou un vrai camp d'entraĂźnement oĂč tu peux Ă©clater en vrai les cobayes Ă  qui t'envoie les sorts. Lucy serait elle devenue vraiment violente ? Nan, c'est toujours presque la rĂ©incarnation de Ghandi, mais la non-violence ça marche pas donc elle passe aux stades supĂ©rieurs. Et puis la magie, c'est pas vraiment violent, vus que tout le monde est Ă  presque Ă©galitĂ©, pas comme avec des muscles. Elle poussa la porte, les yeux pleins de curiositĂ©s, si ça tombe elle sera mĂȘme la premiĂšre arrivĂ©e !DĂ©cetpion. DĂ©jĂ , il y a dĂ©jĂ  des gens. Et puis des livres, des toooonnes de livre jusqu'au plafond, pas que Lucy soit analphabĂšte ou livrophobe. Mais c'est pas avec une bibliothĂšque bien garnie qu'on va rĂ©ussir Ă  sauver le monde. Elle salua le couple d'un sourire, et dĂ©posa un bisou sonore sur la joue de son Derekounet parce qu'il a grave la classe maintenant qu'il est prĂ©fet et Lou aussi, cey ses coupaing a elle qui sont les meilleurs *-* en faisant attention Ă  ses blessures de guerres. T'Ă©tais oĂč ?! J't'ai cherchĂ© partout moi tout Ă  l'heure. J'ai mĂȘme faillis mourir en me perdant dans les couloirs ! »Hop, bouille faussement scandalisĂ©e avec les mains sur les hanches. Vilain Derek qui n'a pas attendus Lucy. Vi-lain. A vrai dire elle avait cherchĂ© deux minutes puis elle avait trouvĂ© quelqu'un d'autre qui acceptĂ© de la supporter genre Dante Ă  tout hasard, et elle n'avait pas cherchĂ© dans la salle commune des gryffons, ni dans beaucoup d'endroits et recoins du chĂąteau d'ailleurs, la patience c'est pas son truc Ă  la Blondinette. Et de toute façon elle Ă©tait totalement incapable de faire la tĂȘte Ă  Derek ou de lui en vouloir pour quoi que ce soit. Et c'est pas un couloir qui allait rĂ©ussir Ă  tuer Lucy, elle est in-vin-ci-bleuh je vous rappel. Lucy abandonna Derek, vagabondant entre les bibliothĂšques se demanda sĂ©rieusement Ă  quoi ça pouvait servir et en pensant que celui qui avait fait apparaĂźtre tout ça il devait avoir un problĂšme psychologique, vus qu'il n'y avait mĂȘme pas de petits aiglons tout timide en train de se gaver de littĂ©rature dans la salle, c'Ă©tait un de ceux dĂ©jĂ  lĂ  qu'elle logiiiique Princesse. Beurk, beurk des livres poussiĂ©reux, elle Ă©tait venu lĂ  pour casser du mangemort, manger des petits serpentards pas beaux. Pas pour avoir un cours d'histoire de la magie ou de littĂ©rature. DĂ©pitĂ© Lucy fis mine de s'interesser aux livres entreposĂ©s. Tiens un Andras. Stop. On repose le livre. A Babord touuuuute ! ANDRAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAS ! »Qu'elle classe et qu'elle discrĂ©tion Lucy quand mĂȘme. Mais c'Ă©tait vraiment un crie du coeur, c'Ă©tait peut ĂȘtre la seule Ă  ĂȘtre totalement hystĂ©rique dans la piĂšce, mais elle s'en fichait totalement. Et vazy qu'elle se jette pas qu'Ă  moitiĂ© dessus et qu'elle manque de l'Ă©touffer en se pendant Ă  son cou uh pourquoi tout le monde fait genre trois mĂštres de plus qu'elle.. dans un de ses super-giga cĂąlin tellement elle est trop contente de le voir. D'ailleurs, ça se voyait Ă  son immense sourire puissance dix mille qu'elle Ă©tait contente de retrouver son ami Ă  elle ici. Elle Ă©tait toujours contente de voir Andras, il y avait trop de bon souvenir auquels il appartenait. Andras c'Ă©tait sa compote Ă  elle, celui qui l'appel pompotte, elle le bouffe. C'est trop bien que tu sois la aussi ! Pourquoi tu m'l'avait pas diiiiis ! Tant pis. Mais quand mĂȘme c'est Ă©noooorme ! »Pauvre de vous, la pile Ă©lectrique et sa voix qui part dans les aigus est en marche, rien ne l'arrĂȘte, elle a un monde Ă  sauver. Et un ami Ă  Ă©touffer dans ses bras avec amour Lysander Dragonneau Only two synonyms ? I'm losing my perspicacity ! » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Lun 31 Jan - 523 Lysander Ă©tait vautrĂ© sur un canapĂ© dans la salle commune de la tour des Serdaigles. Il avait un peu les cheveux Ă©bouriffĂ©s - et ça ne lui allait pas mal, ma foi - ainsi qu'un sourire aux lĂšvres. Oui, il souriait. D'habitude impassible, l'air toujours rĂȘveur, il arborait cette fois un sourire en coin. TrĂšs lĂ©ger. Mais un sourire. D'ailleurs, ce curieux petit sourire sucitait beaucoup de questions. On lui avait dĂ©jĂ  demandĂ© au moins trois fois s'il avait rencontrĂ© un joli Bisounours dans son monde parallĂšle. Pas de Bisounours dans son monde, mais cette idĂ©e lui plaisait bien. La raison de son "bonheur" d'aujourd'hui Ă©tait autre. Aujourd'hui, c'Ă©tait le grand retour de l'AD. En digne fils de Luna Lovegood, Lysander avait Ă©tĂ©, tout petit, bercĂ© par les rĂ©cits trĂšs enthousiastes de sa mĂšre lorsqu'elle lui contait les rĂ©unions de l'ArmĂ©e de Dumbeldore. Il y avait tant de choses... La Salle sur Demande, les cours dirigĂ©s par Potter, le systĂšme des piĂšces... Bref, tout cela l'avait captivĂ©. C'Ă©tait presque devenu un mythe, tout comme le Ronflax Cornu. Mais voilĂ  que grĂące Ă  son grand ami en taille et en Ăąge notamment Ted Lupin, cette association de dĂ©fense revivait. Certes, cela voulait dire que les temps n'Ă©taient pas au plus haut de leur forme, mais c'Ă©tait quand mĂȘme une bonne chose, cette armĂ©e. Et aujourd'hui, c'Ă©tait la premiĂšre rĂ©union depuis bien des annĂ©es. Cooool, non ? Qui vient faire un tour dehors ? » demanda le Dragonneau. Mouarf, pas envie. Moi perso, je reste lĂ . »Bon, il avait reçu le message. Les autres prĂ©fĂ©raient rester lĂ , bien au chaud. Mais le Serdaigle se sentait l'envie de sortir un peu, de prendre l'air. Passant chercher de quoi se couvrir un peu, Lysander descendit de la tour et dĂ©boula dans le parc oĂč - comme il s'y attendait - il n'y avait pas grand monde. LĂ , il marcha un peu, le nez en l'air. Le ciel Ă©tait beau. Le silence Ă©tait apaisant. Il n'avait pas l'air d'un type qui allait participer Ă  une rĂ©union illĂ©gale. Car c'est bien illĂ©gal, cette rĂ©union de l'AD. Mais bon, comme dit le dicton... Jamais deux sans trois. Dragonneau avait participĂ© Ă  la fĂȘte clandestine dont il gardait un bon souvenir on se demande pourquoi XD et aussi Ă  la manifestation, dernier regroupement de jeunes en date. Quand il rĂ©flĂ©chissait, il se disait qu'il Ă©tait un vilain garçon qui faisait des vilaines choses. Vilaines... Du point de vue de l'autoritĂ©. Lui Ă©tait content de montrer que justement, il n'Ă©tait pas content. Car, si le grand rĂȘveur avait la tĂȘte dans les nuages, il n'en avait pas moins les pieds sur terre, et avait Ă©galement un avis et un mot Ă  dire. À sa beau gosse glandait dans le parc, tout seul. On aurait pu croire qu'il Ă©tait Ă  la recherche de quelque chose. Du bonheur ? De lui-mĂȘme ? Non non, il cherchait juste Ă  faire passer le temps, en dĂ©finitive. Dans cette atmosphĂšre de calme, il aurait bien fait un truc dingue. Lucy, t'es dispo' pour danser un petit rock dehors comme ça ? Ou mĂȘme un ballet, si tu prĂ©fĂšres. Qui chante avec moi du Nirvana ? Qui veut venir chercher Ă  quoi ressemblent les nuages ? Mais non, personne. Il Ă©tait seul, seul avec sa montre qui bientĂŽt lui indiqua que c'Ă©tait l' il se prĂ©senta devant la vieille tapisserie, il n'y avait personne. Une fois qu'il eut fait apparaĂźtre la porte, le Serdaigle s'empressa d'entrer. Il aimait bien cette piĂšce. DĂ©jĂ , il y avait des bouquins. Pleins de bouquins. Studieux comme tout bon Serdaigle qui se respecte, il Ă©tait, sans ĂȘtre un rat de bibliothĂšque, quelqu'un qui apprĂ©ciait les livres, ou plutĂŽt ce qu'on trouvait dans les livres. Ça le rendait dingue d'ailleurs, de ne pas pouvoir tous les lire. C'Ă©tait comme renoncer Ă  un savoir pour en valoriser un autre. Mais bref. ll y avait donc dans cette piĂšce des livres, des canapĂ©s, et des gens en question n'Ă©taient pas nombreux. Deux Gryffondors, l'un prĂ©fet, l'autre inconnue au bataillon, ainsi qu'un Poufsouffle qu'il ne connaissait pas non plus. Et puis il y avait aussi Nathan et Lily - suis-je vraiment obligĂ©e de citer deux noms lorsque deux suffisent ? - le beau gosse et la belle gosse. Bref, du beau monde. Des gens qu'on s'attendait Ă  trouer ici. Et d'autres pas. Mais bon, aprĂšs tout, ils Ă©taient ici pour apprendre ensemble pleins de belles choses, et aussi Ă  mieux se connaĂźtre. Comme les alcooliques anonymes, avec le problĂšme de boissons et l'anonymat en moins. Pareil mais en diffĂ©rent quoi. Pour le moment, il Ă©tait le seul Serdaigle. 'Lut tout le monde. »Pris soudain de l'envie irrĂ©sistible d'aller voir si ces canapĂ©s Ă©taient confortables, Lysander s'Ă©croula sur l'un d'entre eux dans une position tout Ă  fait normale, Ă  savoir les genoux pliĂ©s sur l'accoudoir, les pieds dans le vide, allongĂ© en long sur le sofa, la tĂȘte sur le second canapĂ©. La meilleure technique pour pouvoir occuper tout seul un espace prĂ©vu pour plusieurs personnes. Qu'on Ă©tait bien lĂ -dessus. Lucy Weasley You have ten fingers ? Oh, me too ! Let's be friends ! » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Mar 1 FĂ©v - 505 "MiaĂŽw?"Lucy se retourna sur le flanc avec un grognement, encore perdue dans les brumes de son rĂȘve, et soupira sans s'en rendre compte, dĂ©rangĂ©e en pleine phase de sommeil paradoxal. Le sommeil paradoxal c'est sacrĂ©, bon sang! Elle se roula sous la couverture, et termina si bien son rĂȘve que son oreiller alla rejoindre, par terre, le livre lu la veille, ses vĂȘtements en vrac, sa brosse Ă  cheveux, quelques menus objets scolaires, un panier, et la housse de couette."MIAAW"La jeune fille se rĂ©veilla en sursaut, d'un bond, avec une sorte de grognement inarticulĂ© censĂ© signifier, en gros, c'est bien gentil tout ça mais je dors. La Poufsouffle tendit la main vers le rĂ©veil pour voir l'heure, mais elle n'eut pas le loisir d'attraper l'objet une boule de poils blanchouillarde venait de se loger contre son menton en vibrant. Si, comme un tĂ©lĂ©phone. Lucy sourit malgrĂ© elle et caressa la fourrure de Hoshi, occupĂ©e Ă  patouiller sur son humaine. Sans les griffes Hoshi. Puis le petit chat, comprenant que l'humaine n'Ă©mergeait pas, passa de l'autre cĂŽtĂ© et patouilla cette fois sur son dos. Bon Dieu Hoshi, SANS LES GRIFFES. Ronronnant Ă  pleine gorge, des fois que Lucy aurait eu l'idĂ©e saugrenue de se rendormir, la boule de poils vint nicher son museau dans le cou de la jeune fille qui maudit intĂ©rieurement le jour oĂč elle avait dĂ©cidĂ© d'adopter cette bĂȘte qui la dĂ©rangeait en plein cĂąlin, en plein rĂȘve et aussi en plein sommeil. Non, pas les trois en mĂȘme temps, pas encore. Bref. Lucy attrapa sa bestiole d'un revers de main et soupira en la posant contre sa poitrine, comme une peluche, avant de se rendormir. Elle sentit, dans sa lĂ©thargie, Hoshi se hisser hors de ses bras pour sauter du lit et sourit; elle Ă©tait probablement partie embĂȘter quelqu'un d'autre..."QUOI?"Lucy glapit en repliant son genou droit. Une chose non identifiĂ©e s'Ă©tait agrippĂ©e Ă  son pied; une chose qui piquait et semblait aussi humide. Une chose qui chatouillait maintenant son autre pied. La Poufsouffle lĂącha en bloc tout ce qu'elle connaissait en matiĂšre de jurons et autres scrogneugneus, mais Hoshi, qui avait appris Ă  connaĂźtre Lucy, ne broncha pas et vint lui lĂ©cher la joue, en ronronnant encore. Puis se leva et lui tourna autour en patouillant. Oui boule de poils, c'est bon, gagnĂ©...Lucy se leva en bĂąillant et alla nourrir son chat, avant de l'observer en souriant. Kro meugnonne...Hoshi, une fois son repas terminĂ©, remonta sur le lit et s'installa au niveau de l'oreiller, han c'est trop bien l'oreiller, pas vrai? Lucy allait faire de mĂȘme lorsqu'elle avisa l'heure. Trop taaard, merci Hoshi! Elle s'habilla donc tranquillement, alla prendre son petit dĂ©jeuner Ă  cĂŽtĂ© d'un Poufsouffle surexcitĂ© qui agitait dangereusement sa fourchette en braillant"Je suis un T-Rex!"...Certes. Il Ă©tait en train d'expliquer Ă  un prĂ©fet venu aux nouvelles que c'Ă©tait un pari lorsque Lucy s'Ă©clipsa. La suite de la journĂ©e se dĂ©roula plus ou moins normalement, quelques cours, quelques devoirs, rien que du bien naturel...quelques pĂ©tasses aussi. EspĂšce en voie d'apparition, vit en meute, cri le gloussement. Synonyme, dinde. La jeune fille n'attendait en fait qu'une chose, deux petites fameuse, euh, "Association de DĂ©fense" disons, n'est ce pas, Ă©tait le fait du pĂšre de Lily, Harry Potter, Ă  l'Ă©poque de sa scolaritĂ© Ă  Poudlard, et face au peu d'action du MinistĂšre, face aux Mangemorts potentiels et Ă  la dinde rose Inquisitrice, Ted Lupin avait dĂ©cidĂ© de la remettre en place. Bonne idĂ©e Teddy, ça nous fera des choses Ă  raconter Ă  nos petits-enfants...Lucy finit donc par trouver l'entrĂ©e et pousser la porte bien cachĂ©e de cette salle, et mesdames et messieurs, nous avons recueilli les premiĂšres rĂ©actions."Oh, je voyais ça plus petit. C'est grand en fait...et puis c'est beau!!"Lucy tourna plus ou moins sur place quelques instants, le nez en l'air. Ooh c'Ă©tait superbe tout ça, une salle magnifique, et des gens dedans. Des gens qu'elle connaissait pour la plupart, Ă  savoir Lily Potter, sa cousine adorĂ©e chĂ©rie d'amour, celle qu'elle avait tout d'abord Ă©vitĂ©, rebutĂ©e par l'exubĂ©rance de la jeune fille, et qu'elle apprĂ©ciait fortement dĂ©sormais. Son copain Nathan Raven, le nounours de Lily, toujours aussi...nounoursien et pelucheux. Lucy ne le dĂ©visagea pas, vu les regards assassins qu'il lui lançait parfois, il aimait pas qu'on le regarde. Tant pis mon gars. Il y avait aussi Derek, miraculeusement recollĂ© aprĂšs son, euh, fracassage en rĂšgle Ă  la manifestation -Sader ça adhĂšre!!- et une Gyrffondor que Lucy ne connaissait pas vraiment. Enfin dĂ©boula Andras, un joli Poufsouffle que Lucy trouvait trĂšs gentil, et qui l'amusait car il avait la manie de virer au rouge ou au rosĂ© en lui parlant...timide, mais brave gars. La Gryffondor lui sautait au cou comme une furie lorsque Lucy remarqua le dernier arrivĂ©, enfin, le dernier avant elle, dĂ©jĂ  avachi dans un canapĂ© dans une pose bien peu conventionnelle, avec des cheveux Ă©bouriffĂ©s du genre "coiffĂ© avec un pĂ©tard Weasley", mais ça lui allait plutĂŽt bien. Vous avez compris qui c'Ă©tait? Nan? Pas grave, on va la refaire. Lysander Dragonneau s'Ă©tait affalĂ© dans un sofa et rĂ©ussissait l'exploit d'en occuper deux Ă  la fois. Lysander Dragonneau, l'aiglon prĂ©fĂ©rĂ© de Lucy et pour cause, y en avaient pas tant que ça qui l'embrassaient dans le parc. Au passage, remercions Lily qui pourra devenir marieuse si jamais elle est au chĂŽmage, elle sait caser les gens. Lucy acheva donc sa discrĂšte entrĂ©e"Bonjour tout le monde..."Et remarqua qu'on ne la remarquait pas. Bon, en soi elle s'en foutait, alors elle alla droit vers Lysander et lui sourit"Hello...tu me laisses un peu de place?"Puis la Poufsouffle s'assit Ă  l'endroit qu'il avait laissĂ© libre, ben ouais, tu ne peux pas occuper TOUT le sofa Ă  toi tout seul cher aiglon, et balaya un peu la salle du regard. Oui, c'est grand. Oui, elle l'a dĂ©jĂ  dit et alors? C'est vraiment s'Ă©tira. Mon dieu ce sofa, c'Ă©tait encore mieux que son oreiller. Il ne manquait que la fonction bouillotte Ă  ce canapĂ© et la fonction bouillotte Ă©tait plus ou moins assurĂ©e par le Serdaigle qui larvait juste Ă  sa droite. Lucy pencha la tĂȘte pour l'observer puis, amusĂ©e, lui effleura les cheveux de la main -ben ouais, il est allongĂ©, elle est assise donc elle est plus haute, CQFD- et lança avec un petit sourire"Bien installĂ©?" Dominique Weasley Forgive me father for I have sinned, I have sinned a lot. » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Jeu 3 FĂ©v - 1013 Domi fixa les deux Serdaigles avec une mine quelque peu surprise. Lily Ă©tait quoi ? Une trainĂ©e qui sortait avec un punk dĂ©bile aux allures d’ours mal lĂ©chĂ© ? C’était bien ça ou 
 ? Les deux aiglons semblaient en pleine crise de nerf et parlaient ensemble en piaillant tels les poulets qu’ils Ă©taient. Les pauvres n’avaient pas encore remarquĂ©s la prĂ©sence de la petite quatriĂšme annĂ©e qui les reluquait d’un air mauvais. Apparemment, le grand brun semblait dire que Lily avait envoyĂ© un de ses potes Ă  l’infirmerie. Domi secoua la tĂȘte, le pote en question Ă©tait un parfait chieur et sa cousine avait Ă©tĂ© d’une grande aide au peuple de Poudlard en Ă©liminant ce mec des couloirs du chĂąteau, du moins pour un certains temps. Et donc, aprĂšs avoir rendu un service public assez important, voici que miss Potter se faisait insulter. Quelle mesquinerie, je vous jure >.<. Lucy fila un coup de coude plus ou moins discret Ă  Andras pour qu'il se prĂ©sente Ă  son tour, un peu de soutient ne lui fera pas de mal ! Elle s'installa un peu plus confortablement dans le canapĂ©, scrutant la porte d'entrĂ©. Alleeez, vieeens, steuplaßßßt... Si Ă  trois tu ramĂšne pas tes jolies fesses illico, elle te boude. Uuuuuuuun... Deuuuux... Deuuuux et demi... Allez, dĂ©pĂȘeeche, c'est pas juste qu'il n'y ait que elle sans son amoureu... Deux trois-quaaaaaarts... Eeeeet... Trois. Pfeuh. Pas juste. Mine déçu du cĂŽtĂ© de Lucy qui voulait vraiment voir rappliquer son Dante sur le champ. Peut ĂȘtre qu'il est pas au courant aprĂšs tout. Tout simplement. InvitĂ©InvitĂ© Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Sam 5 Mar - 2159 Malheureusement pour toi, Lucy, ce ne fut pas le beau cul de Dante qui vint ravir ta vue sur le seuil de la porte. Non non, ce fut celui d'une blonde, nĂ©anmoins trĂšs joli aussi celon certains point de vue, qui put s'incruster dans ton champ de vision si tu regardais par lĂ . Une Lou Ă©chevelĂ©e, d'ailleurs, Ă  l'air quelque peu essoufflĂ©e. - BIP, retour en arriĂšre -Ombrage. Bouh, qu'elle est moche, vilaine, pas belle, rose et tout le toutim. RidĂ©e, bien Ă©videmment. Enfin bref, notre chĂšre et bien aimĂ©e inquisitrice. Pas foutue d'affirmer un tant soit peu d'autoritĂ©, celle lĂ . La preuve, il suffit qu'elle vire une blondasse et un prof' en se sentant toute puissante pour que BAM, tout lui explose Ă  la figure. Manifestation qui s'ensuit. Et qui, comme bien des manifestations, dĂ©gĂ©nĂšre. La pauvre inquisitrice, qui voit son chĂąteau de carte s'effondrer sous ses yeux, ne fait ni une ni deux Elle appelle des brigadiers magiques. Qui cassent tous, ces crĂ©tins. Mobilier comme Ă©lĂšves. Et lĂ , dieux apparaĂźt. Non, plutĂŽt la ministre. On emporte les Ă©lĂšves cassĂ©s Ă  l'infirmerie pour une rĂ©paration en ordre, et lĂ , sur un petit lit, telle blanche neige version blonde aux cheveux blonds matraquĂ©e. Ou, pour faire plus court, sĂ»r, notre chĂšre inquisitrice n'a pas gagnĂ© Ă  la donne. Il n'empĂȘche que si tĂŽt rĂ©tablie, notre Lou internationale a normalement un rendez-vous en tĂȘte Ă  tĂȘte avec le crapaud rose, qui, d'une humeur massacrante, n'hĂ©siterait pas Ă  lui faire copier une phrase de 250 mots, comme si sa main n'Ă©tait pas dĂ©jĂ  assez charcutĂ©e. Sauf que, non, c'est pas possible. Bawaii, Madame, Ă  la mĂȘme heure il y a regroupement de l' ArmĂ©e de Dumbledore pour les incultes. L' reformĂ©e. L' nouvelle, dirigĂ©e par notre Ted Lupin bien aimĂ©. Et vous vous doutez bien qu'il est impensable, inimaginable, IRREALISABLE qu'elle n'y soit pas. Surtout que sa Lulu l'y attendait. Et que Lulu elle avait une patience Ă  deux clous et elle allait la torturer jusqu'Ă  ce que mort s'ensuive si elle ne venait pas. Et que, elle prĂ©fĂ©rait aller se pendre plutĂŽt que de rater ça. Enfin bref, c'Ă©tait pourquoi elle avait soigneusement Ă©laborĂ© tout un plan. Celon les thĂ©ories, Ă  cette heure-ci prĂ©cise, l'inquisitrice-chĂ©rie-d'amouur serait dans son bureau en pleine conversation avec sa thĂ©iĂšre. Elle attendrait, sagement assise, que Lou lui arrive servit sur un plateau d'argent en marchant sur ses petites jambes pour aller lui faire une courbette et un baise-main, tant qu'on y Ă©tait, avant de s'assoir pour copier soigneusement des graffitis inutiles qui lui scrabouillaient la main - C'Ă©tait moche et ça faisait mal, en fait -. MAIS LA ! GĂ©nie Lou intervenait. En fait, il lui suffisait d'utiliser ses petites jambes, non pas pour se rendre dans le bureau d'Ombrage, mais dans la salle sur demande, en compagnie de tous ses camarades rĂ©sistants et frĂšres de coeur ! MOUAHAHAHA. Bon ok, elle aurait quelques ennuis aprĂšs. Mais pour quelques ennuis en plus, sincĂšrement.. Ca lui passait au dessus. Ding-dong, c'est l'heure. Euhh.. En