ParamountPictures! Voici des options pour télécharger ou regarder 3 mètres au-dessus du ciel – Twilight Love en streaming le film complet en ligne gratuitement sur 123 films & Reddit, 1Découvrez l’explication de la fin de Trois Mètres au dessus du Ciel Saison 1 sur Netflix ! Départ pour l’Espagne le départ d’Ale pour l’Espagne afin de rejoindre une nouvelle équipe de course moto, Summer est laissé derrière lui. Ont-ils mis fin à leur relation avant son départ ou travaillent-ils à une relation à distance ? C’est ainsi que l’été s’achève. Et alors que les nuages s’amoncellent pour un hiver long et rigoureux sur la côte adriatique. Nos protagonistes se rappellent la dure réalité que certaines relations et connexions doivent prendre estivale d’Edo est terminée. Il en est un peu triste, mais il a toujours été amoureux de Summer. Leur amitié a connu son lot de perturbations au cours de la saison 1 de Trois mètres au dessus du ciel. Mais il a probablement eu besoin de ce temps libre pour se remettre d’ son aventure estivale quittant la ville, ils se sont quittés sur une bonne note, avec la perspective de se revoir. Blue, la sœur de Summer qui a eu le plus longtemps le béguin pour Edo, avait juré qu’elle ne voulait pas retourner à l’école. Après avoir été impliquée dans un délit de fuite, le moral à zéro. Elle ne voulait plus retourner aux études. Mais on la voit étudier à la fin de la Saison 1 de Trois mètres au dessus du n’a jamais fini d’avouer ses sentiments pour Summer. Au lieu de cela, elle a supprimé son profil de rencontre. Fatiguée de sauter d’une femme à l’autre. Elle va maintenant se concentrer sur elle-même. S’il y a une relation épanouissante dans la série, c’est bien celle de Dario et de Sofia. Au cours de la saison, leur amitié continue à se développer pour aboutir à un échange final qui a finalement perdu sa virginité sur la plage avec Martina, semble maintenant être un utilisateur fréquent des applications de rencontre. Il a puisé sa force dans Sofia et a finalement abandonné son amour pour Madda. Madda se rend enfin compte que sa relation avec Ale est terminée pour de bon. Et qu’elle va se concentrer sur elle-même. Cela fait longtemps qu’elle n’a pas passé beaucoup de temps et d’énergie derrière un garçon qui ne la traitait même pas et Summer continuent ils leur relation à la fin de 3 mètres au dessus du ciel ?Au final, lorsque la mère de Summer, Isabella lui chante une chanson, elle est bouleversée. C’est peut-être la seule émotion que nous avons vue affichée par l’actrice au cours des huit épisodes de la Saison 1 sur Netflix. Avec le départ d’Ale pour l’Espagne afin de rejoindre une nouvelle équipe de course moto, Summer est laissée sur le côté. Ont-ils mis fin à leur relation avant son départ ou travaillent-ils sur une longue distance ? Avec Summer qui avoue enfin à Ale ses véritables sentiments, ce fut leur dernier deux ont développé une forte connexion émotionnelle pour laisser tomber et avec leur dernier adieu. Il ne faut pas s’étonner qu’ils aient choisi de rester séparés. N’est-ce pas là l’essence même de Trois mètres au dessus du ciel ? Chacun des personnages découvre quelque chose sur lui-même qu’il ne connaissait pas. Et peut-être que Ale et Summer ont chacun découvert leur force émotionnelle. Aurons-nous une saison 2 ? Cela semble peu probable puisque les réalisateurs ont fermé la plupart des chapitres ouverts pour les personnages. En sachant ca, on peut se dire que le destin de Summer et Ale prennent des voix différentes. C’est ainsi la les infos concernant la saison 2 de Trois mètres au dessus du ciel !