fait, c'est mĂȘme plus que l'heure. Mais bon sang, c'est trop compliquĂ©, pour toi, de regarder l'heure, Lou ?! La blonde bondit du fauteuil dans lequel elle Ă©tait avachie, franchit la porte en manquant de se la prendre dans la figure, et s'engage un sprint dans les couloirs. Mais, que vois-je ? Oui, au fond du couloir, des talons roses ! Demi-tour toutes, on prend un autre chemin, peut ĂȘtre un peu plus long, mais sans menaces Ă  talons dans le champ de arrivĂ©e devant la statue. Qu'est-ce qu'il faut faire dĂ©jĂ  ? Ah, ouais. Penser trĂšs fort Ă  ou tu dois ĂȘtre, et patati et patata, tout en marchant devant le mur comme un demeurĂ©. La lionne s'exĂ©cute et, OUF, miracle, une porte. Nous sommes sauvĂ©s. - DING, retour dans le prĂ©sent. -Se dĂ©cidant enfin Ă  rentrer, notre Lou internationale lance un petit '' Salut '' Ă  la cantonnade parce que la flemme de dire bonjour Ă  tout le monde, avant de se diriger vers SA Lulu, en grande conversation avec Andras. Tiens, Andras fait parti de l'AD ? Ah, mais c'est sympa ça ! Elle eut juste le temps d'entendre le salut de Lucy qui ressemblait Ă  une prĂ©sentation militaire. '' T'aurais put trouver mieux pour te prĂ©senter, ça fait un peu coincĂ©e, lĂ  ! '' Lui dit-elle, avec un sourire moqueur, mine-de-rien. Lucy Weasley You have ten fingers ? Oh, me too ! Let's be friends ! » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Dim 6 Mar - 637 Lucy allait adresser la parole aux nouveaux venus, lorsque Lily s'adressa Ă  elle, et la jeune fille souleva un sourcil. Un placard, mais pour quoi faire? Ah...Pour...aaah. Lucy venait de comprendre et, bien qu'elle le refusĂąt, une vilaine rougeur monta sur ses joues. Un placard, mais, Lily avait vraiment de drĂŽles d'idĂ©es, ce ne devait pas ĂȘtre bien confortable et puis, un placard c'est pas bien grand, en plus...pas pratique tout ça. Comment ça, qu'est ce qu'elle en savait? Bonne question, en fait elle n'en savait rien, elle n'avait jamais essayĂ©, elle. Hein Lily? Restons classique, un lit suffira trĂšs bien. En attendant, elle rougissait. Une Poufsouffle rouge, regardez tous car c'est rare, d'ordinaire ces bestiaux-lĂ  Ă©taient plutĂŽt du genre jaunĂątre, vous savez, un peu la couleur des boutons d'or, du jus d'orange industriel ou des colorants de ces bonbons crocodiles auxquels Lucy avait voulu apprendre Ă  nager quand elle Ă©tait petit. Ils s'Ă©taient dissous, les salopards. Enfin, en tous cas les Poufsouffles Ă©taient plutĂŽt du genre jaune. C'Ă©tait d'ailleurs Ă©trange, quand on y pensait...pour ĂȘtre d'une telle couleur, ils avaient des problĂšmes de foie? Logiquement, les Serpentards auraient dĂ» ĂȘtre les jaunes, vu ce qu'ils buvaient ils avaient de quoi se flanquer quelques cirrhoses. Mais bon, eux ils Ă©taient verts. Vu ce que Lily pouvait s'enfiler comme bonbons, cela ne surprenait pas non plus d'ailleurs. Et les Serdaigles. Les bleus. Ils venaient de Pandora, bwahaha. Nan, pas de Pandora Hearts, de Pandora tout court! Et les Gryffondor...rouge sang. Comme Drek le jour de la manifestation d'ailleurs...Il allait mieux Derek? Lucy lui coula un regard et constata que oui, il semblait un peu mieux que lorsque la Ministre avait attendant, Lily parlait encore. Elle parlait mĂȘme du cadeau de sa maman, mais euh, c'Ă©tait quoi ce cadeau? Et pourquoi que de sa maman, oncle Harry Ă©tait prompt Ă  faire des cadeaux aussi, pour ce que Lucy en savait...ah mais ouii. Les souvenirs revinrent d'un coup Ă  Lucy qui, pauvre Ăąme innocente, avait allĂšgrement refoulĂ© dans son inconscient le cadeau de Lily. Ben oui. Des prĂ©servatifs; elle avait oubliĂ© ce dĂ©tail, tiens, mais comprenait maintenant pourquoi c'Ă©tait le cadeau de la maman. Harry Ă©tait un peu...protecteur, comme pĂšre. En attendant...EUH? Elle avait bien suivi? Lily lui proposait de lui prĂȘter un...chose? Lucy rougit jusqu'Ă  la racine des cheveux et jeta un somptueux regard assassin Ă  sa cousine. Je te hais, j'avais pas l'intention de me transformer en tomate aujourd'hui, cousine...I HATE YOU. Et euh...Lucy regarda Lily de travers"Ben, je crois pas en avoir l'usage immĂ©diatement Lily. Mais je prends note."Petit sourire paillard. Mais elle Ă©tait quand mĂȘme ROUGE. Rhaah Lily, pourquoi trouvait-elle toujours un nouveau moyen de la faire bisquer, hein? En attendant...c'Ă©tait Lysander qui prenait la parole. Oh, il ne dormait pas alors? Hm, mais alors...ils pourraient peut-ĂȘtre tester ce canapĂ©, non? C'Ă©tait sĂ»rement sympa et...LILY SORS DE CE en attendant, Lysander demandait un cadeau Ă  Lily. SATYRE. Lucy sourit, un peu embĂȘtĂ©e. Mais Ă©videmment qu'elle le lui prĂȘterait mais euh, pas tout de suite, n'est ce pas? Ce d'autant plus que son pĂšre avait l'esprit ouvert...jusqu'Ă  un certain point. Et que Lily se dĂ©brouillait bien toute seule pour mettre le bazar; autant ne pas devenir sujet de ragots en plus! Ah. Un ange lui souriait, que faire? ...Ouais nan, en fait c'Ă©tait ce Serdaigle que Lucy connaissait trĂšs trĂšs mal, le dĂ©nommĂ© Lysander, l'ennemi jurĂ© du chat Hoshi. Qui lui demandait de s'approcher pour qu'il lui demande un truc. Nan mais NAN, j'ai dit plus tard, le cadeau de Lily...Ah, mais ce n'Ă©tait pas ça, il la questionnait sur le blaireau lĂ -bas. N'y voyez nulle mĂ©chancetĂ©, c'est juste que c'Ă©tait un Poufsouffle et Lucy rĂ©pondit tout touut bas"C'est Andras Singh, un Ă©lĂšve de Poufsouffle...trĂšs timide, mais gentil tout plein, plutĂŽt le genre frĂ©quentable."Petit sourire Ă  Lysander. Pas jaloux hein?Et la Gryffondor proposait de se prĂ©senter. Ca faisait alcooliques anonymes? Nathan on t'appelle...non, rien du tout. Lucy, donc. LUCY? Une Lucy plus ĂągĂ©e qu'elle, en plus, baaah. Lucy Weasley allait se prĂ©senter Ă  son tour quand une autre Gryffondor fit remarquer qu c'Ă©tait coincĂ©. Nan, classique, nuance. D'ailleurs, Lucy prit la parole Ă  son tour"Lucy Weasley, cinquiĂšme annĂ©e, Poufsouffle. Pas de chance, Ted, tu as deux Lucy dans ton groupe..."Petit sourire. Bon alors, Lucy number one c'Ă©tait elle et l'autre serait Lucy II. Ou bien, elle c'Ă©tait Lucy et l'autre serait Lulu? Rhoh et puis, dĂ©brouillez vous trĂšs chers, elle attendait juste le dĂ©but lĂ . Dominique Weasley Forgive me father for I have sinned, I have sinned a lot. » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Mar 8 Mar - 654 Qui c’est qui t’as fait ça, que j’aille lui exploser la gueule ? »Mon Dieu, tout de suite la violence ! Bon, visiblement, Domi aurait mieux fait de toute suite filer vers Mel’ plutĂŽt que de se ramener vers Lily. DĂ©jĂ , sa cousine prenait une teinte inquiĂ©tante et ses yeux se changeaient en glace. Wachhhha, ça fait peur. Garde tes beaux yeux noisettes, la glace ne te vas pas du tout. Domi sourit, tendue, inspira, resourit, moins tendue. Au secours, Lily va pĂ©ter une durite 
 AprĂšs s’ĂȘtre calmĂ©e, en deux secondes top chrono, Dominique sourit calmement Ă  sa cousine, faisant mine de rien. Faire mine de rien, c’était sa spĂ©cialitĂ©. Faire genre que tout va pour le mieux malgrĂ© cet Ă©lancement Ă  la mĂąchoire. Faire genre que le monde est beau alors qu’il nous donne envie de vomir. VoilĂ  la force de Dominique Weasley Faire n’y verrait que du feu
 ou pas.<
brisée- 20/01/2019 à 01h44. Bonjour à toutes : Tout ce ressemble tellement dans ces discussions. Mon mari alcoolique change complÚtement de personnalité, il est menteur,

Harry Potter 2005 ~€~ AcadĂ©mie de Poudlard ~€~ Cours Astronomie Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesInvitĂ©, le Mar 12 Mai - 002 Les Ă©lĂšves arrivaient doucement dans la salle, et la plupart partirent directement s'asseoir, sans piper mot. Alors que je guettais la porte d'entrĂ©e, un Serpentard de petite taille fit irruption dans la piĂšce. J'Ă©tais trĂšs intriguĂ©e et visiblement je n'Ă©tais pas la seule. Mais Ă  ma plus grande horreur, ils ne l'Ă©taient de la mĂȘme maniĂšre que moi. En effet des Ă©clats de rires fusĂšrent et je sentis littĂ©ralement mon sang bouillir lorsque des remarques vraiment dĂ©placĂ©es arrivĂšrent Ă  mes oreilles. Mais ils se prennent pour qui, eux ? Ma main se crispa brusquement sur ma baguette et je manquais de peu de me lever pour lancer une rĂ©plique cinglante Ă  ces jetais briĂšvement un Ɠil au petit homme dont j'ignorais le prĂ©nom, et ne fĂ»s pas surprise de le voir dans le mĂȘme Ă©tat que moi -si ce n'Ă©tait pas pire-. tenta d'apaiser les tensions, mais c'Ă©tait peine perdue Delaube et le nain se fusillaient du regard. Ils finirent tout de mĂȘme par prendre place aux extrĂ©mitĂ©s de la piĂšce. Bizarrement j'avais la nette impression d'ĂȘtre prise en sandwich entre Delaube derriĂšre au troisiĂšme rang et le petit homme au premier, je n'espĂ©rais vraiment pas tenir la C'est complĂštement puĂ©ril, murmurai-je Ă  moi-mĂȘme. Jace PortlandSerpentard Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesJace Portland, le Mar 12 Mai - 2053 Le jeune Jace parcourait lentement les couloirs du troisiĂšme Ă©tage, un livre Ă  la main. D'ordinaire il n'Ă©tait pas si studieux mais la nuit qu'il venait de passer n'avait pas Ă©tĂ© de tout repos. Il n'avait pas rĂ©ussi Ă  fermer l'Ɠil plus d'une heure; ce qui le laissait courbaturĂ© et plutĂŽt de mauvais point. Le Serpentard s'Ă©tait dit qu'il arriverait sans doute Ă  s'assomer en lisant quelques pages des Runes de Futhark, mais c'Ă©tait trop espĂ©rer. Rien ne parvenait Ă  l'endormir. Il Ă©tait donc parti faire son jogging matinal autour du parc pour redonner des couleurs Ă  son visage pĂąle et avait enchaĂźnĂ© sur une douche express pour se redonner de la forme... MalgrĂ© tout cela, il lui restait une heure Ă  tuer avant son premier cours de MĂ©dicomagie. MatiĂšre qu'il avait d'ailleurs hĂąte d'entamer car elle lui serait sans doute utile Ă  l'avenir. Depuis que le Vert et Argent Ă©tait entrĂ© Ă  Poudlard, il s'Ă©tait jurĂ© d'en apprendre le plus possible sur l'art du combat et de la dĂ©fense. Sans cela, il n'Ă©tait pas sĂ»r de pouvoir correctement faire face aux dangers qui le menaçaient depuis la disparition de sa mĂšre. Alors qu'il approchait de la salle oĂč se tenait le cours, une Poufsouffle le prĂ©cĂ©da en manquant de peu de le bousculer. Il la regarda alors avec mĂ©pris avant d'entrer dans la salle. Ces Poufsouffles j'vous jure... Ses pas le conduirent ensuite au deuxiĂšme rang, Ă  proximitĂ© d'une autre Jaune et Noire dont la tĂȘte lui disait vaguement quelque chose. Ses yeux se posĂšrent aussi sur un homme trĂšs imposant aux traits marquĂ©s. Il s'agissait certainement de Mkrovsk, leur professeur. Rien que le nom imposait le silence, dĂ©jĂ  parce qu'il Ă©tait imprononçable, et puis parce qu'il ne semblait pas trĂšs causant. Une Ă©tude plus approfondie du personnage lui rĂ©vĂ©la que l'homme portait beaucoup de cicatrices et que si le jeune Jace s'avisait de faire une remarque dĂ©placĂ©e, il risquait certainement quelques bref ! Il le salua d'un signe de tĂȘte et installa ses affaires sur le pupitre. La Poufsouffle Ă  cĂŽtĂ© de laquelle il Ă©tait maintenant assis, semblait furaxe et prĂȘte Ă  dĂ©gainer sa baguette. Ses yeux lançaient des Ă©clairs et Jace tentait de trouver la source de cette ambiance si palpable. Ce ne fĂ»t pas long Ă  chercher, car tous les yeux Ă©taient braquĂ©s sur un Serpentard de petite taille. Le brun fronça les sourcils. C'est un nain... Et alors ? InvitĂ© Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesInvitĂ©, le Mar 12 Mai - 2144 Elya, avait ce jour lĂ , un cour de mĂ©dicomagie. C'Ă©tait la premiĂšre fois qu'elle allait assister Ă  un cours dans ce genre, et elle avait trĂšs hĂąte. L'Anglaise pensait surtout Ă  son avenir Ă  ce moment lĂ , en se disant que pour le mĂ©tier d'Auror il fallait avoir de multiples connaissances. Mais bon. Elle ne pouvait pas juger ce cours aussi hĂątivement. En effet, il se peut aussi que la rouge et or n'adhĂšre pas du tout Ă  cette matiĂšre, et qu'elle tombe ainsi dans l'ennui le plus total. La jeune fille espĂ©rait dans ce cas pouvoir trouver des camarades avec qui bavarder. La jeune fille enfila donc sa robe de sorcier, ornĂ©e de l'insiqne de sa maison, atrappa son sac, et sortit de son dortoir et de sa salle commune. La gryffy se dirigea ensuite vers la salle de classe. Et vers cette nouvelle matiĂšre qu'elle s'apprĂȘtait Ă  dĂ©couvrir. La jeune fille trouva rapidement l'endroit et, sourire aux lĂšvres, elle poussa la porte de sa salle de cours. Bon, plusieurs personnes Ă©taient dĂ©jĂ  arrivĂ©s et le professeur Ă©tait dĂ©jĂ  installĂ© Ă  son bureau. Elya regarda sa montre. Ça va elle Ă©tait en avance. -Bonjour !Elle regarda ensuite autour d'elle pour trouver une place, mais ne voulant pas ĂȘtre seule Ă  une table, elle dĂ©cida de se diriger vers une pouffy assise au fond. La jaune et noire avait un air concentrĂ© et un chignon pour ne pas que ses cheveux lui tombent sur le visage. -Excuse moi, je peut m'asseoir ici? J'ai pas envie de me retrouver seule dans un avec un sourire elle rajouta-Moi c'est Elya Lane. Laurae SyverellPoufsouffle Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesLaurae Syverell, le Mar 12 Mai - 2227 Des rires venait lever la tĂȘte de la Poufsouffle. Pourquoi ce rire? Il avait l'air malsain, mĂ©chant... La jeune femme regarda autour d'elle et vit un garçon assez petit. "Je vois..." Son uniforme montrait qu'il Ă©tait de Serpentard. Il avait l'air d'avoir l'habitude qu'on se moque de lui avec mĂ©chancetĂ©. La jeune femme serra les dents. "Non, on est jamais habituĂ©e". Elle mĂȘme avait sa forme "diffĂ©rente des autres". Son orientation sexuelle lui avait parfois jouer des tours qui n'Ă©taient vraiment pas marrant. La Syverell se mordit la lĂšvre. Mkrovsk n'avait mĂȘme pas l'air de bouger. La jeune femme prit alors discrĂštement sa baguette, et lança un petit sort qui liait les lacets des chaussures de Leister. Si il marchait, il tomberait. L'Humiliation d'ĂȘtre face contre terre lui suffira-t-il? De plus, la jeune femme restait dans le rĂšglement. Elle n'utilisait que des sorts de base. Avec discrĂ©tion, elle rangea Ă  nouveau sa baguette. Et en profita pour placer ses affaires correctement sur sa table. Le visage et le regard impassible, personne ne pourrait se douter que c'Ă©tait elle. Et on ne risquerai pas de s'en prendre au Serpentard puisque celui ci avait tournĂ© les talons sans se soucier du rire qui Ă©tait sur lui. Plusieurs Ă©lĂšves commençaient leurs entrĂ©es. Mais la chĂšre Lionne de la jeune femme n'Ă©tait toujours pas arrivĂ©e. La Syverell se pinça les lĂšvres. Ses pensĂ©es dĂ©rivĂšrent sur sa cousine. Il allait falloir passer commande Ă  la Boutique de Magie noire pour choper un moyen de communication au cas ou il arrivait malheur. Surtout aprĂšs la voie qui s'ouvrait Ă  la Blairelle. C'est avec un soupir qu'elle releva les manche de son uniforme, dĂ©voilant un morceau de son tatouage d'avant bras. Elle se passa une main dans les cheveux, et fixa sa table, concentrer sur les mouvements de Leister. "Allez.... Tombe gredin". Si jamais la punition ne se faisait pas, elle rendrait justice autrement, dommage pour l'aiglon, elle ne faisait pas partie des sages et intelligents bleus et argent, mais des impulsifs et loyaux noir et jaune. De plus, elle manquait cruellement d'exercice. La boxe lui manquait. "Oui, toute excuse est bon a prendre dans ce monde de brute." Wilum JĂ€rvidenSerpentard Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesWilum JĂ€rviden, le Mar 12 Mai - 2314 La porte de la salle de classe fut ouverte Ă  plusieurs reprises, laissant rentrer d'autres Ă©lĂšves inscrits au cours de mĂ©dicomagie. Wilum jeta un coup d'Ɠil aux Ă©quipements prĂ©sents dans la salle, tout un attirail d'Ă©quipements biologiques. Le silence qui s'Ă©tait installĂ© dans le cours fut interrompu par des rires Ă  l'arrivĂ©e d'un Ă©lĂšve pas vraiment commode. Le canadien l'examina pendant un instant puis il fit une petite grimace lorsque le petit bonhomme Ă©leva la voix, car oui, il monta sur ses sombrals en agressant le prĂ©fet des Blaireaux, enfin agressĂ© est un bien gros mot. Ce fut monsieur Mkrovsk qui calma les ardeurs du nouvel arrivant. Lui casser les dents ? Le Serpentard fut nausĂ©eux Ă  cette pensĂ©e. Son imagination dĂ©bordante lui envoya une image horrible, dĂ©goĂ»tante.... Des dents qui sautent Ă  l'autre bout de la salle. Ce serait une mince affaire pour le professeur de mĂ©dicomagie qui a une forte carrure. Il a l'air d'une brute. L'attention de Wilum se dirigea de nouveau vers le nain. C'est la premiĂšre fois depuis longtemps qu'il en voit. * Je ne casse pas des briques avec ma taille... * Pensa-t-il. Enfin bref, il dĂ©laissa rapidement le second Serpentard qui avait attirĂ© toute l'attention de la petite troupe d'Ă©tudiants et notamment celle du professeur. Pour le moment, il n'y a pas beaucoup d'Ă©tudiants qu'il connait. Seuls les pensionnaires du chĂąteau qu'il a vaguement croisĂ© dans les couloirs remplissent les rangĂ©es de tables. Il observa la porte de la salle, comptant les secondes avant que celle-ci ne s'ouvre Ă  nouveau. Onze secondes ! Onze petites secondes et voilĂ  la porte qui s'ouvre lentement et un autre Ă©tudiant pĂ©nĂštre dans la salle de cours. Il ne reste plus qu'Ă  attendre que tout le monde soit lĂ ... RenĂ©smĂ©ePoufsouffle Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesRenĂ©smĂ©e, le Mer 13 Mai - 1358 RenĂ©smĂ©e marchait avec vitesse dans les couloirs. Les escaliers n'en avaient fait qu'Ă  leur tĂȘte et cela l'avait retardĂ©. Ce que la Poufsouffle redoutait le plus, c'est-Ă -dire arriver en retard en cours de mĂ©dicomagie, allait peut ĂȘtre se produire. Elle n'avait pas encore assistĂ© Ă  un cours de ce type mais elle avait dĂ©jĂ  croisĂ© le Professeur et il lui avait fait forte impression. En effet, la jeune fille Ă©tait assez petite pour son Ăąge, mĂȘme si elle commençait Ă  vraiment grandir petit Ă  petit. A cĂŽtĂ© du Professeur, elle ressemblait vraiment Ă  une fois arrivĂ©e devant la salle, elle reprit son souffle puis poussa la porte. Il y avait dĂ©jĂ  quelques Ă©lĂšves, mais elle n'Ă©tait pas la derniĂšre. En passant devant le Professeur, elle le salua d'un "Bonjour Monsieur" puis se dirigea vers une place pour s'assoir. En passant devant un Serpentard, elle fut intriguĂ©e. Bien qu'il soit dĂ©jĂ  assit, on remarquait qu'il Ă©tait trĂšs petit et elle arriva vite Ă  la conclusion que c'Ă©tait un nain, ou quelqu'un de petite taille pour ĂȘtre plus poli. La jaune et noire n'Ă©tait pas restĂ©e devant le Serpentard pendant qu'elle rĂ©flĂ©chissait, ce qui lui empĂȘcherait une fois assise, la jeune fille sortit un parchemin et une plume. Elle regarda le tableau pour connaĂźtre le sujet du cours et ferma les yeux. OpĂ©rations mĂ©dicomagiques, il y allait avoir du sang. Cela la rĂ©pugnait, mais elle pensait quand mĂȘme pouvoir soutenir cela, si c'Ă©tait dans un but de soigner. Une fois le titre copiĂ©, il ne lui restait plus qu'Ă  attendre les derniers Ă©lĂšves arriver. Kahena CernunnosPoufsouffle Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesKahena Cernunnos, le Mer 13 Mai - 1602 Kahena se tourna et re-tourna dans son lit, encore et encore. Une bonne journĂ©e s'annonçait pour elle. Elle n'avait absolument rien de prĂ©vu et allait pouvoir donc rester tranquillement au chaud sous sa couette. L'une des meilleures sensations au monde n'est-elle pas de pouvoir rester Ă©veillĂ© au lit ? Elle ferma les yeux. Ça devait ĂȘtre cela qu'on ressent aprĂšs notre mort. Un cocon chaud et moelleux. Si c'Ă©tait vraiment le cas, elle avait presque hĂąte de devenir un cadavr.... La mĂ©dicomagie. Comment avait-elle pu oublier ? Elle s'Ă©tait inscrite aux cours sur un coup de tĂȘte, parce que justement elle n'avait rien de prĂ©vu. Elle n'Ă©tait mĂȘme pas particuliĂšrement passionnĂ©e par la mĂ©dico'. Pourquoi s'Ă©tait-elle inscrite si ce n'est pour remplir son emploi du temps ? Elle se remua les mĂ©ninges, tentant de trouver une rĂ©ponse, tout en sortant pĂ©niblement du lit pour mettre son uniforme. Elle mit ses lunettes de soleil - rondes, s'il vous plaĂźt - pour protĂ©ger ses yeux si vulnĂ©rables. Elle attrapa son sac et sortie prĂ©cipitamment de la Salle Commune des Poufsouffles. Le thĂšme du cours ne lui revenait vraiment pas, mais elle l'avait sur le bout de la langue. Elle arriva devant la salle de classe dans laquelle elle entra, ses cheveux dĂ©gradĂ©s rouges coiffĂ©s - enfin non, pas coiffĂ©s justement - comme une criniĂšre de lionne. Elle tenta d'aplatir ses mĂšches d'une main tout en s'avançant dans la salle. Elle dĂ©visagea de derriĂšre ses lunettes l'homme debout Ă  cĂŽtĂ© du tableau et conclu qu'il devait s'agir du professeur, Mr. Mkrovsk. Elle le salua poliment avec un lĂ©ger sourire, comme pour s'excuser de la prĂ©cipitation avec laquelle elle Ă©tait entrĂ©e.*Il est temps de se faire discrĂšte Ă  prĂ©sent.* Elle avança parmi les bureaux, reconnaissant certains Ă©lĂšves de sa maison. Elle s'assit Ă  un bureau voisin de celui d'un Serpentard qui avait l'air particuliĂšrement Ă©nervĂ© et qui Ă©tait Ă©tonnamment petit.*Un nain.* lui appris sa Voix interne. *On dit "un petit monsieur" quand on est poli.* la corrigea-t-elle. Sans faire plus attention au concernĂ©, elle sorti plume et parchemins afin de faciliter la prise de notes."PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiques." Lu-t-elle sans faire attention au tableau. Mais oui ! Elle s'Ă©tait inscrite parce que ce cours promettait un maximum de de morceaux sanglants et qu'elle adorait ça ! Rien de mieux de bon matin. InvitĂ© Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesInvitĂ©, le Jeu 14 Mai - 1539 Aileen Ă©tait assise dans la salle commune, plongĂ©e dans un livre expliquant les bases de la mĂ©dicomagie ; elle n'Ă©tait pas stupide et savait parfaitement qu'elle aurait sĂ»rement du retard sur les autres Ă©lĂšves prĂ©sents au cours, gĂ©nĂ©ralement plus ĂągĂ©s qu'elle, mais essayait de compenser en apprenant quelques bases - purement thĂ©oriques cela-dit. Elle Ă©tait tellement absorbĂ©e qu'elle ne remarqua que tard l'heure qu'il Ă©tait, en constatant qu'elle Ă©tait quasiment seule dans sa salle commune. Elle se leva prestement, saisit son sac et sortit de la salle d'un pas vif, se dĂ©pĂȘchant d'arriver Ă  la salle de fois arrivĂ©e devant cette derniĂšre, elle s'arrĂȘta et reprit son souffle, avant de remettre ses cheveux et sa cravate en place et de lisser sa jupe, afin d'avoir l'air convenable. Elle entra calmement dans la piĂšce, visiblement elle n'Ă©tait pas encore en retard, mais il y avait dĂ©jĂ  du monde. Le professeur Ă©tait prĂšs de son bureau, Mr... Oh, elle n'arrivait pas Ă  s'en souvenir ! Elle avait bien essayĂ© de le prononcer et de le retenir, mais rien Ă  faire. Elle le regarda fixement pendant quelques secondes, perplexe. Il n'avait pas vraiment le profil de professeur de mĂ©dicomagie... En tout cas, pas tel qu'elle l'aurait imaginĂ©. Mais l'habit ne fait pas le moine, n'est-ce pas ?- Bonjour Professeur, le salua-t-elle en alla immĂ©diatement s'asseoir au premier rang, dont les bureaux Ă©taient tous occupĂ©s. Elle prit place Ă  cĂŽtĂ© d'un Serpentard, dont elle ne remarqua la petite taille qu'aprĂšs s'ĂȘtre assise. *Un nain.* conclut-elle rapidement. Elle s'en fichait pas mal, elle en avait dĂ©jĂ  vu auparavant, mais Ă  voir l'air renfrognĂ© de son camarade, cela ne devait pas ĂȘtre Ă©vident tous les jours. Elle lui sourit gentiment, tout en sortant parchemin et encre pour Ă©crire le titre de la leçon. *PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiques... Ça promet d'ĂȘtre passionnant !* Elle remarqua ensuite les cages, et, prĂ©fĂ©rant ne pas savoir pour l'instant ce qu'il y avait Ă  l'intĂ©rieur, se tourna vers son Bonjour ! Je m'appelle Aileen Leigh, enchantĂ©e de te regarda ensuite vaguement autour d'elle. Au bureau voisin se trouvait une Poufsouffle qu'elle ne connaissait pas, et en balayant la salle du regard elle constata que beaucoup de gens de sa maison Ă©taient prĂ©sents, ainsi que des Serdaigles et des Serpentard, mais il n'y avait qu'une Gryffondor. Aussi, cela confirma ce qu'elle savait dĂ©jĂ  elle Ă©tait la plus jeune. Bon, il y avait bien un Serdaigle plus jeune que les autres - Leister si ses souvenirs du cours d'Étude des Moldus Ă©taient bon - mais il devait ĂȘtre en troisiĂšme ou quatriĂšme annĂ©e, ce qui fait qu'elle restait la seule premiĂšre annĂ©e. InvitĂ© Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesInvitĂ©, le Jeu 14 Mai - 1542 Dean se leva tĂŽt ce descendit des dortoirs, traversa la salle commune et se rendit dansl a grande salle pour minutes aprĂšs avoir fini, il entendit la cloche sonner il devait partir pour son cours de mĂ©dicomagie! Il courut Ă  travers les couloir, monta les escaliers et se retrouva devant la porte de son entra sans toquer et salua respectueusement son professeursBonjour hate de commencer le cours!Il se permit de s'installer voyant que d'autres personnes Ă©taient dĂ©jĂ  prit donc place et se mit Ă  observer le materiel destinĂ© au y avait des blouses ils allaient donc faire des expĂ©riences! Beaucoup mieux que d'Ă©crire les thĂ©ories. Dean prĂ©fĂ©rais la pratique, on y apprenait plus de choses. Il remarqua plusieurs autres instruments dont il ne connaissait pas l' il se mit a observer ses camarades il y avait plusieurs filles et quelques n'avaient pas tous l'air vit mĂȘme un garçon plus agĂ© que lui jeter des regards furieux au attendit donc les autres Ă©lĂšves pour commencer le avait hĂąte de le commencer et d'apprendre encore des choses sur cette matiĂšre! InvitĂ© Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesInvitĂ©, le Jeu 14 Mai - 1750 Assise sur une racine Ă©paisse d'un haut chĂȘne du Parc, CĂ©lya contemplait le ciel bleu matinal dont l'immensitĂ© Ă©tait parsemĂ©e de traĂźnĂ©es blanches. Les jambes ramenĂ©es sous son menton, adossĂ©e au tronc, la jeune fille poussa un petit soupir de bien-ĂȘtre et ferma les yeux. Elle voulait profiter de cette quiĂ©tude encore un moment, avant de partir prendre sa douche et se prĂ©parer pour son premier cours. A cette heure-ci, les Ă©lĂšves Ă©taient en train de prendre leur petit dĂ©jeuner dans la Grande Salle, s'empiffrant de toasts, de confiture et autres nourritures qui leur donneraient des forces pour tenir jusqu'Ă  midi. Pour sa part, la blondinette avait petit-dĂ©jeunĂ© lĂ©ger, se contentant d'une tranche de pain beurrĂ©e et recouverte d'une lĂ©gĂšre couche de confiture Ă  la fraise. Puis elle Ă©tait partie avec son frĂšre jumeau faire une demi-heure de et elle avaient repris cette habitude depuis plusieurs semaines. La PrĂ©fĂšte se sentait beaucoup mieux, ayant l'impression d'Ă©vacuer la tension. C'Ă©tait une bonne chose, de pouvoir dĂ©marrer la journĂ©e sans se soucier de rien. C'Ă©tait exactement ce qu'elle ressentait en ce moment-mĂȘme. Le vide, le nĂ©ant Ă©tait prĂ©sent dans son esprit, tandis qu'une brise lui soulevait les mĂšches de cheveux. CĂ©lya savoura ces quelques minutes de calme et finit par se dĂ©cider Ă  rentrer au chĂąteau. Dans son collant noir et son sweet-shirt trop grand pour elle, elle paraissait frĂȘle. Mais l'habit ne faisait pas le moine, c'Ă©tait connu. Marchant d'un bon pas, la blondinette fourra les mains dans les poches du pull et nota qu'un professeur courait prĂšs du Lac. De loin, elle crut reconnaĂźtre prit son uniforme dans son dortoir et partit en quĂȘte de la Salle de Bains des PrĂ©fets, cĂŽtĂ© douches. Restant coi malgrĂ© les Ă©vĂ©nements des jours prĂ©cĂ©dents, la blondinette prit sa douche, se forçant Ă  ne penser Ă  rien. Plus facile Ă  dire qu'Ă  faire. Distraite, elle glissa alors qu'elle voulait sortir de la cabine et s'Ă©tala de tout son long au sol. Pour ne rien arranger, sa tĂȘte, son coude et sa hanche le heurtĂšrent brutalement. Un moment sonnĂ©e, la PrĂ©fĂšte se redressa avec douleur. Elle chercha aprĂšs sa serviette de bain et une fois celle-ci nouĂ©e autour de son corps, s'examina. Une bosse se formait dĂ©jĂ  Ă  son front et sa lĂšvre Ă©tait fendue. Un peu de sang avait coulĂ©. Son coude portait une trace rouge ainsi que le cĂŽtĂ© de sa hanche. Bonjour aux nouvelles ecchymoses ! Grimaçant, la Serdaigle s'habilla et retourna dans la Salle Commune pour y prendre ses affaires de cours. Des regards interrogateurs la suivirent. Oui, elle avait une tronche Ă©pouvantable aprĂšs sa chute mais elle ne pouvait rien y faire. En fait, elle ne voulait rien y faire. Ce n'Ă©taient que des Ă©raflures de rien du tout, et ce n'Ă©tait pas une petite bosse ou une ecchymose qui allait la tuer ! Le seul hic Ă©tait la petite douleur qui accompagnait chacun de ses pas, la ceinture de sa jupe un peu trop serrĂ©e ravivant la douleur Ă  la zone de la hanche. Il fallait bien qu'elle supporte ça, tant pis. ArrivĂ©e dans la salle de classe, Ă  l'heure par bonheur, CĂ©lya salua le professeur Mkrovsk avec un sourire poli et jeta un regard en direction du tableau qui annonçait le sujet du cours. Celui-ci promettait d'ĂȘtre intĂ©ressant et la jeune fille oublia la douleur. Des cages Ă©taient posĂ©es sur le sol, recouvertes d'un voile noir. La curiositĂ© piquĂ©e au vif, la blondinette s'installa sur la droite, sans faire plus attention aux Ă©lĂšves prĂ©sents. Les quelques visages qu'elle connaissait ne l'intĂ©ressaient pas ce matin, pour diverses raisons. La premiĂšre Ă©tait qu'elle n'avait pas particuliĂšrement envie de discutailler. Posant le coude sur la table, la jeune fille eut un sursaut et gĂ©mit doucement. Mince. C'Ă©tait son coude fraĂźchement blessĂ©. Leiv KrigersenSerdaigle Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesLeiv Krigersen, le Jeu 14 Mai - 1840 Une journĂ©e, une soirĂ©e, une nuit, un rĂ©veil, un petit-dĂ©jeuner le tout enrobĂ© d'un ennui mortel. Il ne lui restait plus qu'Ă  espĂ©rer que le reste de la journĂ©e serait plus palpitant sinon elle allait rapidement s'endormir. MĂȘme les ragots entendus pendant le repas n'avaient pas rĂ©ussi Ă  la sortir de son Ă©tat. Non, dĂ©cidĂ©ment rien d'intĂ©ressant Ă  l' lorsqu'elle lut son emploi du temps l'excitation prit le dessus cours de mĂ©dicomagie. L'une de ces matiĂšres favorites. Elle accordait une grande importance Ă  cette matiĂšre fournissant de gros efforts pour se maintenir Ă  niveau et ĂȘtre la meilleure possible. Les notes en elle-mĂȘme l'intĂ©ressait peu, elle tenait surtout Ă  savoir mettre en pratique ce que le professeur lui apprenait. À quoi cela servirait-il sinon ? Ce n'est pas les bonnes notes qui la sortiraient d'une situation dĂ©licate, non, mais savoir exercer des donc avec un sourire sincĂšre qu'elle se dirigea vers le salle de cours, impatiente. Rien que dans le couloir menant Ă  la salle, on pouvait entendre la voix des Ă©lĂšves se rĂ©percuter contre les murs en pierre du chĂąteau, elle put d'ailleurs voir, certains pĂ©nĂ©trer dans la piĂšce. Tout en accĂ©lĂ©rant le pas, elle remonta la bretelle de son soutien-gorge qui venait de prendre la fuite vers son Ă©paule, elle nota dans un coin de sa tĂȘte de penser Ă  la avec une idĂ©e idĂ©alisĂ© qu'elle pĂ©nĂ©tra dans le salle de cours. Évelyne ne tarda pas Ă  dĂ©chanter et tout en remettant ses cheveux noirs derriĂšre ses Ă©paules, elle avança d'un pas moins enthousiaste vers le premier rang. DĂ©cidĂ©ment l'ambiance Ă©tait au rendez-vous entre ceux qui s'endormaient, ceux qui fulminaient et ceux qui...et ben, avaient le regard dans le vide cette journĂ©e ne pouvaient que s'amĂ©liorer. JournĂ©e de m*rde je vous dis !La jeune fille Ă©tait tellement dans ses pensĂ©es qu'elle en oublia de saluer son professeur. Et s'en demander la permission prit place au premier rang Ă  cĂŽtĂ© d'une Poufsouffle au visage disant je veux du sang, des tripes et des cris. Mouais ! Elle aurait dĂ» l'observer un peu mieux avant de s'asseoir, voilĂ  qu'elle se retrouvait piĂ©gĂ© avec une psychopathe pour l'heure Ă  venir. Elle s'attarda sur son visage puis elle comprit enfin ce qui l'intriguait des lunettes de soleil. Mmh pas trĂšs rĂ©glementaires tout cela, surtout avec le nouveau directeur qui accordait une grande importance au paraĂźtre. Si c'Ă©taient des lunettes de vue, cela passe encore, mais de soleil ? Avec de la chance le mec baraquĂ© devant le tableau ne dirait rien. AprĂšs avoir dĂ©tachĂ© son regard de sa camarade, elle posa ses yeux sur le tableau "PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dico-magiques." Ah ! Enfin quelque chose pour pimenter cette journĂ©e. Le cours promettait d'ĂȘtre instructif et elle avait hĂąte de dĂ©couvrir ce que Mkrovsk leur avait prĂ©parĂ©. Au vu des blouses, gants et lunettes, il y aurait sans conteste de la pratique. Un sourire ravit Ă©claira petit Ă  petit son visage qui jusque-lĂ  Ă©tait la reprĂ©sentation parfaite de l'ennui. Son visage entier se rĂ©veilla Ă  la vue des cages mystĂ©rieusement cachĂ©es par un tissu noir. Elle avait hĂąte que le cours commence, oh que oui ! InvitĂ© Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesInvitĂ©, le Jeu 14 Mai - 2036 AprĂšs avoir bien rigolĂ©, le jeune homme en troisiĂšme annĂ©e d'Ă©tude Ă  Poudlard dĂ©cida de se calmer afin de ne pas Ă©nerver l'agressif personnage d'un mĂštre quatre-vingt, debout sur un chaise, les bras levĂ©s. Encore un mal lunĂ© qui avait du mal avec le relationnel, sĂ»rement. L'agressivitĂ© ouverte Ă©tait quelque chose de typique chez les personnes faibles d'esprit et Leister comprenait pourquoi ce minus avait Ă©tĂ© rĂ©parti chez les serpentards. Aucune surprise Ă  ce qu'il aborde les couleurs vertes et argents sur sa cravate, du coup. Le bleu et bronze n'avait pas assistĂ© au dĂ©but de la prise de tĂȘte mais se doutait bien de ce qui s'Ă©tait passĂ© quand il entendait tant le prof' que Morgan s' Ă©tait temps aprĂšs toute cette animation plus que distrayante, de prendre place sur une chaise pour suivre le cours qui allait commencer sous peu. Lorsqu'il essaya d'avancer, il sentit une rĂ©sistance au niveau de ses chaussures. Il ne parvenait pas Ă  avancer son pied droit comme il le voulait. Il baissa les yeux pour voir ce qu'il se passait et constata que les lacets avait Ă©tĂ© joints pour faire tomber le sang-pur. La personne qui avait essayĂ© de le faire tomber avait ratĂ© son coup et c'Ă©tait mieux pour elle qu'il ne dĂ©couvre pas qui Ă©tait l'auteur de cette hilarante plaisanterie de bas Ă©tage. Cette personne pouvait en tout cas donner la main au gnome pour former le groupe des Ă©cervelĂ©s. AprĂšs avoir dĂ©lier ses lacets, il s'installa comme il se doit sur sa chaise et salua enfin l'enseignant par un Bonjour M'sieur Mkrovsk ». Il sortit plume et parchemins pour prendre des notes et lut ce qui Ă©tait annotĂ© sur le tableau PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiques ! Cela voulait dire tout et n'importe quoi. Allaient-ils jouer les laborantins ? Ou tout simplement avoir un cours thĂ©orique ? Le minot ne se posa la question et attendit le dĂ©but du cours. Lilith BeeGryffondor Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesLilith Bee, le Ven 15 Mai - 1513 LA d'Izsa accordĂ©Izsa et Lilith s'Ă©tait encore une fois inscrite au cours de mĂ©dicomagie. Mais cette fois, Izsa savait que Lilith connaissait Rurik en dehors des cours. Enfin la raison "officielle" de l'Ordre n'Ă©tait pas la vraie raison de son accointance avec le professeur Russe, mais ça, il valait mieux que son amie Serpy l'ignore le plus longtemps possible. Et puis de toute façon les deux jeunes sorciĂšres avaient dĂ©jĂ  assez de secrets Ă  garder comme ça. Mais aujourd'hui l'ambiance Ă©tait plutĂŽt agrĂ©able entre les deux apprenties sorciĂšre. L'une et l'autre s'Ă©taient retrouvĂ©es dans la grande salle aprĂšs le petit dĂ©jeuner, comme Ă  leur habitude. Lilith ne pensait plus au bandage qu'elle avait au bras. La blessure par balle la baisait encore un peu souffrir, mais de devoir la cacher aux autres, elle en oubliait presque elle-mĂȘme l'existence! AbsorbĂ©es par leur discussion sur la maniĂšre de faire tourner en bourrique le professeur elles n'avaient pas vue le temps passer. Les deux amies avaient bien trop de responsabilitĂ©s pour des jeunes filles de leur Ăąge, et les moment de complicitĂ© et de franche rigolades Ă©taient devenues un sas de dĂ©compression indispensable entre deux missions. Il ne s'agissait plus de faire courir le concierge de Poudlard maintenant... C'est Lilith qui la premiĂšre eut la prĂ©sence d'esprit de regarder sa montre moldue que son pĂšre lui avait donnĂ©. Une montre toute simple en mĂ©tal argentĂ© qui ne valait rien, mais qui avait le mĂ©rite de lui donner l'heure! Elle leva de grands yeux vers son amie et avant mĂȘme que cette derniĂšre ait le temps de lui demander ce qu'il se passait, elle l'attrapa par la manche, entre le rire et la panique. - Le cours de MĂ©dicomagie va commencer, et on a tous les couloirs Ă  traverser! Ririk va nous faire une crise d'autoritĂ© si on arrive en retard. Et crois moi, il ne sera pas plus tendre parce qu'il nous connait, bien au contraire! La verte et argent n'eut pas le choix et se fit donc trainer dans la traversĂ©e du chateau par une Lilith Ă  demi hilare. Bousculant quelques autres Ă©lĂšves au passages, les deux jeunes filles arrivĂšrent Ă  l'heure. Le professeur Ă©tait toujours sur la dĂ©fensive, et une chemise sombre rehaussait son air mauvais. Cet air mauvais qui rassurait tant la prĂ©fĂšte des Lions... Etrange vous avez dit? Izsa et Lilith Ă©taient essoufflĂ©es, mais le sourire de la seconde ne disparaissait pas. AprĂšs cette course, son Ă©paule lui lançait un peu, nĂ©anmoins elle fit tout son possible pour ne pas le montrer. Elle se massa lĂ©gĂšrement le muscle autour de la blessure et son amie dont elle tenait toujours la manche de la robe. - Bonjourrrr Professeurrrr! l'Ă©lĂšve tĂ©mĂ©raire - ou suicidaire selon les points de vue - s'Ă©tait sciemment mise Ă  rouler les R Ă  la SoviĂ©tique. Pas trĂšs intelligent, mais les futilitĂ©s de son Ăąge lui permettaient de rester accrochĂ©e Ă  la rĂ©alitĂ©. Elle Ă©touffa un rire, et lança un regard dĂ©solĂ©e au Russe qui ne prendrait surement pas bien la boutade. AprĂšs tout, ils avaient frĂŽlĂ© la mort ensemble, mais personne d'autre n'Ă©tait au courant... - On a eu peur de ne pas arriver Ă  l'heure et de servir de cobayes! J'aimerais Ă©viter de de me prendre une balle Ă  retirer par mes camarades si possible. MĂȘme Ă  l'aide de la magie. Bon, si tout allait bien, personne n'allait comprendre la rĂ©fĂ©rence Ă  part Rurik. Elle laissa Ă  Izsa le temps de saluer le professeur puis regarda la salle. Morgan le Pouffy Ă©tait lĂ , mais un peu pĂąle. Bof, pas marrant...Pourtant, La rouge et or s'approcha de lui et dĂ©cida de s'installer pas trop loin du prĂ©fet des jaunes et noirs. Les autres Ă©lĂšves Ă©taient indiffĂ©rents Ă  Lilith, et tant mieux. Izsa n'avait plus qu'Ă  suivre le mouvement, et Ă  s'asseoir Ă  cote de sa camarade. Eileen I. HilswoodMDJ-G en formationHarryPotter2005 Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesEileen I. Hilswood, le Ven 15 Mai - 2218 C'Ă©tait agrĂ©able de se retrouver avec Lilith aprĂšs toutes leurs aventures rĂ©centes. La coupe de duel avait Ă©tĂ© Ă©prouvante pour la jeune fille, mais c'Ă©tait du pipi de chat comparĂ© Ă  un vĂ©ritable combat oĂč elle risquait sa vie. Ce qui leur Ă©tait arrivĂ© peu de temps auparavant, lors d'un mission de l'Ordre. La jeune fille s'Ă©tait rendue compte ce qu'ĂȘtre PhĂ©nix signifiait rĂ©ellement, et cela lui faisait peur. Pas une panique lui faisant perdre tous sens communs, une peur rĂ©aliste et sensĂ© pour quelqu'un tenant Ă  la vie. Mais cela n'entachait en rien sa dĂ©termination. Elle se disait simplement que Lilith devait vivre la mĂȘme chose depuis plus de temps, et elle comprit son sentiment, lorsque elle lui avait annoncĂ© qu'elle souhaitait rejoindre l'Ordre. Ensemble, elles Ă©taient plus Ă©tait tout aussi vrai Ă  Poudlard. Les cours Ă©taient un calme Ă©trange, mais agrĂ©able. Et le cours de mĂ©dicomagie allait ĂȘtre encore plus - maintenant qu'elle connaissait son prĂ©nom elle n'allait plus s'amuser Ă  Ă©corcher son nom - Ă©tait une nouvelle recrue lui aussi. Est-ce que cela allait changer des choses Ă  la façon dont les cours se dĂ©rouleraient ? Surement pas... Il Ă©tait cependant amusant de se dire qu'Izsa l'avait prĂ©cĂ©dĂ© chez les PhĂ©nix et qu'elle Ă©tait, dans une certaine mesure, son aĂźnĂ©e. AinĂ©e de cette armoire Ă  glace, vous y croyez ?Elle fut soudainement surprise son amie qui lui faisait de grands yeux - Le cours de MĂ©dicomagie va commencer, et on a tous les couloirs Ă  traverser! Ririk va nous faire une crise d'autoritĂ© si on arrive en retard. Et crois moi, il ne sera pas plus tendre parce qu'il nous connait, bien au