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La slackline a un peu souffert d’une image de loisir de hippie se pointant au parc avec sarouel et bolas. » Highlineur depuis 10 ans, Antoine Mesnage n’a pas besoin de nous convaincre que sa passion est un véritable sport extrême. Arves-en-ciel, qu’il a tourné en juillet 2020, et que le festival du film de montagne de Banff programme actuellement en France, montre à quel point la sangle élastique de 2,5 cm de large peut conduire à des exploits en haute altitude. Apparue dès les années 1980 aux Etats-Unis, où elle a peu à peu comblé les grimpeurs accros au spot de Yosemite Californie, la slackline ou ligne lâche » est importée en France à partir de 2005 grâce à Damien Mercier, qui crée Tout le monde se foutait alors de sa gueule et lui annonçait que son truc ne marcherait pas », se souvient Antoine Moineville, l’un des fondateurs des Flying Frenchies dans les Alpes. Ce collectif de dingos des sports de montagne va impulser l’émergence de la highline en France, à savoir la pratique de slackline en hauteur, le tout sécurisée par un harnais. On était face à une immense inconnue, explique-t-il. Il fallait démystifier les choses car on ne savait pas si notre ligne allait vraiment tenir. »Si si, on vous assure qu'il y a bien un highlineur au fond de cette ligne ahurissante entre les aiguilles d'Arves. - Antoine MesnageLes highlineurs perçus comme les funambules des temps modernes »En 2010, les Flying Frenchies attaquent à quatre leur premier immense challenge sur la dent du Géant à m dans le massif du Mont-Blanc… au cœur de l’hiver, ce qui était un peu débile », comme le confesse aujourd’hui le highlineur. Au programme un bivouac à -20°C à quasiment m d’altitude et une traversée en haute montagne devenue culte, avant une multitude d’autres lignes ouvertes par le collectif dans le secteur du Mont-Blanc. Les Flying Frenchies n’hésitent pas à mélanger les sports extrêmes dans leurs projets, base jump en tête. Suivis par des sponsors et filmés par Sébastien Montaz dans d’impressionnantes réalisations Petit bus rouge, I believe I can fly…, ils sont l’influence majeure de nombreux amateurs de highline, à commencer par l’équipe d’ ans après les premiers coups d’éclat des Flying Frenchies, entre montagne et cirque, comment ces funambules des temps modernes », qu’on estime entre 500 et en France, parviennent-ils à se surpasser ? Faire tomber le record de la ligne la plus longue est évidemment un enjeu universel relayé par le Guinness Book. Autour de 60 m il y a 10 ans, il est fixé depuis juillet dernier à 2,3 km, l’œuvre de quatre athlètes allemands en Parmelan, au-dessus d'Annecy, sur une ligne de 20 m de long, Antoine Crétinon montre toute la créativité que permet la disciplines aux côtés de sa compagne Lucie. - Instagram instantssuspendus - photo Antoine Mesnage On installe une ligne pour sublimer la montagne »Plus que la distance, d’autres highlineurs vont davantage privilégier des endroits incongrus » pour leurs aventures. On installe une ligne pour sublimer la montagne, glisse ainsi Antoine Mesnage. Ça nous plaît de nous sentir pionniers lorsqu’on ouvre une voie comme celle entre les aiguilles d’Arves. » Le photographe et vidéaste annécien de 27 ans accorde une place prépondérante à la dimension artistique et esthétique de la c’est un rêve que partageaient Antoine Cretinon et Camille Le Guellaut, celui de parcourir les 480 m rejoignant deux aiguilles d’Arves, entre Savoie et Hautes-Alpes, situées à la même altitude m. Cette incroyable ligne, qui a mobilisé 12 personnes pour sa colossale installation prouve à quel point chaque gros projet de highline, aux frontières de l’alpinisme, se doit d’être collectif. Drone et fil de pêche se révèlent précieuxCar les athlètes font face à un sacré casse-tête, avec des points d’ancrage à déterminer, comme des pierres et des arbres. L’équipe d’Arves-en-ciel, qui a dû monter un dossier en amont pour obtenir une autorisation aérienne de la Direction générale de l'aviation civile DGAC, a aussi opté pour l’option la plus confortable » afin de dérouler peu à peu l’intégralité de sa ligne envoyer sur l’aiguille d’arrivée un drone transportant un fil de pêche. Kamoulox de avant de déboucher sur