contraire! Arg, la menace du russe dans une colĂšre noir n'Ă©tait pas pour ravir la jeune fille. Elle emboita le pas Ă  Lilith, qui semblait morte de rire. La lionne Ă©tait de bonne humeur, ce qui dĂ©teignait Ă©galement vers la vipĂšre. Un sourire amusĂ© flottait sur ses lĂšvres, mĂȘme s'il ne tint guĂšre longtemps dans cette course poursuite soufflante. Une vraie plaie en sport, voilĂ  ce qu'elle arrivĂšrent tout juste Ă  l'heure, et alors qu'Izs crachait ses poumons elle entendit son amie s'adresser au russe. - Bonjourrrr Professeurrrr! On a eu peur de ne pas arriver Ă  l'heure et de servir de cobayes! J'aimerais Ă©viter de de me prendre une balle Ă  retirer par mes camarades si possible. MĂȘme Ă  l'aide de la magie. Toujours aussi insolente, se rĂ©jouissait Izsa. Certaines choses ne changeaient pas. Elle salua Ă  son tour le professeur, puis suivit Lilith qui Ă©tait dĂ©jĂ  repartie. Une vrai pile Ă©lectrique, cette regard de la vert et argent flotta jusqu'au prĂ©fet des Poufsouffle. Elle se souvenait parfaitement de la derniĂšre nuit, dans la forĂȘt interdite. Elle savait bien que l'Ă©vĂšenement dont il avait Ă©tĂ© la victime n'Ă©tait pas anodin comment allait-il vivre cela ? Malena KaneSerdaigle Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesMalena Kane, le Sam 16 Mai - 1432 Je suis rĂ©veillĂ© par les bruits des animaux dans les cages ou les discussions des passants arrĂȘtĂ©s sur le chemin de Traverse devant les vitrines de la boutique. Encore Ă  moitiĂ© endormi, ma tĂȘte pĂšse lourd comme du marbre tant j’ai bu de sommeil pendant la nuit, je lĂšve les yeux vers le plafond de la piĂšce et respire ce doux parfum, mon parfum, qui va me bercer doucement vers le rĂ©veil. Il est encore tĂŽt, il n’y a personne Ă  la boutique ; ni mes jolies collĂšgues, ni Finrod. Je n’ai pas envie de tomber sur lui, il me prendrait la tĂȘte Ă  m’ĂȘtre endormi ici hier soir, et je n’ai pas envie de me prendre la tĂȘte avec lui ce matin. Je suis Ă  allongĂ©, seule ma tĂȘte est redressĂ©e, appuyĂ©e sur un je ne sais quoi de dur. Peut-ĂȘtre un sac de nourriture. Je resterai bien comme ça, pendant des heures, Ă  me remettre de ma fatigue soudaine. Les derniĂšres journĂ©es ont Ă©tĂ© Ă©reintantes. Mais je sais bien, que bientĂŽt, on percera cette bulle de silence dans laquelle je me confonds, dans laquelle je me rendormirai bien, je sais bien que je dois partir. Aussi, efforts aprĂšs efforts, je suis levĂ©, dĂ©jĂ  agacĂ© par la journĂ©e qui a remplacĂ© la nuit. ***Une ou deux heures aprĂšs. Aussi loin que mes pas perdus m’aient conduits dans Londres, je me retrouve nĂ©anmoins Ă  fouler les couloirs de Poudlard. AprĂšs une marche sans but dans les rues, le cours de mĂ©dicomagie auquel je m’étais inscrit quelques jours plus tĂŽt, m’est revenu Ă  la mĂ©moire. Il m’a agressĂ© si durement, que je n’ai pu l’éviter comme j’aurai aimĂ© le faire. Je suis entrĂ© dans la salle, sans prendre la peine de saluer le professeur, ce grand gaillard costaud, costaud comme ça, comme un gĂ©ant. J’ai cru voir une de mes collĂšges assises. Face, je crois. Bref, j’attrape une table solitaire, et me glisse entre elle et sa chaise. Face aux bruits atroces des autres Ă©lĂšves, je durcis ma bulle de silence. Ce cours ne m’offre qu’une seule perspective celle de l’ennuie. Lizzie CojocaruPersonnel de Poudlard Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesLizzie Cojocaru, le Sam 16 Mai - 2242 Nuit douce et profonde ; sommeil imperturbable. RĂ©veil des plus naturels, vers cinq heures, la bouche un poil pĂąteuse, puis le flash. Une silhouette. Un rien, un tout. Inutile de se remĂ©morer les traits de l’inconnu. C’est lui. La pulsion la reprend. Envie de fuite. Plus qu’une envie, un besoin. L’instinct de survie. Il est saoul, songe-t-elle. Et sa baguette non magique. Son souffle s’accĂ©lĂšre. Ce n’était qu’un rĂȘve. Frissonnant, la blairelle s’engouffre dans la douche. VulnĂ©rable. Le liquide suffit Ă  diluer sa peur plus sĂ»rement qu’un des remĂšdes alcoolisĂ©s dont elle est pourtant si Ă©prise. La lancinante brume du rĂȘve se dissipe, ne reste que son esprit clair et vif. Ou presque. Il est cinq heures quinze quand Bennet quitte le dortoir. L’avantage du couvre-feu, quoiqu’il soit rare qu’elle le respecte mais l’insigne aide en la matiĂšre, est qu’il ne prĂ©cise pas les restrictions relatives Ă  l’heure du lever. Laissant des possibilitĂ©s de vagabondage relativement peu limitĂ©es. Loin de ces saletĂ©s d'Ă©lĂšves soumis, tradis, et chouineurs, c'est tout ce qui jaune et noire s’engouffre entre les salles de classe, Ă  la recherche d’informations compromettantes, puis au bout d’une heure de fouilles se dirige -toute de Kaleidem vĂȘtue- vers la bibliothĂšque. Les runes Furthark, par Arthen König. Peut-ĂȘtre y trouvera-t-elle la rĂ©ponse Ă  l’étrange symbole dessinĂ© Ă  la craie par Lestrange l’autre fois ? AprĂšs l’avoir feuilletĂ© de long en large, tapie dans l’obscuritĂ© des rayons dĂ©serts, Bennet se rĂ©sout Ă  la pensĂ©e que quoique la Eihwaz soit la plus proche de ce qu’elle ait observĂ©, elle demeure moins complexe que son ami avait tracĂ©. Elle lit l’annotation apporte rĂ©surrection, le passage Ă  un nouvel Ă©tat, le surpassement de ses limites. » Assez cohĂ©rent vu qu’elle songeait l’avoir interrompu en pleine nĂ©cromancie. Mais qu’étaient les traits manquants ? FrustrĂ©e, la prĂ©fĂšte repose l’ouvrage et s’en retourne vers le Parc, oĂč elle s’exerce Ă  jeter un Sphaera ignis dont les rĂ©sultats sont tout aussi peu probants. Elle a tout juste le temps d’attraper une pomme dans la Grande Salle, qu’elle grignote au dĂ©tour d’un couloir, puis son horloge interne naturellement retardataire lui indique que le temps presse. Entrant en saluant d’un signe de tĂȘte le russe, la peu pouffy pouf pouffe en apercevant son collĂšgue en solo. Il faut dire qu’elle le prĂ©fĂšre en faux-taciturne solitaire. A minima, il perd le cĂŽtĂ© bisounours-conventionnel-qui-poupoute-tous-les-premiĂšre-annĂ©e. M’enfin. Il reste Delabruti quoi, se moquer de lui n’est pas un luxe. La septiĂšme annĂ©e reconnaĂźt aussi Shake et McKinley, Lau et cette pĂ©tasse de Lamewood -sur laquelle un Hysteriauricule est automatiquement informulĂ©, simple formalitĂ©-, ainsi que le duo qui remonte le QI de cette salle Izsa et Lilith. Sauf qu’elles sont Ă  cĂŽtĂ©. Bon. Allez, on se sociabilise ? Non, poussons pas. C’est pas son genre. Par contre, y en a qui a l’air de s’ennuyer ferme Kane. Pas trĂšs passionnĂ© par la perspective d’opĂ©rations magiques sur des animaux ? Ça a l’air assez cool pourtant, sachant que les prochains bĂ©nĂ©ficiaires » de leurs sorts pourraient ĂȘtre humains. A moins que le russe ait casĂ© des nains dans les cages, mais vu qu’il y a un Ă©lĂšve inconnu au bataillon concernĂ© par le nanisme, ç’aurait Ă©tĂ© dĂ©licat. AprĂšs, le serpent en question a l'air enragĂ©, donc peut-ĂȘtre sont-ce vraiment le matos du cours ? Ou des elfes peut-ĂȘtre ? Quoiqu’il en soit, Bennet s’approche de l'Ă©lĂšve bleu et bronze aux traits effĂ©minĂ©s. Ille paraĂźt par le boucan du troupeau en rut, et c'est comprĂ©hensible. Elle-mĂȘme peine toujours Ă  les supporter, mĂȘme s'ils le lui rendent Tu es ? fait-elle en s’asseyant Ă  ses cĂŽtĂ©s. Re Cours n°3 PremiĂšres opĂ©rations mĂ©dicomagiquesContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum

Quest ce que vous supportez pas chez un mec ?. Pour ma part je deteste les mecs TROP TIMIDE, qui n'on jamais rien Ă  dire et les mecs qui n'ont pas confiance en eux mĂȘme !!!! Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon sortie d’un nouveau ... Voir le deal MÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RP 4 participantsAller Ă  la page 1, 2, 3, 4 AuteurMessageSamuelle DaeeNombre de messages 493Maison Ex- toutAge du Perso 25 ansDate d'inscription 31/08/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Sam 3 FĂ©v 2007 - 042 Samuelle sorti de la chambre en s’étirant comme un chat satisfait de son sommeil
 Elle aborda Aphrodite de dos et lui Ă©treignant les Ă©paules d’une façon langoureuse et cĂąline, lui plaqua un baisĂ© sonore sur la joue humm » fit-elle avec gourmandise
 Cette nuit Ă©tait merveilleuse
 » commenta-t-elle avec le ton sensuel d’un amant
 On remet ça quand tu veux! » proposa-t-elle encore, un sourire malhonnĂȘte illuminant l’ectoplasme de sa figure
 Non? Quel dommage
 »Puis, sur ces bonnes paroles, la fantĂŽme se dirigea vers la porte, passa au travers et disparu, semant le doute dans l'esprit de tous... SelpaniuInvitĂ©Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Sam 3 FĂ©v 2007 - 208 Kaitz, je te prĂ©sente Lihinie. Lihinie je vous prĂ©sente Kaitz. Il est l'ami commun dont je voius parlais. Vieux, il y a une poubelle a terre Ă  ta droite. Mais tu as mal au coeur parce que tu es Ă  jeĂ»n. Bon, je vais chercher la derniĂšre. Ne nous atttendez pas pour manger...-Ah? Ehh... bonjours... Dit elle Ă  Kaitz qui venait d’arriver. Elle ne se souvenait pas du tout de lui, ou peut-ĂȘtre un peu... Le Joker... Enfin, elle avait un vague souvenir du joker quand il avait enlevĂ© son costume... oui, c’était lui. Enfin, elle vous qui Ă©tiez en joker?? ... je ne me souviens plus trĂšs bien de ma soirĂ©e d’hier... J’ai du boire beaucoup. Ça ne m’arrive pourtant jamais... hmm... Lihinie allait pour se servir qu’elle aperçu Less qui revint, traĂźnant Dite par le bras. Elle entendit Dite parler d’avoir prit des hallucinogĂšnes et de ne pas en avoir donnĂ© Ă  Kaitz. MalgrĂ© tous les antidotes contres les poisons qu’elle pouvait connaĂźtre, elle n’en connaissait malheureusement aucun contre les drogues. Aussi ironique que ça puisse paraĂźtre. Mais de toute façon, si elles avaient Ă©tĂ© prises la nuit derniĂšre, probablement qu’elles avaient cesser de faire effet. C’est Ă  ce moment que Muelle intervient en faisant un cĂąlin Ă  Dite et en insinuant qu’elles avaient fait quelque chose de plaisant cette nuit. Elle se demande bien ce que c’est, puis se dit que ce n’est pas de ses affaires. Selpanius revint de la douche, tout beau et tout propre, en pantalon et torse nu. Au moment oĂč Less cogna Ă  la porte et lui dit que la bouffe allait ĂȘtre froide, la porte s’ouvrit, laissant Ă©chapper un Ă©pais nuage de vapeur. -Ça n’a pas Ă©tĂ© si long quand mĂȘme. Elle Ă©tait dĂ©jĂ  partie, traĂźnant Dite. Selpanius prit son pantalon tout propre, grĂące Ă  Less, et alla dans la chambre pour le mettre. Il vit Muelle faire son cĂąlin et son commentaire Ă  Dite, puis partir. Selpanius lança son commentaire chiant Ă  l’intention de Dite. C’était plus fort que lui. -Je savais que les chattes en chaleur Ă©taient prĂȘtes Ă  se taper d’importe quoi, mais mĂȘme des fantĂŽmes? Je ne cesserais jamais d’apprendre des choses se servi dans les plats, comme si de rien n’était, ignorant Dite qui devait probablement lui lancer un regard noir. Ou peut-ĂȘtre pas. Il se foutait complĂštement de Dite. Comme je l’ai dĂ©jĂ  mentionnĂ©, Selpanius n’avait que trĂšs peu de respect pour les ribaudes en manque. Harkaitz RocstoneNombre de messages 1487Age 39Maison Ex-PoufsouffleMessage Perso I'm the Eternal Light The other one's a duplicateAge du Perso 29Date d'inscription 09/05/2006Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Sam 3 FĂ©v 2007 - 230 - Kaitz, je te prĂ©sente Lihinie. Lihinie je vous prĂ©sente Kaitz. Il est l'ami commun dont je vous parlais. Vieux, il y a une poubelle a terre Ă  ta droite. Mais tu as mal au coeur parce que tu es Ă  jeun. Bon, je vais chercher la derniĂšre. Ne nous attendez pas pour manger... - Hum... dit-il avec un lĂ©ger signe de la main, guĂšre enthousiaste. Assis dans le fauteuil, il remonte ses pieds sur le coussin et s'y affale. Le regard dans le vague, il est toujours tout aussi vert, mais son air semble plus rĂ©veillĂ©. Les sourcils froncĂ©s, il fixe le vide devant lui... Ă  moins que ce soit les pattes de la table... ou le tapis sous la table... enfin, peu importe. L'odeur du dĂ©jeuner est appĂ©tissante, mais il n'a vraiment pas faim. Le perrier sera suffisant, du moins pour commencer la journĂ©e... enfin, l'aprĂšs-midi. Less revient, suivie d'Aphrodite, qui n'a pas vraiment le choix de suivre. D'ailleurs, Less escorte Dite jusqu'au divan et, sans dire un mot, lui suggĂšre d'y prendre place. Dite semble pas trĂšs fraĂźche non plus. Il n'est pas le seul Ă  avoir passĂ© une sale nuit, quoi. Ça lui procure un certain plaisir, qu'il refoule aussitĂŽt, un peu troublĂ© d'avoir de telles pensĂ©es. Selpanius sort de la salle de bain, en pantalon, rien d'autre. Kaitz lui jette un oeil distrait, tout en se disant qu'est-ce que Less pouvait bien lui trouver Ă  celui-lĂ . Y'avait pas de quoi se pĂąmer. Oh, tiens, il sentait poindre un touche de frustration. Oui, Kaitz Ă©tait frustrĂ©. Dite qui l'avait confondu avec un autre, Less qui semblait se plaire avec cet imbĂ©cile de Selpanius, sans compter son mal de coeur tenace...- Je savais que les chattes en chaleur Ă©taient prĂȘtes Ă  se taper n’importe quoi, mais mĂȘme des fantĂŽmes? Je ne cesserais jamais d’apprendre des choses ce n'est pas Dite qui ose une rĂ©plique, mais Kaitz. - Selp, ta gueule, t'as ramenĂ© des trucs bien pire que des fantĂŽmes... tu te souviens une fois, la Banshee ?Oh, en fait, c'Ă©tait bien probable que Selp ne s'en souvienne plus, mais on le lui avait racontĂ© et y'avait des tĂ©moins. Un bref sourire complice Ă  Selpanius, il se renfrogne dans son fauteuil. Il n'est pas d'humeur Ă  plaisanter, visiblement. Less feint ignorer le trouble des autres. Mais Kaitz connaĂźt bien son amie. Elle n'ignore rien, elle ne fait que semblant que ça ne la touche Ă©dition par le Sam 3 FĂ©v 2007 - 2320, Ă©ditĂ© 1 fois Lareless MainellaNombre de messages 2514Age 43Maison Ex-GriffondorMessage Perso Kaitz n'est qu'un sale con. FarpaitementAge du Perso 27Date d'inscription 30/08/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP MĂ©chante de service. Chercheuse de petite bĂ©bĂȘte, empĂȘcheuse d'administrer en rondFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Sam 3 FĂ©v 2007 - 331 Cette nuit Ă©tait merveilleuse
 On remet ça quand tu veux! Propose Samuelle Ă  Aphrodite. Lareless lĂšve le nez de sur son cafĂ©, la mine interrogative. Non? Quel dommage
 »Elle connait bien trop Muelle pour Ă©carter cette possibilitĂ© d'emblĂ©e. Et vu l'Ă©tat qu'ils Ă©taient hier, c'est une possibilitĂ© probable. Les yeux Ă©carquillĂ©s, elle regarde Muelle partir, puis jette un oeil rapide sur Kaitz, certaine qu'il va parler. Non, c'est Selpanius qui y va de son commentaire enrichissant. -Je savais que les chattes en chaleur Ă©taient prĂȘtes Ă  se taper d’importe quoi, mais mĂȘme des fantĂŽmes? Je ne cesserais jamais d’apprendre des choses stupĂ©fiantes. Pour camoufler son petit rire, elle prend une gorgĂ©e de son cafĂ©. Elle pense qu'il est chanceux que la dite fantĂŽme ne soit pas lĂ , sinon elle lui aurait fait ravaler son n'importe quoi d'une phrase qui tue Ă  la Daae. Elle feint d'ignorer que les couteaux volent bas ce matin. - Selp, ta gueule, t'as ramenĂ© des trucs bien pire que des fantĂŽmes... tu te souviens une fois, la Banshee ?-Elle criait fort votre banshee Selpanius?Lui demande elle moqueusement. Elle se prend une toast. Pose un bref regard de biais Ă  Aphrodite. La jeune femme est silencieuse. Less lui envoie une pique. -Est ce que vous criez plus fort qu'une banshee Mademoiselle CrĂ©on? je devrais rajouter qu'avec la musique d'hier fallait hurler pour se faire comprendre. Qu'en pensez vous Lihinie? SelpaniuInvitĂ©Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Sam 3 FĂ©v 2007 - 1009 -Selp, ta gueule, t'as ramenĂ© des trucs bien pire que des fantĂŽmes... tu te souviens une fois, la Banshee ?Arg, pas elle, pensa Selpanius. Cette Banshee » Ă©tait en faite une femme tout Ă  fait humaine, trĂšs charmante mĂȘme et amusante, tant qu’on ne couchait pas avec. Selp et Kaitz avaient encore fait leur petit pari de qui se taperait la plus belle fille cette nuit lĂ . On pourrait dire que Selpanius avait subit une dĂ©faite cuisante ce soir lĂ . En dehors de toutes ses jolies qualitĂ©s, elle avait un dĂ©faut majeur qui arrivait Ă  leur faire ombrage Celui de hurler Ă  l’orgasme. Mais tout un hurlement! On aurait dit qu’elle Ă©tait en train de se faire assassiner. Tout le voisinage avait du l’entendre, dont Kaitz. Selpanius grimaça au souvenir de ses cris, puis il souri. Effectivement, c’était quand mĂȘme drĂŽle de se le qu’un fantĂŽme? Certainement. Ce n’était pas une banshee, mais une aberration. Oh, je n’ai rien contre les fantĂŽmes, c’est simplement que je me demande comment avoir une relation sexuelle avec un ĂȘtre dĂ©nuĂ© de chair. -Elle criait fort votre banshee Selpanius?-Crier? Elle hurlait vous voulez dire... Tout le voisinage Ă©tait persuadĂ© que je venais de l’assassiner. Un vĂ©ritable cauchemar. Kaitz a bien rit ce soir lĂ . Vous imaginez?? Des gens du ministĂšre sont arrivĂ©s pour m’arrĂȘter! Et je devais leur expliquer la situation. Quel calvaire ce fut. RĂ©pondit-il d’un ton amusĂ© par cette vieille histoire. Selpanius c’était jurĂ© d’oublier cette soirĂ©e lĂ , et sur le coup, il n’en riait pas du tout. Surtout quand le ministĂšre Ă©tait dĂ©parquĂ© pour l’arrĂȘter. Mais maintenant, il la trouvait bien drĂŽle quand il y repensait. C’était sujet de plaisanteries. -Est ce que vous criez plus fort qu'une banshee Mademoiselle CrĂ©on? je devrais rajouter qu'avec la musique d'hier fallait hurler pour se faire comprendre. Qu'en pensez vous Lihinie?-Hmmm? Oh, la musique? Effectivement. Elle Ă©tait trĂšs forte. J’en ai encore les oreilles qui cillent. Pourquoi? Mademoiselle... euh.. CrĂ©on? C’est bien ça? Elle a rĂ©ussi Ă  crier par dessus la musique? Wow. Je me demande bien ce qui a pu la motiver Ă  un tel point. Moi je n’aurais jamais rĂ©ussi, pas mĂȘme avec quelqu’un tenant un poignard Ă  ma gorge. La remarque de Lihinie Ă©tait totalement innocente. Elle n’avait pas comprit l’allusion Ă  l’aventure entre Dite et le loup. Pour elle, il fallait tout simplement ĂȘtre trĂšs motivĂ© pour rĂ©ussir Ă  crier par dessus la musique qui jouait Ă  tue tĂȘte. Son commentaire Ă©tait tout Ă  fait innocent et dĂ©nuĂ© de mĂ©chancetĂ©. En fait, ayant remarquĂ© qu'on s'acharnait sur Dite, elle avait voulu l'aider en changeant le sujet sur la musique qui jouait trop fort. Mais en fait, ça n'avait qu'empirer son cas. Lihinie ne se souvenait pas de cette histoire entre Dite et le Loup. Aphrodite Kassy CrĂ©onNombre de messages 287Maison Ex-SerdaigleMessage Perso Wouhouuuu ya quelqu'un ???????????Age du Perso 22Date d'inscription 25/07/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Sam 3 FĂ©v 2007 - 1811 Aphrodite est assise sur le divan, essayant de faire abstraction de l'atmosphĂšre ambiante. Un frisson glacial la transperce alors tandis qu'elle reçoit un calin ectoplasmique Cette nuit Ă©tait merveilleuse
 On remet ça quand tu veux! »Aphrodite surmonte son frisson pour regarder la fantome d'un air interrogatif... Qu'est-ce qu'elle raconte la fantomette? Non? Quel dommage
 »Elle n'a pas le temps de rĂ©pondre qu'elle est dĂ©ja partie... Mais quelqu'un d'autre lui assĂšne une rĂ©flexion... adorable... Aphrodite reconnut le fou noir et blanc de la fĂšte, celui qui lui avait dĂ©ja assenĂ© quelques douces remarques..."Je savais que les chattes en chaleur Ă©taient prĂȘtes Ă  se taper d’importe quoi, mais mĂȘme des fantĂŽmes? Je ne cesserais jamais d’apprendre des choses stupĂ©fiantes."Aphrodite n'a pas le temps de rĂ©pondre que Kaitz lui avait dĂ©ja rĂ©pondu... plutot sĂšchement..."Selp, ta gueule, t'as ramenĂ© des trucs bien pire que des fantĂŽmes... tu te souviens une fois, la Banshee ?"Elle regarde alors Kaitz... la premiĂšre fois qu'elle ose le regarder vraiment depuis hier soir... mais elle dĂ©tourne les yeux rapidement... tandis que Less lui assene encore une joyeuse pique..."Est ce que vous criez plus fort qu'une banshee Mademoiselle CrĂ©on? je devrais rajouter qu'avec la musique d'hier fallait hurler pour se faire comprendre. Qu'en pensez vous Lihinie?"Aphrodite encaisse encore sans broncher... Apparemment ils trouvent un malin plaisir Ă  dĂ©monter les gens Ă  coups de petites piques et de remarques acerbes... "Pourquoi? Mademoiselle... euh.. CrĂ©on? C’est bien ça? Elle a rĂ©ussi Ă  crier par dessus la musique? Wow. Je me demande bien ce qui a pu la motiver Ă  un tel point. Moi je n’aurais jamais rĂ©ussi, pas mĂȘme avec quelqu’un tenant un poignard Ă  ma gorge."La sĂ©ance des remarques acerbes continuait... Mais Aphrodite continuait Ă  ne rien dire... La culpabilitĂ© et la honte la quittent pour laisser place Ă  la colĂšre et Ă  une lĂ©gĂšre envie de meurtre XD... Pour qui se prennent-t-ils ceux lĂ  pour dĂ©molir quelqu'un dĂ©jĂ  Ă  terre... ? Elle essaye un peu de se calmer... mais non c'Ă©tait trop....Pi vu ce qu'elle subissait dĂ©jĂ  ça ne pouvait pas ĂȘtre pire... Elle se lĂšve alors brusquement du divan, se tourne vers eux avec un regard noir... Et dit d'une voix plutĂŽt Ă©nervĂ©e..."HĂ© le bouffon photocopiĂ©... La chatte en chaleur elle vous emmerde !!! A la place de vos piques et remarques acerbes... Pourquoi vous ne diriez pas diectement ce que vous avez sur le coeur ? Vous me prenez pour une pute, une droguĂ©e, une sous-merde...? Bah dites le !!! Ah nan vous prenez un malin plaisir Ă  torturer les gens... Bah trouvez vous une autre victime... C'est bon j'en ai marre... Oui j'ai fais des conneries... Oui je me suis dĂ©guisĂ©e en Catwoman et j'ai essayĂ© de jouer ce role... Argh quelle horreur... Avant mĂȘme d'avoir fait quoi que ce soit vous aviez dĂ©ja votre opinion sur moi si je ne m'abuse cher bouffon... Quelle fille digne de ce nom aurait pu mettre un costume si vulgaire... C'est pas pire que les nymphes qui se balladent Ă  poil..."Elle s'arrĂ©te quelques secondes... le regard encore plus noir, la colĂšre la fait un peu trembler..."Ca vous arrive jamais de faire des conneries sous l'effet de l'alcool ? De ne pas avoir le bon jugement sur les choses ou les personnes ? Vous racontez vos exploits avec la banshee... et je suis sure qu'un de vos jeux favori est de faire la course pour vous faire la plus jolie nana pendant les soirĂ©es... Et c'est moi la pute ??? Vous considĂ©rez les filles comme des objets et c'est moi qui doit prendre? Oui j'ai fait des conneries avec le grand mĂ©chant loup... Oui j'ai osĂ© le confondre avec Kaitz... Et ça je le paye dĂ©ja assez sans que vous ayez Ă  en rajouter... Mais dans une soirĂ©e dĂ©guisĂ©e dont le but est justement de ne pas savoir qui est l'autre... et avec l'alcool... le jugement peut facilement ĂȘtre faussĂ© non ?? Ensuite pour m'ĂȘtre fait deux petits cocktails avec une miette d'hallucinogĂšnes dedans... je suis la pire des droguĂ©es... Et bien si vous voulez... Mais si je vous dĂ©goute tant que ça pourquoi m'avez vous fait venir ici ???"Tout ce qui l'avait enfermĂ© sur elle-mĂȘme depuis que minuit avait sonnĂ© Ă©tait en train de la submerger et de sortir, elle ne pouvait pas le retenir... Les tremblement Ă©taient de plus en plus fort, son regard de plus en plus noirs, son souffle saccadĂ©... Elle se dirige alors vers la porte de la chambre et hurle ..."Vous vous ĂȘtes bien amusĂ©s ??? Maintenant oubliez moi et foutez moi la paix !!!!!!!!!"Elle entre dans la chambre et claque la porte avec une telle rage qu'elle faillit sortir de ses gonds... Enn passant elle prend une lampe de chevet qui se trouvait sur la table de nuit et l'explose contre le mur de l'autre cĂŽtĂ© de la piĂšce... Elle cherche ses vĂȘtements pour ne pas avoir Ă  sortir en t-shirt... mais ne les trouve pas... DĂ©sabusĂ©e, envahie par la rage, elle essaie de se calmer... Elle fait le tour du lit et s'assoit contre le mur derriĂšre, le plus loin de la porte possible... elle tremble, les larmes de rage cette fois-ci embuent ses yeux... SelpaniuInvitĂ©Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Sam 3 FĂ©v 2007 - 2249 Pendant que Dite explosa, Selpanius resta complĂštement indiffĂ©rant aux petites insultes qu’elle pouvait bien lui balancer, buvant son thĂ©, l’air parfaitement calme. MĂȘme qu’il eu le culot de bailler pendant qu’elle criait de colĂšre. -Tient, j’ai cru apercevoir une pointe de dignitĂ© en elle, dit il sarcastiquement, toujours impassible et calme, entre deux gorgĂ©es de thĂ©. -J’ai dit quelque chose qu’il ne fallait pas?? Demanda Lihinie, une fois Dite sortie de la piĂšce. Elle se demandait sincĂšrement ce qu’elle avait dit pour la fĂącher. -Toi? Oh, tu lui as simplement rappelĂ© une de ses petites erreurs. Sinon ne t’en fais pas, je crois que j’y suis pour plus que toi dans cette crise, lui rĂ©pondit-il, toujours indiffĂ©rant Ă  la crise de quelques secondes de rĂ©flexion, Selpanius se tourna vers fait... ta minette a apportĂ© des vĂȘtements de rechange en dehors de son costume? Ça ne serait pas dĂ©cent de se promener ainsi dans les rues. -Oh non... C’est vrai que ça serait indĂ©cent... Mais j’y pense, moi j’en ai quelques uns dans un petit sac... je peux peut-ĂȘtre lui en prĂȘter? Lihinie se leva et fouilla dans un sac minuscule et probablement trop petit pour transporter des vĂȘtements. Pourtant, elle en sorti une petite robe mauve qui normalement arriverait Ă  mis mollet si elle Ă©tait portĂ©. Lihinie ne comprenait pas trop pourquoi tout le monde s’acharnait sur Dite, mĂȘme si elle avait apparemment fait quelques conneries. Lihinie Ă©tait trop gentille pour s’acharner sur les gens, mĂȘme si c’était les pires salauds du monde. Alors il Ă©tait certain qu’elle n’allait pas ĂȘtre mĂ©chante avec Dite. Lihinie cogna timidement Ă  la porte de la chambre oĂč Ă©tait Dite. Elle parla au travers la porte. -J’ignore si vous avez des vĂȘtements de rechange... mais si ce n’est pas le cas, je peux vous prĂȘter une robe Ă  moi... J’ignore si elle va vous faire, mais c’est mieux que de retourner dehors en costume de chat... non?Ça voix Ă©tait gentille et dĂ©nuĂ©e de moquerie, contrairement Ă  Selpanius. -Lihinie... tu es trop gentille... Harkaitz RocstoneNombre de messages 1487Age 39Maison Ex-PoufsouffleMessage Perso I'm the Eternal Light The other one's a duplicateAge du Perso 29Date d'inscription 09/05/2006Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 203 RenfrognĂ© dans le fauteuil, Kaitz rĂ©flĂ©chit et en mĂȘme temps, Ă©coute la discussion. Selp relate avec brio les grandes lignes de l'histoire de la Banshee, sans mentionner, Ă©videmment, qu'elle les avait ensuite suivi durant plusieurs jours et mĂȘme aprĂšs quelques mois, il regardait toujours par-dessus son Ă©paule, terrifiĂ© Ă  l'idĂ©e de la voir apparaĂźtre. Mais Selpanius avait la bonne habitude de ne relater que ce qui pouvait lui ĂȘtre avantageux. Et d'ailleurs, Less semble le croire. Il grimace, les yeux rivĂ©s sur sa bouteille de perrier qui se vide tranquillement. Chacun y va de son commentaire, jusqu'au moment ou Dite explose. Furieuse, elle leur balance tout ce qu'elle a Ă  dire, s'adressant principalement Ă  ceux autour de la table, mais il s'en approprie une partie. Elle n'a pas tort... pas sur toute la ligne... il avait oubliĂ© quelques dĂ©tails avec toute cette histoire... il la dĂ©visage, une pointe d'admiration dans le regard. Rageuse, Aphrodite va s'enfermer dans la chambre et claque la porte. Il entend le commentaire de Selp, mais il ne relĂšve pas... il fixe la porte close de la chambre, pensif. Il vient de comprendre pourquoi il a Ă©tĂ© si malade et pourquoi il est dans un Ă©tat si lamentable encore. Les hallucinogĂšnes dans l'alcool... son corps ne supportait pas. Less le savait... - Ça explique pourquoi j'suis dans un tel Ă©tat... j'lui ai volĂ© son dernier verre... pendant que Lihinie a l'air moins malade d'un coup, il se lĂšve et marche vers la table. Il s'empare d'une toast, sans rien dessus et la dĂ©chire consciencieusement, Ă©parpillant des miettes partout. Il reste debout et fixe la porte. - Lihinie... tu es trop gentille... - Et toi, Selp, t'es trop con. Bravo, t'as gagnĂ© le pari d'hier soir, tu as ramenĂ© la plus jolie. Tu es le blanc, je suis le et toast Ă  la main, il semble hĂ©siter un moment, puis va rejoindre Lihinie prĂšs de la porte et la pousse quelque peu pour ouvrir la porte. Aphrodite Kassy CrĂ©onNombre de messages 287Maison Ex-SerdaigleMessage Perso Wouhouuuu ya quelqu'un ???????????Age du Perso 22Date d'inscription 25/07/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 337 Aphrodite n'arrive pas Ă  se calmer... La rage qu'elle ressent ne se calme pas... Il faut qu'elle s'en aille, elle ne peut plus rester dans cette suite... Elle n'aurait jamais dĂ» venir, suivre Kaitz... Rhaaa pourquoi elle Ă©tait venue... Il faut qu'elle parte d'ici... mais comment ? Elle est en t-shirt... et pour partir elle doit passer devant les autres... et ça c'Ă©tait hors de question...Des coups timides sont frappĂ©s Ă  la porte, la voix de Lihinie se fait entendre..."J’ignore si vous avez des vĂȘtements de rechange... mais si ce n’est pas le cas, je peux vous prĂȘter une robe Ă  moi... J’ignore si elle va vous faire, mais c’est mieux que de retourner dehors en costume de chat... non?""Foutez moi la paix... Rejoingnez donc votre frĂšre adorĂ© !!!" lui rĂ©pond-elle avec hargne bien que Lihinie lui avait parlĂ© gentilment... La seule qui ne semblait pas contre elle...Elle se lĂšve alors et vas vers la fenĂštre, le seul moyen de sortir d'ici... Elle essaie de l'ouvrir, mais l'Ă©tat de nerf dans lequel elle est l'empĂšche de l'ouvrir. Elle s'acharne un peu contre l'ouverture puis abandonne. Elle donne alors un violent coup de poing dans la vitre qui se brise. Le verre lui coupe la main et le poignet, mais elle s'en fout et continue Ă  s'acharner sur la fenĂštre pour l'ouvrir... Ce qu'elle parvient Ă  faire lorsque la porte s'ouvre... Lareless MainellaNombre de messages 2514Age 43Maison Ex-GriffondorMessage Perso Kaitz n'est qu'un sale con. FarpaitementAge du Perso 27Date d'inscription 30/08/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP MĂ©chante de service. Chercheuse de petite bĂ©bĂȘte, empĂȘcheuse d'administrer en rondFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 759 Enfin une dĂ©monstration d'un peu de caractĂšre... Lareless a un petit sourire satisfait. Peut-ĂȘtre Aphrodite est-elle digne de Kaitz en fin de compte. Et toi, Selp, t'es trop con. Bravo, t'as gagnĂ© le pari d'hier soir, tu as ramenĂ© la plus jolie. Tu es le blanc, je suis le hausse un sourcil, regarde Kaitz et Selpanius d'un air interrogateur, ne sait pas si elle doit le prendre comme un compliment. Elle n'a pas le temp d'approfondir la question qu'un bruit de verre brisĂ© attire l'attention de tout le monde. Ses instincts d'auror refont surface. Baguette Ă  la main, elle se prĂ©cipite Ă  la porte de la chambre, tasse Kaitz un peu brusquement, oubliant son dos. Le spectacle qu'elle voit lui fait revoir sa position qui commencait Ă  ĂȘtre favorable envers Dite pour une position plus neutre. Elle entre dans la piĂšce sans crainte, elle aime mieux que ca soit elle en premiĂšre ligne que Kaitz. Ca suffit. Vous allez vous blesser sĂ©rieusement! Elle tente de ramener Aphrodite Ă  la raison, ne voulant pas utiliser de sortilĂšge contre elle, mais la jeune femme ne semble pas l'entendre, ni la voir. Si elle retape dans le trou, elle va s'ouvrir une veine pour sĂ»r. Lareless ne gifle que rarement. Elle a le choix entre deux maux. Celui d,une blessure sĂ©rieuse ou le bleu Ă  l'orgeuil qu'un coup de poing peut causer. Elle choisit le moindre. La baguette change de main tandis qu'un coup de poing magistral s'abat sur la mĂąchoire d'Aphrodite. SelpaniuInvitĂ©Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 1004 Lihinie Ă©tait gentille, trop gentille des fois, c’était vrai. Mais elle avait horreur d’une chose L’ingratitude. Elle ne demandait rien en retour quand elle aidait, si ce n’était qu’un merci ou simplement un peu de politesse ou de respect. Mais se faire parler ainsi alors qu’elle proposait de l’aide, mĂȘme si c’était pendant une crise de colĂšre, Lihinie ne le prenait pas. À moins qu’elle ne s’excuse une fois calmĂ©e, Lihinie ne comptait plus lui offrir d’aide. -TrĂšs bien. Dans ce cas, dĂ©brouillez vous sans moi. RĂ©pondit elle, froidement. Lihinie avait cessĂ© de compatir pour Dite. Alors qu’elle s’en allait pour s’éloigner de la porte, Kaitz la poussa. Pas brusquement, mais ce fut assez pour lui faire comprendre qu’elle Ă©tait considĂ©rĂ© avec autant d’égare que son frĂšre. Lui, il insultait Dite depuis tantĂŽt. Lihinie, elle, avait essayĂ© de l’aider. Oh, elle n’était pas encore fĂąchĂ©e, mais il n’en manquait toi, Selp, t'es trop con. Bravo, t'as gagnĂ© le pari d'hier soir, tu as ramenĂ© la plus jolie. Tu es le blanc, je suis le Si j’étais si con, je n’aurais jamais trouvĂ© une femme aussi merveilleuse. Et puis, pourquoi tu... C’est alors que le bruit de verre briser se fit entendre. Les choses se dĂ©roulĂšrent trĂšs rapidement. Less s’étant prĂ©cipiter dans la chambre pour arrĂȘter Dite avait du lui assener un coup de poing en pleine gueule. Bien qu’il mĂ©prisait cette femme, il n’allait pas pour autant la laisser se blesser. C’était quand mĂȘme la petite amie de son ami. MĂȘme si celui-ci avait Ă©tĂ© trĂšs grossier avec lui. Selpanius rattrapa Dite qui chancela en recevant le coup et failli tomber. Il la fit s’assoire en douceur sur le lit. Il Ă©tait toujours trĂšs doux avec les femmes. Selpanius se tenait prĂšs au cas oĂč Dite tenterait de s’en prendre Ă  lui. Ne serait-ce que pour parer ses coups et s’empĂȘcher lui mĂȘme de la frapper en retour si elle le faisait. Quant Ă  Lihinie, elle perdit patience. Elle n’éclata pas de colĂšre comme Dite ou Less la veille. Au contraire, elle Ă©tait trĂšs calme et sans violence. D’un calme placide et glaciale. MalgrĂ© s’ĂȘtre dit de ne plus aider Dite, elle allait quand mĂȘme le faire. Celle ci c’était blessĂ© griĂšvement et c’était son devoir de guĂ©risseuse de la soigner. D’un sortilĂšge d’assio, les bandages que contenait la pharmacie de la salle de bain rejoignirent Lihinie. Elle passa prĂšs de Kaitz et Selpanius, les poussant Ă  son tour pour se frayer un chemin jusqu’à Dite. -Selpanius, ne rajoute plus de commentaire, dit elle froidement Ă  son frĂšre qu'elle aimait pourtant tendrement. Toi aussi tu te tais, lança t-elle Ă  Kaitz avant mĂȘme que celui ci ait ouvert la bouche pour parler. J’en ai marre de vos petites disputes puĂ©riles et de cette situation ridicule. Elle ne criait pas. Lihinie murmurait presque, assez fort pour ĂȘtre entendue. Pour une raison Ă©trange, c’est bien plus impressionnant quelqu’un qui murmure tant il est en colĂšre et reste calme que quelqu’un qui criait de rage et qui t’engueulait comme du poisson perdant pas de temps, elle entoura les mains et poignets ensanglantĂ©s de Dite des bandages. MĂȘme fĂąchĂ©e, Lihinie restait une guĂ©risseuse et un ĂȘtre fondamentalement gentil. Un petit coup de baguette magique et une lueur rosĂ©e entoura les poignets de Dite, dĂ©sinfectant les plais et les aidant Ă  se refermer rapidement. -Tu n’es pas la seule qui veut sortir d’ici... Dit elle Ă  Lihinie resta complĂštement silencieuse le temps de finir de soigner Dite. Elle examina sa mĂąchoire. Pas cassĂ©e, mais elle Ă©tait enflĂ©e. Less ne l’avait vraiment pas manquĂ©e. Avec une pommade, elle la guĂ©rirait facilement, mais elle n’en avait pas avec elle en ce moment. Dire qu’elle avait tellement hĂąte de revoir son grand frĂšre. Jamais elle n’avait pensĂ© que ça pourrait ĂȘtre dans des circonstances aussi lamentables. C’était de la tristesse et de la dĂ©ception qu’elle ressentait Ă  prĂ©sent. Lihinie senti une main se poser sur son Ă©paule. C’était Selpanius. Il avait un regard d’excuse, comme s’il lisait dans ses pensĂ©s. Sa colĂšre Ă©tait tombĂ©e. -Je... Je crois que je vais y aller... Puis elle se dirigea vers la salle de bain pour se changer. Harkaitz RocstoneNombre de messages 1487Age 39Maison Ex-PoufsouffleMessage Perso I'm the Eternal Light The other one's a duplicateAge du Perso 29Date d'inscription 09/05/2006Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 2006 Il ouvre la porte et il voit Dite ouvrir la fenĂȘtre. Un carreau Ă©tait brisĂ© et elle avait la main en sang. Il Entre dans la chambre, perplexe, puis le reste se passe rapidement. Less passe Ă  cĂŽtĂ© de lui en coup de vent et cogne Dite. La premiĂšre rĂ©action de Kaitz, ce n'est pas d'aller vers la victime, mais d'enrayer la menace. En deux pas, il est Ă  cĂŽtĂ© de Less et la saisit par le bras et lui fait face, furieux. Il voit vaguement Selp attraper Dite chancelante, puis la voix de Lihinie. C'est une voix Ă©trange, si impĂ©rative, mais si douce en mĂȘme temps. Comme Lihinie l'a demandĂ©, Kaitz ne dit pas un seul mot. Il relĂąche Less, sans la regarder et recule. Kaitz ne recule que rarement... tout ça le dĂ©passe un peu. Il en a vĂ©cu des trucs, parfois terrible, mais jamais entre des personnes auxquelles il tient. Sans un mot, il ne bouge pas, laissant Lihinie soigner Dite, mais il fait dĂ©filer une Ă  une les clĂ©s de son trousseau autour de l'anneau, cherchant la bonne. Il la trouve. Il hĂ©site un moment Ă  s'en servir... - Je... Je crois que je vais y aller...- Merci, Lihinie... il lui adresse un regard reconnaissant, mais sans plus. Il se dirige vers le lit et s'y assoit, puis il secoue la tĂȘte. Allez, foutez le camp... dit-il en faisant un vague signe de la main. Il n'avait rien d'autre Ă  dire pour l'instant. Il voit Dite bouger, il l'attrape par le poignet. Non, toi tu restes...Il ne regarde personne d'autre que Dite, le visage fermĂ©, indĂ©chiffrable. Aphrodite Kassy CrĂ©onNombre de messages 287Maison Ex-SerdaigleMessage Perso Wouhouuuu ya quelqu'un ???????????Age du Perso 22Date d'inscription 25/07/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 2030 Sans trop savoir pourquoi, Aphrodite voit Less se prĂ©cipiter sur elle et lui foutre un gros coup de poing dans la machoire. Elle se retrouve dĂ©sĂ©quilibrĂ©e et presque assommĂ©e. Elle regarde Less avec une totale incomprĂ©hension... Pourquoi l'a-t-elle frappĂ© ainsi ? Elle devait se retenir depuis un bon moment... Ca a eu au moins l'avantage de calmer Aphrodite direct... La violence de Less l'ayant laissĂ©e sous le choc. Elle met mĂȘme un bon moment avant de se rendre compte que Selpanius l'avait retenue dans sa chute et fait assoir sur le lit et que Kaitz avait arrĂ©tĂ© Less...La voix glaciale de Lihinie la ramena sur Terre. Elle qui avait Ă©tĂ© si douce Ă©tait devenue un vrai glaçon. Aphrodite se rapelle alors de sa rĂ©ponse quand elle lui a proposĂ© gentillement de l'aide... Elle l'avait envoyĂ©e paĂźtre.. Et malgrĂ© cela elle la soignait tout de mĂȘme..."Tu n’es pas la seule qui veut sortir d’ici..."Aphrodite la regardait, comme si elle voulait lui dire des trucs mais que ça ne sortait pas ou qu'elle rĂ©flĂ©chissait Ă  quoi dire..."Je... Je crois que je vais y aller... "Aphrodite n'a qu'Ă  ce moment lĂ  le rĂ©flexe de la retenir un peu par la main... Elle la regarde toujours et lui dit simplement d'un murmure tout juste audible..."Pardonne moi... Merci..." puis la regarde partir ers la salle de bain...Aphrodite sent quelqu'un s'assoire sur le lit. Elle tourne la tĂȘte et voit Kaitz secouant la tĂȘte. "Allez, foutez le camp..."Aphrodite va pour se lever mais il la retient par le poignet. Elle se rassoit et le regarde ne comprenant pas trop..."Non, toi tu restes..."Elle reste alors docilement assise sur le lit, regardant Kaitz, inquiĂšte de voir son visage si fermĂ©..."Kaitz...?" souffle-t-elle alors dans un murmure... Puis elle porte la main Ă  sa machoire enflĂ©e... Le coup de Less lui fait mal... Lareless MainellaNombre de messages 2514Age 43Maison Ex-GriffondorMessage Perso Kaitz n'est qu'un sale con. FarpaitementAge du Perso 27Date d'inscription 30/08/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP MĂ©chante de service. Chercheuse de petite bĂ©bĂȘte, empĂȘcheuse d'administrer en rondFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 2205 Lareless, le menton droit, regarde Kaitz dans les yeux mais lui il ne la regarde pas. Allez, foutez le camp... La jeune femme le regarde intensĂ©ment. Elle voulait seulement l'empĂȘcher de se blesser et il le prend comme ca? Elle en perd son anglais et son italien. PLus que vexĂ©e, elle prend son sac Ă  main et se dirige vers la sortie. Si Selpanius et sa soeur veulent la revoir, il savent ou se renseigner pour la trouver. Pour le moment, elle aurait bien envie d'une bonne cuite. Il ose lui faire un reproche... Elle se demande ce qu'il aurait fait Ă  sa place. SelpaniuInvitĂ©Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 2245 Au moment oĂč