cette traversée de 480 m au rythme très variable, de 25 minutes pour Antoine Cretinon à 55 minutes pour le troisième compère Théo Sanson, tous ont fait leurs gammes sur une slackline entre deux arbres, le plus souvent pieds nus. Une fois le bagage technique nécessaire maîtrisé dans ces conditions, les mordus d’outdoor, comme notre triplette d’Antoine, ne traînent pas avant d’envisager la highline, et même la skyline donc, lorsqu’il s’agit de se confronter à la haute montagne. On doit apprendre à débrancher le cerveau »A les entendre, la maîtrise du départ assis est le véritable sésame pour les grands espaces. Bienvenue alors dans la gestion d’une peur a priori incomparable avec les autres disciplines extrêmes. C’est quelque chose qui n’est pas du tout humain, raconte Antoine Mesnage. On doit apprendre à débrancher le cerveau, à se mettre dans sa bulle. J’ai dû accepter que j’étais apte à installer une ligne, que j’étais sûr qu’elle allait bien tenir, pour dompter cette peur. Mais elle est toujours là, et heureusement, car elle t’évite de faire des bêtises. »Tout est en effet doublé en highline, des sangles aux cordes de sécurité. Cela n’a pas empêché Antoine Cretinon 26 ans, pourtant habitué d’escalade et de ski freestyle/freeride de sortir marqué » de sa première fois près du lac du Bourget Savoie.J’ai fait face à une limite. Je n’ai pu effectuer que deux pas, c’était beaucoup trop pour moi. Mais les nuits qui ont suivi, j’ai beaucoup repensé à cette traversée et c’était plus fort que moi, il fallait que j’y retourne. Pendant un certain temps, c’était automatique dès que je remettais les pieds sur le sol, j’avais envie de retourner sur la ligne. Mais tout cela était tellement perturbant qu’au début, je ne prenais du plaisir qu’après coup. Puis on comprend qu’on est comme dans un monde parallèle. » Quand je sens que je suis stressé, je peux me jeter exprès »Ce sport autodidacte », qui n’a pas de fédération, nécessite un relâchement physique et mental total ». Ingénieur à Grenoble lorsqu’il se trouve sur la terre ferme, Antoine Cretinon s’entraîne par exemple en pratiquant la méditation. Inéluctable, la peur dépend en partie du rapport à la chute qu’ont les athlètes. Ça peut faire du bien de chuter pour se libérer d’un poids, détaille-t-il. Comme c’est facile de remonter très vite sur la ligne, quand je sens que je suis stressé, je peux me jeter exprès. Un ami démarre même assis sur la ligne, avant de systématiquement se balancer dans le vide, puis d’attaquer sa traversée. »Antoine Cretinon est en pleine traversée des aiguilles d'Arves, en juillet 2020. - Antoine MesnageUn étonnant rituel, alors que certains osent parfois se lancer sur une ligne en hauteur sans baudrier, en free solo. Evidemment, la moindre erreur peut être fatale là, qu’on soit à 10 m ou m, mais ça n’est pas de la folie car on sait se rattraper à la ligne si on tombe, rappelle Antoine Mesnage. On n’est pas des trompe-la-mort, d’ailleurs 99 % des projets de highline se font en étant accrochés. » Les quelques décès liés à la highline dans le monde concernent surtout des chutes durant l’installation de la ligne, ou des points d’ancrage ayant Paulin a fait exploser médiatiquement la highline en France On risque des blessures bien plus graves en tentant des figures sur une ligne à un mètre du sol [trickline] qu’en cas de chute dans le vide en skyline, dont on se rattrape toujours », assure Antoine Paulin, qui fait figure de GOAT de la highline en France, notamment depuis son record de la plus longue traversée en milieu urbain en 2017, avec les 670 m séparant la Tour Eiffel du Trocadéro, a évidemment contribué à l’essor médiatique de la discipline depuis 10 ans. Mais les perspectives sportives et artistiques infinies que semble permettre la highline font aussi sa jeune Savoyarde Tania Monier, qui joue parfois de la flûte traversière en highline, a déjà traversé une ligne d'1,4 km en