Lihinie se levait, on lui adressa la parole pour la remercier. D’abord Kaitz, puis Dite, mĂȘme qu’elle lui demanda pardon. Lihinie leur adressa un vague sourire en coin qui voulait tout dire Elle n’était plus du tout en colĂšre et elle ne leur en voulait plus du tout. MĂȘme qu’elle retrouva un peu sa bonne humeur naturelle. Elle disparue ensuite dans la salle de bain. Allez, foutez le camp...Selpanius Ă©tait un Ă©goĂŻste fini et avait un caractĂšre exĂ©crable, mĂȘme avec ses amis. La diffĂ©rence de son comportement avec ses amis et ceux dont il se fichait, c’était une limite Ă  ses chienneries. Et oui! Il y avait une limite dans son sale caractĂšre! Étonnant hein? MĂȘme que quand il voulait, il pouvait ĂȘtre trĂšs gentil. Quand il voulait. -Bien bien, je vais vous laissez entre vous. *regarde les mains et poignets de Dite* Elle devrait ĂȘtre guĂ©rie trĂšs vite. La guĂ©rison de Lihinie est trĂšs efficace, dit il pour les rassurer. Selp Ă©tait conscient que Less et Kaitz devront se parler aprĂšs. Mais aprĂšs. Kaitz voulait d’abord ĂȘtre avec Dite. Alors il les laisserait en paix dans leur intimitĂ©. Selp sorti de la chambre, Ă  la suite d’une Less particuliĂšrement vexĂ©e. À ce moment, Lihinie ressortie de la salle de bain, toute habillĂ©e et ramena deux objets Elle rendit la chemise que Kaitz lui avait prĂȘtĂ© pour la nuit, toute soigneusement pliĂ©e et propre, et donna un sac de glaçons pour la mĂąchoire de Dite. -J’ai enchantĂ© la glace pour qu’elle guĂ©risse mieux et qu’elle ne gĂšle pas trop. Merci pour la chemise, dit elle Ă  Kaitz. Tu devrais bientĂŽt pouvoir enlever les bandages. Ce genre de blessure guĂ©ri vite avec un peu de magie, rajouta t-elle pour Dite. Elle leur souri Ă  tout les deux, puis elle quitta la piĂšce et ferma doucement la porte derriĂšre elle, les laissant seuls ensembles. Lihinie rejoignit Less et Selp. Elle remarqua que Less Ă©tait fĂąchĂ©e. Elle se demanda pourquoi pendant une seconde, puis elle se rappela que Less avait frappĂ© Dite pour l’aider et que Kaitz c’était fĂąchĂ©e contre elle. -Dans l’état oĂč il se trouvait, il n’a pas du remarquer que vous vouliez aider mademoiselle CrĂ©on... dit elle timidement Ă  Less, conscience que celle ci Ă©tait particuliĂšrement pas d’humeur. Peut-ĂȘtre qu’il va s’en rendre compte et s’excuser... ? se risqua t-elle. Selpanius lui s’étala dans le divan et sortie la bouteille de champagne. -Prenons donc un verre! En souvenir de cette nuit et cette journĂ©e mĂ©morable. Dit-il d’un ton cynique. Harkaitz RocstoneNombre de messages 1487Age 39Maison Ex-PoufsouffleMessage Perso I'm the Eternal Light The other one's a duplicateAge du Perso 29Date d'inscription 09/05/2006Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 2321 Kaitz attent patiemment que tout le monde ait quittĂ© la piĂšce et il reste mĂȘme quelques secondes sans rien dire, dĂ©visageant Aphrodite et mettant en mots ses pensĂ©es. - Excuse-moi, j'aurais dĂ» intervenir avant que tout ça dĂ©gĂ©nĂšre... d'un autre cĂŽtĂ©, si cette mĂȘme situation Ă©tait arrivĂ©e Ă  Less... j'aurais dĂ©molit le mec... que ce soit Selpanius ou un autre...L'aveu est assez explicite pour faire comprendre le lien entre Kaitz et Less, mais aussi assez brusque pour marquer la dĂ©ception de Kaitz Ă  cette situation. D'un autre cĂŽtĂ©, il l'avait bien chercher. Inventer un truc pareil, Dite n'avait pas tort lorsqu'elle avait parlĂ© du pari entre Selp et lui, et l'idĂ©e de tenir un rĂŽle le temps d'une soirĂ©e. Il ne savait pas que Dite serait lĂ  et il aurait trĂšs bien pu en ramener une autre... c'Ă©tait le jeu, le pari... la frime... les Ă©vĂ©nements s'Ă©taient dĂ©roulĂ©e diffĂ©remment... il ne savait mĂȘme plus trop quoi dire... il ne s'Ă©tait jamais retrouvĂ© dans une telle situation... l'inverse peut-ĂȘtre... valait mieux ĂȘtre Tu n'avais pas tort... j'avais pariĂ© avec Selpanius... et en temps normal, nous avons une fĂ©roce rivalitĂ©... j'aurais pu tout aussi bien pu gagner le pari... Lareless MainellaNombre de messages 2514Age 43Maison Ex-GriffondorMessage Perso Kaitz n'est qu'un sale con. FarpaitementAge du Perso 27Date d'inscription 30/08/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP MĂ©chante de service. Chercheuse de petite bĂ©bĂȘte, empĂȘcheuse d'administrer en rondFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Lun 5 FĂ©v 2007 - 054 Peut-ĂȘtre qu’il va s’en rendre compte et s’excuser... ? se risqua t-elle. Selpanius lui s’étala dans le divan et sortie la bouteille de champagne. -Prenons donc un verre! En souvenir de cette nuit et cette journĂ©e mĂ©morable Lareless s'arrĂȘte, regarde le dĂ©jeĂ»ner, les plats froids, la bouteille. N'ouvrez pas ca tout de suite je vous prie. Elle vide son sac Ă  main, lance un sort d'Ă©largissement, le transformant en sac Ă  pique nique. Elle remballe soigneusement les mets froid, prend la bouteille de champagne et des verres. Elle a faim et n,est pas du genre Ă  laisser gaspiller la nourriture. . Allons pique-niquer au soleil Ă  l'endroit de votre choix. Je ne reste pas ici une minute de plus et je ne les laisserai pas gĂącher la journĂ©e. Elle a un petit sourire, mi-amusĂ©, mi-amer. SelpaniuInvitĂ©Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Lun 5 FĂ©v 2007 - 117 Selpanius rĂ©flĂ©chi Ă  un endroit oĂč ils pourraient faire leur pique-nique tranquille et oĂč ils seraient bien. Lihinie prit la parole. -Chez nous, nous avons un grand jardin un peu sauvage... il y a de la place pour prendre un pique-nique tranquille. D’ailleurs je dois rentrer pour m’occuper un peu de Mani qui doit se mourir de faim. -Effectivement, il y a un jardin... Mani? Arg! Ne me dis pas que tu as ramenĂ© cette sale bĂȘte??! -Bien sur, je n’allais pas l’abandonner. Je l’aime moi cette bĂȘte. -Mrrrf... bon bon... j’espĂšre qu’elle n’a pas encore dĂ©truit mes meubles...-Je lui ai promit du lait si elle n’y touchait pas...-J’espĂšre bien qu’elle n’y a pas touchĂ©... bon. Je suis partant pour le pique-nique dans le jardin. Selpanius, ayant dĂ©jĂ  mis ses pantalons, enfila sa chemise et sa redingote rouge et prit ses affaires. Il posa son chapeau haut de forme sur sa tĂȘte et en quelques secondes, il Ă©tait prĂšs Ă  partir. -Mani est mon chat. Elle est adorable, dit elle pour expliquer Ă  Less qui Ă©tait Mani. -Bien, allons y! Vous aurez l’occasion de voir notre belle maison. J’en suis ravie, d’autant plus qu’ils n’auront pas rĂ©ussi Ă  gĂącher notre Ă©dition par le Lun 5 FĂ©v 2007 - 510, Ă©ditĂ© 1 fois Aphrodite Kassy CrĂ©onNombre de messages 287Maison Ex-SerdaigleMessage Perso Wouhouuuu ya quelqu'un ???????????Age du Perso 22Date d'inscription 25/07/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Lun 5 FĂ©v 2007 - 255 Aphrodite regarde Less sortir furax... Un immense froid s'Ă©tait installĂ© entre les deux amis... Elle se sentait responsable de tout ça... Lihinie rĂ©apparait de la salle de bain avec un sac de glaçons et le tend Ă  Aphrodite qui les prent et les pose sur sa machoire. Elle rĂ©prime une grimace, ça lui fait mal... "Merci pour tout Lihinie" murmura-t-elle alors...Tout le monde Ă©tait sortit, il ne reste maintenant que Kaitz et Aphrodite... Un silence pesant s'installe... Elle n'ose pas le regarder et garde les yeux fixĂ©s devant elle, probablement sur le petit point noir sur le mur..."Excuse-moi, j'aurais dĂ» intervenir avant que tout ça dĂ©gĂ©nĂšre... d'un autre cĂŽtĂ©, si cette mĂȘme situation Ă©tait arrivĂ©e Ă  Less... j'aurais dĂ©molit le mec... que ce soit Selpanius ou un autre..."Avant que tout dĂ©gĂ©nĂšre... Ca avait dĂ©gĂ©nĂ©rĂ© depuis le dĂ©but... Le lien qui unit Kaitz et Less est fort... vraiment fort... Aphrodite se sent presque de trop entre eux... Elle continue Ă  fixer le mur sans rien dire... Que rĂ©pondre ?"Tu n'avais pas tort... j'avais pariĂ© avec Selpanius... et en temps normal, nous avons une fĂ©roce rivalitĂ©... j'aurais pu tout aussi bien pu gagner le pari..."Ainsi c'Ă©tait ça... Ils font tout un plat parce qu'Aphrodite l'a trompĂ© sans le vouloir... Mais si ça avait Ă©tĂ© lui qui l'avait trompĂ©e... Ca aurait Ă©tĂ© tout Ă  fait normal... Elle ne sait pas trop quoi penser de tout ça... Est-ce que tout Ă©tait cassĂ© ? Elle espĂšre que non... Elle connait bien Kaitz, elle sait qu'il est attirĂ© et qu'il attire beaucoup les femmes... Elle l'a su dĂšs le premier soir... Elle avait eu le secret espoir de le changer un peu, de ne faire qu'il n'aime plus qu'elle, mais sans doute elle avait Ă©chouĂ©... L'aime-t-il autant qu'elle l'aime ? Elle le regarde, fixe ses yeux... Elle commence dĂ©jĂ  Ă  fondre de nouveau... Elle est prĂšte Ă  tout pardonner, Ă  tout accepter de lui ou presque... Mais le faut-il vraiment ? Pour elle la rĂ©ponse est oui... Mais son jugement est faussĂ©... Elle dĂ©tourne Ă  nouveau les yeux vers le point noir sur le mur et dit d'une petite voix..."Que fait-on ?" Harkaitz RocstoneNombre de messages 1487Age 39Maison Ex-PoufsouffleMessage Perso I'm the Eternal Light The other one's a duplicateAge du Perso 29Date d'inscription 09/05/2006Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Lun 5 FĂ©v 2007 - 602 Oui, il l'avait dit. En temps normal, Selp et lui auraient eu une fĂ©roce rivalitĂ©... mais rien la nuit derniĂšre n'avait Ă©tĂ© normal. Il avait abandonnĂ© la compĂ©tition bien trop tĂŽt... les verres volĂ©s Ă  Samuelle avaient tapĂ© trop fort... d'ailleurs, pourquoi il avait volĂ© les verres de Samuelle ? Pourquoi avait-il prĂ©fĂ©rĂ© lier des ponts entre les gens et aller narguer Selpanius plutĂŽt que de remporter le pari ? Pourquoi Dite s'Ă©tait-elle retrouvĂ©e avec un Loup qui, selon elle, avait les mĂȘme maniĂšres que lui ? D'avoir autant bu et d'avoir prit un verre contenant des hallucinogĂšnes, dans le verre de Dite, l'unique verre de Dite, tandis qu'il avait volĂ© les verres de tout le monde durant toute la soirĂ©e. Que tout ça se passe un soir ou Less lui pique les clĂ©s de la suite qu'il s'est prise et qu'ils se retrouvent tous au mĂȘme endroit. D'Ă©tranges coĂŻncidences qui, mise bout Ă  bout, faisaient croire que c'Ă©tait vraiment pas son jour... ou, comme le disait Xoramen rien n'est que pure coĂŻncidence, nous faisons tous parti d'un plan dĂ©jĂ  Ă©tabli ». Ou Ă©tait-ce simplement une de ces fichues malĂ©diction qui s'Ă©tait mise en action ce soir lĂ  ? Ou encore, Ă©tait-ce aujourd'hui que tout ce qu'il avait pu faire de mal lui revenait en pleine figure ? - Que fait-on ?La question Ă©tait brĂšve et concise... mais elle avait un de ces impacts sur la suite... que devait-il faire ? Que devaient-ils faire ? Une chose Ă©tait sĂ»re, Aphrodite n'Ă©tait pas comme les autres... elle avait un petit quelque chose qui lui Ă©tait unique. PrĂšs d'elle, son feu intĂ©rieur cessait de brĂ»ler et ronronnait paisiblement. Pouvait-on s'enflammer Ă©ternellement ? N'importe quelle flamme finissait par s'Ă©teindre lorsqu'elle n'avait plus rien Ă  brĂ»ler... il ne voulait pas s'Ă©teindre... des braises pouvaient couver longtemps et ronronner paisiblement... devait-il encore et toujours brĂ»ler ou devait-il couver pour durer plus longtemps ? Il avait toujours tout flamber, tout brĂ»ler, peut-ĂȘtre Ă©tait-il temps pour lui se s'apaiser avant que la flamme ne s'Ă©teigne pour de bon... oui, c'Ă©tait probablement le temps de souffler la flamme mais de conserver le tison... et Dite pouvait souffler la flamme... et conserver le tison... avant qu'il ait tout brĂ»lĂ©...- Je... je propose d'abord une douche, chaude cette fois, on en a bien besoin... ensuite... et bien j'ai encore la chambre pour quelques heures... faudrait bien en profiter... Lareless MainellaNombre de messages 2514Age 43Maison Ex-GriffondorMessage Perso Kaitz n'est qu'un sale con. FarpaitementAge du Perso 27Date d'inscription 30/08/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP MĂ©chante de service. Chercheuse de petite bĂ©bĂȘte, empĂȘcheuse d'administrer en rondFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Lun 5 FĂ©v 2007 - 740 Bien, allons y! Vous aurez l’occasion de voir notre belle maison. J’en suis ravie, d’autant plus qu’ils n’auront pas rĂ©ussi Ă  gĂącher notre ne peut s'empĂȘcher de penser que pour elle c'est dĂ©jĂ  gĂąchĂ©. Elle empoigne cependant son sac Ă  main/pique nique d'un geste ferme, s'oblige Ă  sourire et invite le frĂšre et la soeur Ă  lui faire visiter. Silencieusement, Lareless quitte la suite, Selpanius et Lihinie sur les talons. DerniĂšre dĂ©licatesse pour son ami, elle verrouille la porte en sortant. Les clefs de son pavillon trainent, oubliĂ©s sur la table. Elle a omis de les y remettre aprĂšs avoir mĂ©tamorphosĂ© son sac. Aphrodite Kassy CrĂ©onNombre de messages 287Maison Ex-SerdaigleMessage Perso Wouhouuuu ya quelqu'un ???????????Age du Perso 22Date d'inscription 25/07/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Lun 5 FĂ©v 2007 - 1241 "Je... je propose d'abord une douche, chaude cette fois, on en a bien besoin... ensuite... et bien j'ai encore la chambre pour quelques heures... faudrait bien en profiter..."Aphrodite le regarde pendant un moment. Elle le dĂ©taille, ses yeux, ses lĂšvres, son visage... Quelle est donc cette chose qui le rend si unique? Elle aimerait lui en vouloir pour ce qu'elle a subit toute la nuit, la douche glacĂ©e, le mĂ©pris de ses amis, le coup de Less... mais elle ne peut pas lui en vouloir... Le voir l'appaise et l'enflamme en mĂȘme temps. Il appaise son coeur qui crie pour lui et sui saigne en son absence, mais il est le seul qui a Ă©tĂ© capable de rallumer la petite flamme d'Aphrodite qui s'Ă©tait Ă©teinte depuis seule chose qu'elle veut Ă  prĂ©sent est rester avec lui, contre lui, et tout oublier ce qu'il venait de se passer... Elle se rapproche de lui et se penche un peu. elle passe les bras autours de sa taille et pose la tĂȘte doucement sur son Ă©paule... Sa machoire l'Ă©lance Ă  nouveau, elle y porte sa main en espĂ©rant le calmer et essaie de rĂ©primer un "Aie" en vain... Elle ferme alors les yeux et d'une voix douce dit "DĂ©solĂ©e de t'avoir fait souffrir... Mon coeur Ă©tait mort ou vide avant de te rencontrer... Toi seul a rĂ©ussi Ă  le rallumer et Ă  le rĂ©chauffer... Tu es le seul qui compte..."Elle se tait un moment, profitant de la chaleur de sa peau, de la douce musique des battements de son coeur..."Tu y vas en premier Ă  la douche ?" Harkaitz RocstoneNombre de messages 1487Age 39Maison Ex-PoufsouffleMessage Perso I'm the Eternal Light The other one's a duplicateAge du Perso 29Date d'inscription 09/05/2006Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Mar 6 FĂ©v 2007 - 354 - DĂ©solĂ©e de t'avoir fait souffrir... Mon coeur Ă©tait mort ou vide avant de te rencontrer... Toi seul a rĂ©ussi Ă  le rallumer et Ă  le rĂ©chauffer... Tu es le seul qui compte...Kaitz hĂ©site un moment, dĂ©visage Dite, puis se lĂšve brusquement, regarde encore Dite et s'enfuie en courant, hurlant Ă  mort et en agitant les bras. Hum... non. En fait, c'est probablement ce qui se serait produit, moins caricaturĂ© certes, si cette scĂšne avait eu lieu quelques mois auparavant. Mais certaines rĂ©actions qu'on aurait prit pour acquise chez Kaitz devenaient sujet Ă  rĂ©flexion pour ceux qui le connaissaient bien. Était-ce dĂ» au fait qu'il n'Ă©tait pas en constant dĂ©placement pour la premiĂšre fois de sa vie ? DĂ©jĂ  un an que Kaitz n'avait pas vraiment quittĂ© l'Angleterre. Il vivait depuis un an dans une stabilitĂ© qui, peu de temps avant, l'aurait rendu fou. Il avait rendu service Ă  Mikomi, se disant que ce serait temporaire et voilĂ  que le rĂŽle lui plaisait. Les ados Ă©taient si plein de surprises qu'il ne s'ennuyait certes pas. Oh, il pensait souvent au prochain voyage qu'il pourrait effectuĂ©, mais ça ne se concrĂ©tisait que par une punaise jaune sur une mappemonde constellĂ©es de punaises rouges dans sa chambre chez ses parents. Sa vie amoureuse devenait-elle aussi stable que sa sĂ©dentaritĂ© ? Hum... Aphrodite se blottie contre lui, il l'enlace dĂ©licatement. Ils ne bougent pas durant un court temps, tous deux en proie Ă  la rĂ©flexion. Il Ă©tait calme, trĂšs calme. Oui, Aphrodite l'apaisait. Devait-il risquer de perdre un havre serein pour un malentendu sous dĂ©guisement ? Un frisson au bas des reins rĂ©pond Ă  son interrogation. Ce frissons avait-il toujours Ă©tĂ© de bon conseil ? Et s'il agissait contrairement Ă  ce frisson pour une fois ? - Tu y vas en premier Ă  la douche ?- Nan, vas-y, j'vais rĂ©parer le carreau et, si tu as verrouillĂ© la porte, je vais attendre... sinon...Il suspend sa phrase dans un sourire en coin. Bon, ok, Harkaitz Rocstone, mĂȘme en voie de stabilitĂ© n'en ratait pas une. C'Ă©tait probablement la seule et unique chose qui ne changerait jamais chez Kaitz, ceux qui le connaissaient bien ne pourraient pas s'en Ă©tonner. Aphrodite Kassy CrĂ©onNombre de messages 287Maison Ex-SerdaigleMessage Perso Wouhouuuu ya quelqu'un ???????????Age du Perso 22Date d'inscription 25/07/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Mar 6 FĂ©v 2007 - 428 L'Ă©treinte dĂ©licate de Kaitz la rassure et la rĂ©chauffe... Le son des battements de son coeur l'appaise... Le silence s'est installĂ© entre les deux, mais il faut aller Ă  la douche... Une bonne douche chaude pour se rĂ©chauffer et se relaxer... Un bon bain serait encore mieu... un bain Ă  remous... D'aprĂšs ce qu'Aphrodite avait pu voir du bain glacĂ© qu'elle avait eu, le bain semble bien ĂȘtre pourvu de remous si on le souhaite... Nickel..."Nan, vas-y, j'vais rĂ©parer le carreau et, si tu as verrouillĂ© la porte, je vais attendre... sinon...""Je ne vĂ©rouille jamais la porte, je dĂ©teste ça... Probablement la peur d'ĂȘtre enfermĂ©e dedans comme c'est arrivĂ©e quand on Ă©tait petites ma soeur et moi... On s'est retrouvĂ©es enfermĂ©es... la serrure s'Ă©tait cassĂ©e... Et comme on Ă©tait chez des moldus ce jour lĂ ... on y est restĂ© un bon moment jusqu'Ă  ce qu'ils cassent la porte." raconte-t-elle en rigolant...A regrets elle se dĂ©tache de Kaitz et se lĂšve. Elle va dans la salle de bain et pousse simplement la porte sans la fermer totalement... Elle trouve des serviettes qu'elle pose prĂšs du bain et fait couler l'eau bien chaude. La vasque se remplit doucement. Pendant ce temps, Aphrodite se regarde dans le miroir... Oh mon dieu la tĂȘte qu'elle a... La machoire enflĂ©e, des valises sous les yeux, les yeux rouges, les cheveux... Elle ne se rapellle pas avoir Ă©tĂ© aussi mal coiffĂ©e, mĂȘme au rĂ©veil... Le bain est enfin plein. Des Ă©fluves aguichant les sens se rĂ©pendent dans la piĂšce, de fines bulles de mousse s'envollent ça et lĂ ... Aphrodite met en marche le mĂ©canisme du jacuzzi, des bouillons apparaissent Ă  la surface. Avec un sourire satisfait, elle s'assoit au bord et plonge la main dans l'eau... La tempĂ©rature est idĂ©ale... Elle enlĂšve le t-shirt que Kaitz lui a prĂȘtĂ© et plonge doucement dans le bain... Un soupire d'aise, elle ferme les yeux et profite... Harkaitz RocstoneNombre de messages 1487Age 39Maison Ex-PoufsouffleMessage Perso I'm the Eternal Light The other one's a duplicateAge du Perso 29Date d'inscription 09/05/2006Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Mar 6 FĂ©v 2007 - 648 Il sourit Ă  l'Ă©vocation du souvenir d'Aphrodite. Elle disparaĂźt dans la salle de bain et il s'approche de la fenĂȘtre brisĂ©e. Il regarde Ă  l'extĂ©rieur, il fait encore soleil, mais l'aprĂšs-midi doit ĂȘtre avancĂ©. Des tas de questions et de constatations effleurent son esprit, mais il les chasse du revers de la main. C'Ă©tait pas le moment de rĂ©flĂ©chir. Il avait dĂ©jĂ  prit sa dĂ©cision, non ? Il entend le moteur du bain se mettre en marche, il sourit. Oui, il l'avait prit. Bon, oĂč avait-il foutu sa baguette... bon, il cherche sa baguette... il avait le don de la foutre n'importe oĂč et de la chercher... avant d'avoir un Ă©clair de gĂ©nie et de se souvenir oĂč elle Ă©tait. Il met finalement la main dessus et retourne rĂ©parer le carreau. Ça se fait en un Ă©clair... c'est le cas de le dire. Il pose sa baguette juste Ă  cĂŽtĂ© de son trousseau de clĂ©, sur la table de nuit, puis se dirige lentement vers la salle de bain. Il passe la tĂȘte et voit Aphrodite qui semble s'apaiser dans l'eau chaude. Une vĂ©ritable vision divine. Il s'assoit sur le rebord du bain et l'observe un moment, pensif, mais sans penser Ă  rien d'autre que la regarder. Puis il lance tout bonnement. - C'est une version moderne de La Naissance de VĂ©nus ? InspirĂ© de la version de Cabanel. La VĂ©nus reposant sur les remous de l'ocĂ©an, escortĂ© par des angelots voletant. Mais sa VĂ©nus, elle est blonde. Il fronce les sourcils, l'air songeur. OĂč j'ai bien pu voir ça... Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Suite 112 sur rĂ©servation Page 3 sur 4Aller Ă  la page 1, 2, 3, 4 Sujets similaires» Suite de la dispute...» LE YIN ET LE YANG suite PV Will S» Qu'est ce qu'on s'ennuie... suite [ PV Ella et Anne ]» Suite de la capture» Suite [PV JUJU]Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers
Lifet met, nan, ne reviens pas Ah, qu'est-ce que j'ai bu, quand tu m'appelais plus Quand t'as décidé que pour toi, j'existais plus J'suis pas tah le love, j'suis un mec de la rue Tu m'aurais raconté, bah, j't'aurais pas cru Ah, comment j'te kiffais, j'voyais plus tes défauts Moi, c'était pour de vrai, toi, c'était pour de faux Ah, comment j'te kiffais, j'voyais plus tes défauts Moi,
Alden Knightmembers too many secrets Hier Ă  2008 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? TW sexe, drogue, relation toxique, mots crus Les fenĂȘtres ouvertes laissaient entrer un soleil cuisant, une chaleur devenue insupportable. Au sol, des vĂȘtements Ă©taient Ă©parpillĂ©s ici et lĂ , souvenirs torrides de la nuit derniĂšre. Les sons provenant de la tĂ©lĂ©vision rĂ©sonnaient dans l’appartement en se mĂȘlant au rythme rĂ©gulier du ventilateur qui tentait tant bien que mal de rafraĂźchir la piĂšce. Des volutes de fumĂ©e stagnaient dans l’air, provenant d’une cigarette coincĂ©e entre mes lĂšvres. HabillĂ© d’un simple boxer, mes yeux glissaient Ă  travers le livre que je tenais d’une main, tranquillement allongĂ© sur le lit, Ă  travers les fins draps marquĂ©s par nos Ă©bats. Un corps complĂštement nu Ă©tait installĂ© prĂšs du mien. Eden dormait encore. De temps en temps, mon regard s’enfuyait de ma lecture pour se glisser sur ses courbes. Je l’admirais, comme souvent. Je me perdais dans la contemplation enchanteresse qu’elle m’offrait sans mĂȘme le vouloir. Ses courbes m’appelaient, tel un camĂ© devant une latte de coke. J’étais accro. Ses longs cheveux roux reposaient en cascade le long de son dos, brillant en rĂ©ponse aux rayons du soleil, me donnant l’envie de glisser mes doigts dedans. Mais je n’en fis rien. Je restais silencieux, par peur de la rĂ©veiller et de briser ce moment de calme entre nous. Ils Ă©taient rares, ces moments, trop pour que je me permette d’y mettre un terme. A la place, je replongeais dans ma lecture. Aucune idĂ©e de l’heure qu’il pouvait ĂȘtre. Si on Ă©tait le matin ou l’aprĂšs midi. Ça n’avait aucune importance. Tel un automatisme, mes doigts faisaient des allers retours jusqu’à mes lĂšvres pour m’apporter une dose de nicotine devenue indispensable. Ce n’est que lorsque j’eus fini une Ă©niĂšme clope que je relevais la tĂȘte pour de bon. Les besoins physiques indispensables Ă©taient revenus Ă  la charge. S’hydrater, aller aux chiottes, manger, ce genre de conneries. Mon livre fini sur la table de chevet. Tel un fĂ©lin, je me glissais en dehors du lit sans le moindre bruit, direction la salle de bain. Sur mon passage, j’avisais le plateau qui traĂźnait sur une table oĂč la poudre blanche m’attendait. J’eu une fraction de seconde d’hĂ©sitation. Plus tard. AprĂšs la douche. Je ne pris mĂȘme pas la peine de prendre des vĂȘtements propres. Je me glissais sous l’eau aprĂšs ĂȘtre passĂ© aux toilettes. Une bonne douche froide, ça me soulageait au moins autant qu’une clope sur le moment. L’eau dĂ©vala mon corps. xx feat. xx codage Lilie - icon chrysalis _________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to me. Eden Rossmembers too many secrets Hier Ă  2010 ♛ everyone's damaged> Quand tu portes le poids du monde sur tes Ă©paules. Alors que le poids de ton propre cƓur est trop lourd Ă  porter. Et bien, je sais que tu as peur que les choses soient toujours comme ça. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise journĂ©e. Et je sais que ça semble sans espoir. Et je sais Ă  quel point tu es proche du bord maintenant. Alors j'ai Ă©crit cette chanson pour dire que les choses ne seront pas toujours pas comme ça, non. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise vie. â–Œâ–Čâ–Œ Tu te sentais bien lĂ  dans ses draps. T’avais l’impression de dormir dans des draps en satin. Mais ce n’était qu’une impression. Ils Ă©taient en coton mais chaque chose qu’il touchait devenait extraordinaire. Tu tournas la tĂȘte dans ton sommeil. Ton corps sentis sa prĂ©sence Ă  tes cĂŽtĂ©s. Il t’envoutait. Il t’avait pris ton cƓur et ton Ăąme Ă  la seconde mĂȘme oĂč tu avais posĂ©s tes prunelles dans ses yeux. Tu l’avais su Ă  la seconde oĂč il avait souris que tu Ă©tais foutu. Calista, ton amie, t’avais dis de faire attention Ă  lui. Qu’il n’était pas une bonne personne pour toi. Elle ne savait pas que c’était exactement les paroles qu’il ne fallait pas qu’on te dise. Tu avais besoin de ça. Ton monde Ă©tait un carnage depuis que tu avais appris que tu n’étais qu’une demi-Ross. Ton monde avait volĂ© comme une boule de cristal. Et tu avais besoin d'un nouveau socle dans ta vie pour te remettre d’aplomb. Et tu trouvais qu’Alden Ă©tait parfait comme candidat. Beaucoup trop mĂȘme vu qu’il avait rĂ©ussi Ă  tout avoir de toi. Ton corps au point que le dessin de sa bouche avait finis comme tatouage sur ton aĂźne. Ton cƓur qui battait Ă  chaque fois qu’il posait les yeux sur toi. Et le pire dans tout ça. Ton Ăąme. Tu t’étais aveuglĂ©e dans cette relation. Elle Ă©tait toxique pour vous deux mais tu ne l’a changerais pour rien au pour confirmer les choses, tes yeux papillonnĂšrent quand tu ne ressentais plus la prĂ©sence d’Alden Ă  tes cĂŽtĂ©s. Il s’était levĂ©. Et tu compris quelques secondes en attendant les gouttes d’eaux fouettĂ© le mur de la douche oĂč il Ă©tait. Tu poussais un soupire et t’étirais comme un chat. Tu avais des courbatures de vos Ă©bats d’hier. C’était ça aussi vous. Sauvage. Vous Ă©tiez deux faunes dans une cage qui se battaient pour dominer l’autre. Et devenir cĂąlin par la suite. Tu te levas et marcha en direction de sa salle de bain. Ton corps nu avait encore les traces de vos Ă©bats d’hier. Tes yeux trouvĂšrent Alden qui te tournait le dos. Un sourire glissa sur tes lĂšvres quand tes yeux se posĂšrent sur ses fesses. Si toi tu avais un tatouage sur l’aine, il l’avait les tiennes sur les fesses. Signe d’une possessivitĂ© sans faille. Tu pĂ©nĂ©tras dans la douche et enroula tes bras autour du torse de celui qui faisait battre ton cƓur. Tu posas ta tĂȘte sur son dos apprĂ©ciant le contact de vos deux peaux nues. » T’es cap toi de m’aimer dans cette douche ? Ça avait toujours Ă©tĂ© ça entre vous. Du cap ou pas cap. Du matin au soir. C’était votre drogue. Votre adrĂ©naline. Votre dĂ©chĂ©ance. Et sans le savoir tu avais plongĂ© tout ton corps dedans. Alden Ă©tait ta putain de drogue. Il Ă©tait ton diable Ă  toi. Et aveuglĂ©e par tes sentiments, tu ne voyais rien de tout cela. Tu glissais une de tes mains sur ton torse pour une caresse lĂ©gĂšre. L’eau s’abattait sur toi et tu pousses un soupire de bien ĂȘtre. Tu adorais ce genre de sensation. L’eau et ton corps nu contre celui d’ PAR AMATISAlden Knight_________________BAD LIFEOoh, c'est dur de sortir du lit quand tout est dans sa tĂȘte. Et plus rien n'a de sens comme un pansement sur un cƓur qui saigne. Je fais semblant de sourire et m'effondre et personne ne sait jamais que je suis une FRIMELDA Alden Knightmembers too many secrets Hier Ă  2016 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? Les yeux fermĂ©s, je profitais du court moment de solitude qui m’était offert, laissant mes pensĂ©es vagabonder dans mon esprit sans vraiment m’accrocher Ă  l’une d’elle. J’aimais ses journĂ©es, oĂč rien n’avait d’importance et nous ne nous soucions de rien Ă  part de profiter du moment prĂ©sent. Loin de nos problĂšmes et du monde extĂ©rieur. Loin de tout. Un vent frais dans mon dos me fit rouvrir les yeux, prendre conscience de la prĂ©sence d’Eden dans mon dos. Je souris Ă  l’instant mĂȘme oĂč ses bras m’entourĂšrent. Sa voix encore enrouĂ©e par le sommeil se glissa jusqu’à mon oreille. Mon sourire s’étira. Je me retournais suite Ă  sa caresse sur mon torse, grisĂ© par son contact rendu diffĂ©rent Ă  cause de l’eau qui s’abattait sur nos corps. Je plongeais dans son regard sans dĂ©tour. Mes doigts s’invitĂšrent le long de sa mĂąchoire en une caresse tendre. Cap. »Mes lĂšvres Ă©chouĂšrent sur les siennes. Mon palpitant reparti au galop. Mes mains dĂ©valĂšrent les courbes de son corps. Je la voulais plus prĂšs. Toujours plus. Elle m’avait emprisonnĂ©, m’avait envoĂ»ter sans que je le vois venir. Pour la premiĂšre fois de ma vie, je m’étais laissĂ© aller Ă  aimer, quand bien mĂȘme nous nous Ă©tions promis de ne jamais tomber dans le piĂšge de l’amour. Je m’étais fait avoir. Et maintenant je ne voulais plus que cela cesse. Je la voulais, encore et feat. xx codage Lilie - icon chrysalis Eden Ross_________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to me. Eden Rossmembers too many secrets Hier Ă  2019 ♛ everyone's damaged> Quand tu portes le poids du monde sur tes Ă©paules. Alors que le poids de ton propre cƓur est trop lourd Ă  porter. Et bien, je sais que tu as peur que les choses soient toujours comme ça. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise journĂ©e. Et je sais que ça semble sans espoir. Et je sais Ă  quel point tu es proche du bord maintenant. Alors j'ai Ă©crit cette chanson pour dire que les choses ne seront pas toujours pas comme ça, non. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise vie. â–Œâ–Čâ–ŒTW sexe Les gouttes d'eau frappĂšrent ton corps nu avec force. Te rappelant Ă  quel point tes sentiments Ă©taient violents pour celui que tu partageais la douche. Tu te rappelais du premier cap ou pas cap. Ou tout avait commencĂ©. Ça avait commencĂ© par un simple " t'es cap d'embrasser la personne la bas ?". Alors que tout le monde savait qu'elle Ă©tait en couple depuis des annĂ©es avec son compagnon. Quand il te l’avait embrassĂ©, tu l'avais trouvĂ© ahurit. Ce n'Ă©tait pas ton truc de briser des couples. Toi qui au fond cherchait que ça. Que quelqu'un te porte autant de gestes que peut ĂȘtre un couple. C'est quand il avait touchĂ© la case provocation que tu y Ă©tais allĂ©. Et qu'une fois le cap rĂ©alisĂ©, tu lui avais glissĂ© qu'il en sera jamais cap de coucher avec le premier mec qu'il regardait. Tu savais que tu allais gagner. Qu'Alden Ă©tait un homme Ă  femmes. T'Ă©tais tombĂ© de haut quand il Ă©tait revenu tout souriant et t'avais glissĂ© la chaĂźne autour du cou. C'est comme ça que ça avait commencĂ©. Un putain de jeu. Tu te savais mauvaise perdante. Il en profitait. Et au fur et Ă  mesure que ce jeu prenait place dans ta vie, t'en tombais amoureuse. Comme ça. D'un seul coup. Car il t'apporta plus d'attention que quiconque ne t'avais jamais adressĂ© jusqu'Ă  la. Du mal oui. Alden Ă©tait le feu interdit. Et toi tu adorais t'y approcher au point que tu as fini par te brĂ»ler les dĂ©posas un baiser sur son dos quand tu entends sa rĂ©ponse. M'aimer. C'Ă©tait aussi un cap ou pas cap que l'un avait dis. Que jamais on tomberait amoureux de l'autre. Toi t'Ă©tais plongĂ©e dedans finalement et tu ne lui avais rien dis. Car t'avais dis que tu Ă©tais cap. Que ce n'Ă©tait qu'un putain de jeu. Malsain. Toxique. A voyant Alden se tourner et dĂ©poser ses lĂšvres sur les tiennes, tu compris une chose. T'Ă©tais foutu. Alden Ă©tait mieux que l'adrĂ©naline. Mieux que la nicotine que tu fumais en quantitĂ© astronomique. Mieux que la drogue que tu t'enfilais en soirĂ©e par esprit de compĂ©tition. Mieux qu'un orgasme. Alden. Ce nom Ă©tait gravĂ© en toi au fer rouge. Sa marque Ă©tait gravĂ©e Ă  l'encre rouge sur ta peau. Tu ne voyais que lui. Tu ne voyais que ses mains sur ton corps. Tu voyais que les gĂ©missements que tu poussais et les frissons qui te donnĂšrent la chair de poule. Tu voyais que lui. Et putain qu'est ce que c'Ă©tait bon. Tu traçais de tes ongles le dos de ton amant. Tu le marquais comme tien. Ton Ă©niĂšme gĂ©missement mourut dans les lĂšvres d'Alden. Il n'y avait rien de tendre entre vous. Tu sentis l'excitation montĂ©. Tu connaissais son corps par cƓur et il connaissait le tien par cƓur. Il savait oĂč toucher pour t'envoyer au septiĂšme PAR AMATISAlden Knight_________________BAD LIFEOoh, c'est dur de sortir du lit quand tout est dans sa tĂȘte. Et plus rien n'a de sens comme un pansement sur un cƓur qui saigne. Je fais semblant de sourire et m'effondre et personne ne sait jamais que je suis une FRIMELDADerniĂšre Ă©dition par Eden Ross le Ven 26 AoĂ» - 121, Ă©ditĂ© 1 fois Alden Knightmembers too many secrets Hier Ă  2024 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? xx feat. xx codage Lilie - icon chrysalis Eden Ross_________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to me. Eden Rossmembers too many secrets Hier Ă  2027 ♛ everyone's damaged> Quand tu portes le poids du monde sur tes Ă©paules. Alors que le poids de ton propre cƓur est trop lourd Ă  porter. Et bien, je sais que tu as peur que les choses soient toujours comme ça. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise journĂ©e. Et je sais que ça semble sans espoir. Et je sais Ă  quel point tu es proche du bord maintenant. Alors j'ai Ă©crit cette chanson pour dire que les choses ne seront pas toujours pas comme ça, non. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise vie. â–Œâ–Čâ–ŒTW sexe " T'es cap toi qu'on tombe pas amoureux de l'autre ?". Ses mots tu les avais prononcĂ©s un mois aprĂšs que tu avais commencĂ© ton jeu avec Alden. Un mois ou tu avais sentis tous tes sens en Ă©veil. En alerte de la moindre parcelle de caresse. Du moins regard jetĂ© en ta direction. Du moindre mot qui coulait dans ses lĂšvres. C'Ă©tait qu'un Ă©niĂšme pari. Il t’avait dis qu'il Ă©tait cap et t'avais balancĂ© le mĂȘme Ă  la gueule. Juste pour voir qui allait ĂȘtre le gagnant des deux. Plus tu restais en sa compagnie, plus tu te sentais perdre pied. C'Ă©tait qu'un jeu. Un putain de jeu de cap ou pas cap qui aurait dĂ» rester sur des paris simples. CODAGE PAR AMATISAlden Knight_________________BAD LIFEOoh, c'est dur de sortir du lit quand tout est dans sa tĂȘte. Et plus rien n'a de sens comme un pansement sur un cƓur qui saigne. Je fais semblant de sourire et m'effondre et personne ne sait jamais que je suis une FRIMELDADerniĂšre Ă©dition par Eden Ross le Ven 26 AoĂ» - 121, Ă©ditĂ© 1 fois Alden Knightmembers too many secrets Hier Ă  2030 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? xx feat. xx codage Lilie - icon chrysalis Eden Ross_________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to me. Eden Rossmembers too many secrets Hier Ă  2203 ♛ everyone's damaged> Quand tu portes le poids du monde sur tes Ă©paules. Alors que le poids de ton propre cƓur est trop lourd Ă  porter. Et bien, je sais que tu as peur que les choses soient toujours comme ça. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise journĂ©e. Et je sais que ça semble sans espoir. Et je sais Ă  quel point tu es proche du bord maintenant. Alors j'ai Ă©crit cette chanson pour dire que les choses ne seront pas toujours pas comme ça, non. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise vie. â–Œâ–Čâ–ŒTW sexe CODAGE PAR AMATISAlden Knight_________________BAD LIFEOoh, c'est dur de sortir du lit quand tout est dans sa tĂȘte. Et plus rien n'a de sens comme un pansement sur un cƓur qui saigne. Je fais semblant de sourire et m'effondre et personne ne sait jamais que je suis une FRIMELDADerniĂšre Ă©dition par Eden Ross le Ven 26 AoĂ» - 120, Ă©ditĂ© 1 fois Alden Knightmembers too many secrets Hier Ă  2322 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? xx feat. xx codage Lilie - icon chrysalis Eden Ross_________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to me. Eden Rossmembers too many secrets Aujourd'hui Ă  120 ♛ everyone's damaged> Quand tu portes le poids du monde sur tes Ă©paules. Alors que le poids de ton propre cƓur est trop lourd Ă  porter. Et bien, je sais que tu as peur que les choses soient toujours comme ça. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise journĂ©e. Et je sais que ça semble sans espoir. Et je sais Ă  quel point tu es proche du bord maintenant. Alors j'ai Ă©crit cette chanson pour dire que les choses ne seront pas toujours pas comme ça, non. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise vie. â–Œâ–Čâ–ŒTW sexe CODAGE PAR AMATISAlden Knight_________________BAD LIFEOoh, c'est dur de sortir du lit quand tout est dans sa tĂȘte. Et plus rien n'a de sens comme un pansement sur un cƓur qui saigne. Je fais semblant de sourire et m'effondre et personne ne sait jamais que je suis une FRIMELDA Alden Knightmembers too many secrets Aujourd'hui Ă  215 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? xx feat. xx codage Lilie - icon chrysalis Eden Ross_________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to Ă©dition par Alden Knight le Ven 26 AoĂ» - 1735, Ă©ditĂ© 1 fois Eden Rossmembers too many secrets Aujourd'hui Ă  1708 ♛ everyone's damaged> Quand tu portes le poids du monde sur tes Ă©paules. Alors que le poids de ton propre cƓur est trop lourd Ă  porter. Et bien, je sais que tu as peur que les choses soient toujours comme ça. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise journĂ©e. Et je sais que ça semble sans espoir. Et je sais Ă  quel point tu es proche du bord maintenant. Alors j'ai Ă©crit cette chanson pour dire que les choses ne seront pas toujours pas comme ça, non. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise vie. â–Œâ–Čâ–ŒTW addiction, sous-entendu drogue Tu sentais ton cƓur battre plus vite qu’il ne le devait. Il faisait un marathon et s’il n’avait pas Ă©tĂ© protĂ©gĂ© par tes cĂŽtes, tu Ă©tais sur que ton cƓur aurait bondit tellement il battait fort. Ses Ă©motions, ses sentiments aussi violents que passionnĂ©, il n’y avait qu’Alden pour te les faire ressentir. Tes jambes s’étaient enroulĂ©es autour de sa taille et ta bouche formait un o » quand l’orgasme Ă©tait venu frapper Ă  vos portes. Il Ă©tait bon. Incroyablement bon. Il te faisait perdre pied. Tu oublias ce qu’il se passait dehors, loin de cet appartement. Tu oublias la douleur que tu avais ressentis quand celui que tu pensais ĂȘtre ton pĂšre t’avais dis en rĂ©alitĂ© tu n’étais qu’une erreur. Que le fruit d’une infidĂ©litĂ©. Non. Tout ce qui comptait Ă  prĂ©sent Ă©tait vous deux. Votre bulle qui vous protĂ©geait contre le monde extĂ©rieur. Vous deux contre le reste du monde. Babe et Alden. Tu ne savais pas pourquoi tu lui avais jamais dis ton prĂ©nom. Par sĂ©curitĂ© au dĂ©but mais parce que tu aimais entendre ton surnom dans cette bouche. Ça sonnait si sensuel, si vivant que tu n’avais jamais eu le cƓur de lui dire ton prĂ©nom. Et il semblerait que ça n’avait aucune importance pour Alden vu qu’il ne t’avait jamais posĂ© la question. Car votre prĂ©nom ne comptait pas. Seuls vos deux ĂȘtres torturĂ©s comptaient. Tu l’aimais avec une telle force que tu pourrais en crever s’il te demandait de le faire. Tu pouvais tout faire pour lui. T’avais dĂ©jĂ  finis en garde Ă  vue Ă  cause de lui. Tu avais dĂ©jĂ  sniffer de la coke parce qu’il te l’avais demandĂ©. Oui. S’il te donnerait d’en finir avec ta vie, tu le ferais sans hĂ©siter. Car c’était ça ton amour pour lui. Puissant. Violent. Dangereux. Meurtrier. Et Ă  cet instant, seul lui comptait. Seules ses lĂšvres qui se posĂšrent sur les tiennes comptaient. La passion avait laissĂ© place Ă  une tendresse qui te donnait des frissons. C’était aussi ça votre amour. Deux cons qui n’assumaient pas leurs sentiments mais qui les ressentaient puissance milles. Et que c’était rĂ©ciproque. Tu n’avais pas besoin de mots pour le dire. Tu Ă©tais convaincu qu’il savait que tu Ă©tais tombĂ©e amoureuse de lui. Ton cƓur dans ta poitrine battait tellement fort et vite qu’il aurait fallu ĂȘtre sourd pour ne pas l’entendre. MĂȘme Calista te le disait. D’arrĂȘter tout ça car tes sentiments pour lui Ă©tait bien trop violent pour que ça soit sain. Mais tu t’en fichais. Alden Ă©tait ton tout. Et chaque jour sous l’excuse d’un cap ou pas cap, tu revenais le voir. C’était plus fort que toi. Ton corps rĂ©clamait son corps. Ton Ăąme voulait faire qu’un avec la sienne. Et ton cƓur voulait rejoindre ses bras si rĂ©confortant mais si dangereux Ă  la lĂšvres approfondir le baiser alors que tu l’obligeais Ă  te lĂącher. Tes bras l’avaient encerclĂ© et tu t’étais mis sur la pointe des pieds pour ne jamais arrĂȘter ce baiser. Comme si c’était ça qui comptait pour vous. Tu Ă©tais sur dĂšs l’instant oĂč tu allais rompre ce baiser, t’allais en souffrir. L’eau de la douche continuait Ă  tomber et tu laissas l’eau effacĂ© les vestiges de votre acte d’amour. Car mĂȘme si vous appelez ça de la baise, vous savez pertinemment que vous faisiez l’amour. Mais vous Ă©tiez trop fier pour oser le dire. Trop compĂ©titif. Le manque d’air arriva et tu soupiras quand tes lĂšvres s’enlevĂšrent des siennes. Une piqure de douleur te le rappela. T’étais devenu addict Ă  Alden comme tu l’étais de la clope. Tu souris en fermant les yeux et laissa le jet d’eau venir Ă©craser sur ton visage. Pour te rĂ©veiller de l’état second que cet orgasme vous avez mis. Le manque premier passĂ©, le deuxiĂšme manque tapa dans ta poitrine. Tu avais besoin d’une clope. Tu attrapas le gel douche et te le passais sur ton corps. Provocante, tu laissas glisser te doigts sur le torse d’Alden pour venir dĂ©poser du gel douche et descendis plus bas. Pour nettoyer tout ça. Tu n’avais pas besoin de mot pour dire les choses. C’était devenu naturel et si tu avais envie d’ĂȘtre honnĂȘte avec toi-mĂȘme, c’était un comportement de couple. Une fois fini, tu laissais abattre l’eau qui te nettoyait. La douche fini, tu en sortis avec un dernier regard Ă  Alden. Je vais fumer t’en veux une ? » Ou d’autres choses vu ce qu’il avait laissĂ© sur la table. T’avais pas besoin de lui dire pour qu’il comprenne le sous-entendu. Tu trouvas un t-shirt d’Alden et l’enfila sur ton corps nu. Tu trouvas facilement ton paquet de cigarette et en sortis une. La premiĂšre de la journĂ©e. L’aprĂšs orgasme. La meilleure. Tu la glissas entre tes lĂšvres et l’alluma. La clope te fit un bien fou et partis t’installĂ© sur un meuble prĂšs d’une fenĂȘtre pour la fumer. Un des reflexes de maniaque que tu Ă©tais. CODAGE PAR AMATISAlden Knight_________________BAD LIFEOoh, c'est dur de sortir du lit quand tout est dans sa tĂȘte. Et plus rien n'a de sens comme un pansement sur un cƓur qui saigne. Je fais semblant de sourire et m'effondre et personne ne sait jamais que je suis une FRIMELDA Alden Knightmembers too many secrets Aujourd'hui Ă  1804 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? Tw drogue, addictions Le moment si prĂ©cieux se dissipa Ă  regret. Aucun de nous deux ne mima mots.'Il n’y avait que nos regards et nos corps qui se rĂ©pondaient en silence. Je la libĂ©rais en reprenant contenance, la laissait laver mon corps, passer le savon sur mes muscles en ne cessant de la regarder. N’importe qui d’extĂ©rieur aurait pu se moquer de nous voir ainsi, crevant l’évidence de nos sentiments. On le savait tous les deux sans doute, seulement nous Ă©tions bien trop fiers pour l’assumer. C’était pas notre genre. Nous Ă©tions Ă©pris de libertĂ©, cassĂ©, dĂ©vastĂ©, trop peureux pour voir la vĂ©ritĂ©. Mes yeux se posĂšrent sur son cou, sur le cadenas qu’elle portait, la chaĂźne qui reposait le long de ses clavicules. Il ne nous quittait jamais, ce collier. MĂȘme pas sous la douche. Comme gravĂ© sur notre peau. L’idĂ©e de le faire graver un jour m’effleura, avant que l’eau ne se coupe, me sortant de mes pensĂ©es. L’air pĂ©nĂ©tra dans la douche alors que j’observais ses fesses rebondies tandis qu’elle partait se chercher une clope. J’arrive. »Mon corps agit de lui mĂȘme. Ma main passa dans mes cheveux pour les remettre en arriĂšre alors que j’attrapais une serviette pour m’essuyer rapidement. Je remis mon boxer avant de sortir, prenant soin d’ouvrir la fenĂȘtre au passage. Mes pas me conduire droit dans la chambre. Mon regard plana sur elle alors que l’odeur de la cigarette planait Ă  nouveau dans la piĂšce. Elle Ă©tait beaucoup trop belle, Babe. Encore plus avec mon t-shirt sur le dos, arrivant Ă  la limite de ses fesses. Elle aimait se poser lĂ , Ă  la fenĂȘtre. Et moi j’aimais la regarder. Je cherchais rapidement son paquet de clopes, en glissant une entre mes lĂšvres avant de me diriger vers le plateau rempli de poudre. Tout ce sexe m’avait presque fait oublier le manque. Presque. Je m’asseyais Ă  la table, attrapais les cartes qui traĂźnaient lĂ  et entrepris de faire de belles traces. T’en veux ? »Je l’interrogeais en tournant Ă  peine la tĂȘte vers elle. Elle Ă©tait dans mon dos, hors de mon champ de vision. Les lattes prĂȘtes, je m’en enfilais une comme si j’avais fait ça dans ma vie, ce qui Ă©tait le cas, en vĂ©ritĂ©. Rien de plus banal pour moi. Je projetais la tĂȘte en arriĂšre, inspirant en frottant mon nez devenu blanc. Je fermais les yeux quelques secondes, apprĂ©ciant le simple fait de m’enfiler ma came. L’instant suivant, une flamme brĂ»la le bout de ma clope restĂ©e accrochĂ©e Ă  ma bouche. J’accrochais la tĂ©lĂ©vision du regard, juste en face de moi, soupirant de bien ĂȘtre Ă  la premiĂšre bouffĂ©e de tabac. Les images dĂ©filaient sans que j’y prĂȘte rĂ©ellement attention. Un bruit de fond, juste pour occuper mon esprit malade. Éviter le silence trop pesant. J’avisais mon smartphone, jurant au passage. J’avais des appels en absence. Des appels importants. Je rappelais mon interlocuteur en me levant de ma chaise, rejoignant Babe Ă  la fenĂȘtre. Le combinĂ© vissĂ© Ă  l’oreille, ma main libre tomba dans le dos de la belle en des caresses distraites. Le regard perdu Ă  la fenĂȘtre, j’attendais que les dĂ©tonations cessent. Messagerie. Et merde. Fais chier. »Je balançais le tĂ©lĂ©phone sur le lit, posant mes yeux sur la rousse. T’as faim ? Je vais cuisiner un truc. »xx feat. xx codage Lilie - icon chrysalis Eden Ross_________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to me. Contenu sponsorisĂ© Everyone's damaged - Eden
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Pource faire, commencez d’abord par faire une l iste des points que vous ne supportez plus chez lui, en l’appuyant d’exemples concrets à l’appui.N’omettez rien, mais restez le plus
Bonjour, Tu sais s'il se comporte diffĂ©rement avec ses copains et qu'il ne maitrise pas sa consommation d'alcool c'est qu'il a dĂ©jĂ  un problĂšme avec l'alcool. Pour ĂȘtre alcoolique il n'est pas nĂ©cessaire de consommer de l'alcool Ă  outrance tous les jours, on peut ĂȘtre alcoolique "occasionnel" aussi. C'est lorsqu'on a des difficultĂ©s Ă  rĂ©sister devant la prise d'alcool, sachant notament pour ton ami qu'il devient mĂ©chant ensuite mais il le fait quand mĂȘme, c'est un problĂšme. Il y a plusieurs formes d'alcoolismes, l'alcoolisme mondain entre autre aussi, l'alcoolisme des week end occasionnel donc et il y a le typique alcoolique qui boit ses 3 bouteilles de vins journaliĂšres, qui ne roule mĂȘme plus sous la table tellement il est en permanence bourrĂ©. S'il ne prend pas son problĂšme en main de suite, il te pourrira la vie parce que ces personnes lĂ  se confondent toujours en excuses aprĂšs avoir Ă©tĂ© infectes jusqu'Ă  la prochaine occasion...C'est un cercle infernal d'ou je te conseille de sortir le plus vite possible. J'en parle en connaissance de cause, j'ai eu le mĂȘme problĂšme Ă  la maison, sauf que mon mari ne m'insultait pas, mais il avait du mal Ă  se controler occasionnellement avec l'alcool. Demande aux femmes d'alcooliques et tu verras qu'ils ont souvent 2 facettes, la gentille et l'autre quand ils ont bu...c'est bien pour ça que c'est si difficile de les quitter.
Ona fait la fĂȘte et on a un peu bu, et Ă  cette soirĂ©e lĂ , il s'est tapĂ© 2 de mes amies. Le trouvant assez beau Ă  l'Ă©poque et ayant bu, je lui ai dis que je voulais le faire aussi. Et du
Mis Ă  jour le 14 fĂ©vrier 2021 Ă  18h00 © Getty Quand Anne s'installe chez sa copine pour garder son chat, elle n'imagine pas qu'elle va trouver l'homme de sa vie Ă  l'Ă©tage du dessus. Encore moins qu'elle serait en tenue d'Eve. Et pourtant... Par Nathalie HĂ©lal En sentant une caresse appuyĂ©e sur mes seins, j'ai pĂ©niblement ouvert un oeil. Il Ă©tait en train de se rhabiller et affichait un air autosatisfait qui m'a dĂ©plu sur-le-champ. Nous venions de passer une nuit torride, mais il se comportait comme s'il n'avait dĂ©jĂ  plus rien Ă  me prouver tout Ă  fait le genre de garçon avec lequel l'aventure s'arrĂȘte au saut du lit ! J'avais hĂąte qu'il s'en aille, et aucune envie de le revoir. Par chance, il ne savait rien de moi. L'appartement qui venait d'abriter nos Ă©bats n'Ă©tait pas le mien et, d'ici Ă  vingt-quatre heures, dĂšs que StĂ©phanie dont je gardais le chat serait rentrĂ©e de son escapade Ă  Marrakech, je serais introuvable Ă  cette adresse. Nue, je l'ai raccompagnĂ© jusqu'Ă  la porte, oĂč j'ai Ă©courtĂ© les adieux. Je me suis ensuite dirigĂ©e vers la salle de bains. C'est Ă  ce moment prĂ©cis que j'ai senti que quelque chose clochait Jean-Claude n'Ă©tait pas venu se frotter Ă  mes jambes comme d'habitude. Beau spĂ©cimen de race europĂ©enne », Jean-Claude Ă©tait un chat idolĂątrĂ© par sa maĂźtresse. Gentil mais tĂȘtu, il avait une fĂącheuse tendance Ă  essayer de se faufiler dehors Ă  la moindre occasion. Si ma copine se fichait pas mal que je ramĂšne des amants chez elle en son absence, en revanche, elle faisait une fixation sur le bien-ĂȘtre de son chat ! Que faire si je croisais quelqu'un ? »AprĂšs l'avoir cherchĂ© dans chaque recoin de l'appartement, il a fallu me rendre Ă  l'Ă©vidence Jean-Claude avait disparu. Il avait dĂ» profiter du moment des adieux pour prendre la poudre d'escampette. PaniquĂ©e, j'ai foncĂ© jusqu'Ă  la porte que j'ai entrouverte. Il Ă©tait lĂ , sagement assis sur les marches, et a miaulĂ© en me voyant. Pendant une fraction de seconde, j'ai pensĂ© Ă  rentrer pour m'habiller en vitesse, mais la crainte que Jean-Claude ne profite de ce moment pour fuguer encore plus loin m'a retenue je n'avais qu'Ă  m'avancer pour le rĂ©cupĂ©rer, Ă  deux enjambĂ©es du seuil. Ce que j'ai fait, non sans mal car Jean-Claude se dĂ©battait. J'Ă©tais Ă  environ cinquante centimĂštres de la porte, quand quelqu'un, Ă  l'Ă©tage au-dessus, a refermĂ© un peu trop fort la sienne j'ai vu la porte me claquer au nez, comme dans un film. En tenue d'Eve, Ă  7 heures du matin, un chat noir dans les bras, j'avais l'air malin ! Le pire, c'est que je ne connaissais personne dans ce foutu immeuble. Et je savais par StĂ©phanie que la gardienne Ă©tait du genre pas commode, donc, toquer Ă  sa loge Ă©tait mission impossible. Que faire si je croisais quelqu'un ? J'ai inspirĂ© profondĂ©ment pour me calmer, sans lĂącher Jean-Claude. Il fallait Ă  tout prix que je trouve quelque chose pour paraĂźtre un peu moins dĂ©vĂȘtue... J'ai attrapĂ© le paillasson le moins dĂ©gueu de tout le palier, et j'ai pris mon courage Ă  deux mains pour sonner Ă  la porte d'en face. Sans succĂšs. Me tournant vers la porte de gauche, j'ai perçu des pas lĂ©gers, et une voix enfantine a retenti Maman ! Y a une dame toute nue ! » Je n'ai pas attendu la rĂ©ponse pour me dissimuler dans l'escalier. AprĂšs avoir frappĂ© Ă  la porte de droite, j'ai eu droit Ă  une menace, venant d'une vieille dame flippĂ©e "Allez-vous-en ou j'appelle la police !" Il ne me restait plus qu'Ă  tenter ma chance Ă  l'Ă©tage du dessus... Je me suis donc retrouvĂ©e seule dans l'appartement d'un parfait inconnu »J'ai grimpĂ© l'escalier en rasant les murs. J'avais la hantise que Jean-Claude ne m'Ă©chappe pour de bon. J'ai choisi au hasard la porte du milieu et m'apprĂȘtais Ă  toquer quand celle de droite s'est ouverte. Un homme d'une trentaine d'annĂ©es, la rĂ©plique de Hugh Grant, est apparu, un attachĂ©-case Ă  la main. Je ne sais pas lequel de nous deux a Ă©tĂ© le plus surpris lui, qui a esquissĂ© le geste de se frotter les yeux, ou moi. Avez-vous besoin de quelque chose ? » m'a-t-il demandĂ©, avec un dĂ©licieux accent. En plus de ressembler au plus sexy des play-boys anglais, il en Ă©tait visiblement un compatriote. Je suis Anne, votre voisine du dessous, ma porte s'est refermĂ©e et... J'aimerais bien passer un coup de fil... et me mettre quelque chose sur le dos », ai-je dĂ©bitĂ© Ă  toute vitesse. Pas de problĂšme ! Entrez, faites comme chez vous. Au fait, je m'appelle Colin. Ne vous inquiĂ©tez pas pour le chat, il est le bienvenu lui aussi ! » Je n'avais pas le choix, et j'avoue que son charme ne me laissait pas indiffĂ©rente. L'urgence pour moi Ă©tait de rĂ©intĂ©grer l'appartement de StĂ©phanie, avec son chat. Colin s'est effacĂ© pour me laisser entrer mais je lui ai fait signe de me prĂ©cĂ©der, le paillasson ne couvrant que le devant de mon corps... Il a eu le tact de ne pas se moquer de moi et s'est prĂ©cipitĂ© dans la salle de bains pour me tendre un peignoir. Pendant ce temps, Jean-Claude faisait le tour du propriĂ©taire. Vous voulez un cafĂ©, un thĂ©... grignoter quelque chose ? » Un peu rassĂ©rĂ©nĂ©e, j'ai acceptĂ© un thĂ©, et souri en voyant Colin, dans la cuisine, camoufler la vaisselle sale de la veille. Pendant que je soufflais sur ma tasse, il avait dĂ©jĂ  composĂ© le numĂ©ro d'un serrurier. Bon... VoilĂ  ce que nous allons faire... Je dois partir travailler, mais vous allez rester ici en attendant que le type arrive. MĂȘme s'il met la journĂ©e, prenez tout votre temps et reposez-vous. Vous avez l'air d'en avoir besoin... - Je ne sais pas comment vous remercier... et pour le chat, dites-moi, vous n'auriez pas quelque chose Ă  manger... et pour le reste ? » ai-je questionnĂ©, inquiĂšte pour les dĂ©gĂąts que Jean-Claude pouvait causer. Ah ! Vous avez raison, je vais arranger ça tout de suite », a dĂ©clarĂ© mon sauveur. En un clin d’Ɠil, il avait passĂ© commande sur Internet d'un paquet de croquettes, d'un sac de litiĂšre et d'un bac en plastique. Le tout allait ĂȘtre livrĂ© en moins d'une heure. Je me suis donc retrouvĂ©e seule dans l'appartement d'un parfait inconnu, avec un chat pour toute compagnie. Colin m'avait confiĂ© ses clĂ©s, avec la recommandation expresse de ne pas les oublier Ă  l'intĂ©rieur, si je sortais... Le parfait cĂ©libataire, bon Ă  marier ! »Vers 19 heures, quand il est rentrĂ©, j'avais eu le temps de mĂ©diter sur le charme de notre rencontre. J'avais surtout fait la visite approfondie de son appartement. N'ayant pas grand-chose pour tromper mon ennui, et dĂ©sireuse de savoir Ă  qui j'avais affaire, je ne m'Ă©tais pas gĂȘnĂ©e pour fouiner dans ses placards et ses tiroirs. Verdict le parfait cĂ©libataire, bon Ă  marier ! Cette dĂ©couverte m'avait d'ailleurs fait m'incruster plus que de raison, y compris aprĂšs le dĂ©part du serrurier. J'avais trĂšs envie de lui montrer qu'en dĂ©pit des apparences j'Ă©tais tout sauf une blonde idiote, capable de s'aventurer sans ses clĂ©s, nue sur le palier. Alors je suis allĂ©e faire des courses, j'ai cuisinĂ© tout l'aprĂšs-midi, je suis passĂ©e me doucher, me changer et me maquiller chez StĂ©phanie, et j'ai dressĂ© la table... chez lui. Quand il a sonnĂ© Ă  la porte, il a eu un second choc. J'avoue qu'objectivement, ce que j'avais fait Ă©tait assez gonflĂ©... je n'Ă©tais pas censĂ©e savoir qu'il Ă©tait un coeur Ă  prendre ! Heureusement, l'idĂ©e de ce petit dĂźner improvisĂ© en tĂȘte Ă  tĂȘte l'a enchantĂ©. Il m'a confiĂ© plus tard qu'il avait l'impression de ne pas ĂȘtre au bout de ses surprises avec moi, et que c'est ce qui l'avait sĂ©duit. Il m'a dit aussi qu'aprĂšs m'avoir vue nue, il avait eu envie d'aller voir si j'avais aussi une tĂȘte bien faite. Nos vĂ©rifications rĂ©ciproques ont tellement bien fonctionnĂ© que nous ne nous sommes plus quittĂ©s un mois aprĂšs cet Ă©pisode improbable, je m'installais chez lui. Et dĂ©sormais, quand StĂ©phanie n'est pas lĂ , je prends Jean-Claude en pension chez nous.
Jene vous oublie pas mais comme je suis souvent débordé, je ne me connecte pas souvent sur mon blog. Durant cette nouvelle année (2020), j'ai quatre projets, dont deux qui sont déjà calés. Une exposition de mon ami Philippe courant mai à Limeray ainsi qu'une soirée musique irlandaise courant juin, toujours à Limeray. Les autres projets sont en gestation.
L’ecstasy extasy ou MDMA 3,4-mĂ©thylĂšne-dioxy-mĂ©thylamphĂ©tamine est une phĂ©nylĂ©thylamine de synthĂšse. C’est un stimulant du systĂšme nerveux central qui possĂšde des caractĂ©ristiques psychĂ©dĂ©liques. Il est classĂ© comme stupĂ©fiant dans de nombreux pays dont la France. L’ecstasy est vendue habituellement sous forme de comprimĂ©s ou de capsules Ă  avaler. Elle est Ă©galement vendue en poudre, les comprimĂ©s peuvent ĂȘtre Ă©crasĂ©s puis reniflĂ©s. Bien que cette pratique soit rare, cette drogue peut aussi ĂȘtre injectĂ©e. Les comprimĂ©s d’ecstasy sont de forme, de taille et de couleur diffĂ©rentes. Ils sont souvent estampillĂ©s d’un logo comme un papillon ou un trĂšfle, ce qui leur donne l’apparence d’un bonbon. Ce marquage des comprimĂ©s d’ecstasy ne constitue pas une preuve de la qualitĂ© de la drogue, car il est possible que divers fabricants utilisent le mĂȘme logo. Les imitations de mauvaise qualitĂ© sont rĂ©pandues. Il est possible que des comprimĂ©s vendus sous le nom d’ecstasy ne contiennent pas de MDMA. Les usagers d’ecstasy recherchent la sensation d’énergie, de performance et la suppression de leurs inhibitions les blocages, les dĂ©fenses et les interdictions tombent. A l’effet de plaisir et d’excitation s’ajoute une sensation de libertĂ© dans les relations avec les autres. Les effets de l’ecstasy L’ecstasy provoque tout d’abord une lĂ©gĂšre anxiĂ©tĂ©, une augmentation de la tension artĂ©rielle, une accĂ©lĂ©ration du rythme cardiaque et la contraction des muscles de la mĂąchoire, la peau devient moite, la bouche sĂšche. Suit une lĂ©gĂšre euphorie, une sensation de bien-ĂȘtre et de plaisir. Elle s’accompagne d’une relaxation, d’une exacerbation des sens et d’une impression de comprendre et d’accepter les autres. L’usage de l’ecstasy provoque une dĂ©shydratation de l’organisme, d’oĂč la nĂ©cessitĂ© de maintenir une hydratation suffisante, surtout si le consommateur se trouve dans une ambiance surchauffĂ©e et fait un effort physique important. Les effets de l’ecstasy Ă  moyen terme Il arrive que l’usager ressente, trois ou quatre jours aprĂšs la prise, des passages Ă  vide qui peuvent provoquer des Ă©tats d’anxiĂ©tĂ© ou de dĂ©pression nĂ©cessitant une consultation mĂ©dicale. Les effets de l’ecstasy Ă  long terme Une consommation rĂ©guliĂšre et frĂ©quente amĂšne certains Ă  maigrir et Ă  s’affaiblir. L’humeur devient instable, entraĂźnant parfois des comportements agressifs. Cette consommation peut rĂ©vĂ©ler ou entraĂźner des troubles psychiques sĂ©vĂšres et durables. Les dangers de l’ecstasy pour votre santĂ© En cas d’association avec d’autres substances, les risques sont accrus. Les risques de complication semblent augmenter avec la dose avalĂ©, la composition du produit et la vulnĂ©rabilitĂ© de l’usager. Les personnes qui suivent un traitement mĂ©dical s’exposent Ă  des effets dangereux, Ă  cause des interactions mĂ©dicamenteuses qui risquent de se produire, notamment avec l’aspirine, certains mĂ©dicaments anti-VIH et certains antidĂ©presseurs. Les personnes souffrant de tension artĂ©rielle Ă©levĂ©e, de problĂšmes de cƓur ou de foie, de diabĂšte, d’épilepsie ou de n’importe quel trouble mental sont particuliĂšrement vulnĂ©rables aux dangers de l’ecstasy. Il peut aussi ĂȘtre toxique pour le foie, allant parfois jusqu’à la cirrhose. Il existe un effet retour ou flash back qui replace briĂšvement l’usager dans l’état gĂ©nĂ©rĂ© par la consommation de la substance psychotrope sans en consommer, et ce plusieurs mois aprĂšs la derniĂšre prise. Plusieurs cas de syndrome hallucinatoire persistant ont Ă©tĂ© observĂ©s, Ă  savoir Des angoisses Des phobies Un Ă©tat confusionnel Une dĂ©pression Des bouffĂ©es dĂ©lirantes aiguĂ«s. Certains travaux scientifiques tendent Ă  mettre en Ă©vidence une possible dĂ©gĂ©nĂ©rescence des cellules nerveuses pouvant entraĂźner des maladies dĂ©gĂ©nĂ©ratives troubles de la mĂ©morisation Ă  long terme ou des dĂ©pressions chez les consommateurs.
\n \n \n \n je ne supporte pas mon mec quand il a bu
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