Suisse. - Louise Gouvion Jouer de la musique sur une ligne, c’est une sensation magique » C’est tellement varié que je n’imagine pas me lasser un jour, savoure la Savoyarde Tania Monier 24 ans. Là, je pratique beaucoup le freestyle, qui explose avec des compétitions, et je joue aussi parfois de la flûte traversière sur la ligne. Je me concentre bien plus sur la musique que sur mon équilibre, et j’oublie carrément que je suis au-dessus du vide. C’est une sensation magique. » La compagnie Houle Douce, créée en 2016 à Marseille, avec notamment Louise Lenoble, propose même dans le monde entier des spectacles aériens mêlant musique live et highline. Aujourd’hui guide de haute montagne, Antoine Moineville 37 ans a pris du recul avec la highline. Il garde un touchant regard sur cette discipline qu’il a contribué à lancer en France Le mariage highline-haute montage est magnifique. Ce funambule qui passe entre deux montagnes de manière éphémère, ça me fascine toujours ». De quoi rendre ces innombrables exploits d’highlineurs aussi immortels qu’Highlander, non ? Lété est de retour et si de nombreuses relations ont changé au cours de l'année passée, ces amis réalisent qu'il est impossible de lutter contre certaines attirances. Bundle Offers Regarder Trois mètres au-dessus du ciel saison 2 en streaming IL NE S'AGIT PAS D'UN CANULAR... Telle est l'histoire véridique de la "soucoupe volante" de Quarouble. Le commissaire d'Onnaing, comme les enquêteurs des services de sécurité de l'air, refusent d'en dire davantage pour l'excellente raison qu'ils ne connaissent rien d'autre. Tout ce qu'ils ajouteraient s'éloignerait de la vérité et entrerait dans le domaine des déductions et des suppositions. On peut admettre d'abord que M. Dewilde, voulant faire parler de lui, à inventé, de toutes pièces, cette rocambolesque histoire. "S'il en était ainsi, m'a répondu M. Gouchet, M. Dewilde serait, à l'heure actuelle, en prison pour outrage à magistrat. J'ai l'habitude des interrogatoires, et je puis certifier que M. Dewilde n'invente rien. C'est aussi l'opinion recueillie par la police de l'Air. On n'imagine pas une histoire semblable sans se trahir, à un moment ou un autre." Il existe aussi des éléments qui prouvent la bonne foi du témoin. Il a parcouru, en pleine nuit, une quinzaine de kilomètres pour avertir les autorités. Il présentait les signes de la peur. ... NI D'UNE HALLUCINATION COLLECTIVE Mais si M. Dewilde n'a pas voulu tromper, il a pu se tromper. Ne fut-il pas victime d'une hallucination? M. Gouchet répond aussi à cette question. "Je l'ai pensé, moi aussi. Aussi, ai-je examiné les dernières lectures de M. Dewilde. Le soir de l'événement, il lisait un hebdomadaire dans lequel il n'est aucunement question de soucoupes volantes." Il n'est pas farci de romans d'anticipations, et lit seulement quelques illustrés en plus de son quotidien." M. Dewilde est d'ailleurs un homme pondéré et sensé, et il n'était en aucune façon prédisposé à "voir une soucoupe volante." D'ailleurs, c'est seulement lorsque l'appareil s'est envolé qu'il a pensé aux "soucoupes". Jusqu'alors, il prenait la masse sombre pour un chariot chargé de foin, et les deux hommes pour des fraudeurs. D'autre part, plus de dix personnes ont déclaré avoir vu, ce soir-là, aux environs de 20 h 30, soit une "boule de feu", soit un "disque laissant échapper une traînée de feu" dans le ciel. Tous les témoignages concordent pour affirmer que le disque se dirigeait vers Anzin. Or, c'est bien vers cette direction que M. Dewilde a vu s'éloigner cette chose mystérieuse qui reposait sur la voie ferrée. Faut-il alors supposer qu'il y a eu hallucination collective de gens qui ne se connaissaient pas et ne se trouvaient pas ensemble à ce moment? Les uns bavardaient sur le pas de leur porte, les autres fermaient la fenêtre de leur chambre, certains, enfin, rentraient chez eux. Dernier point à éclaircir qui étaient ces "petits hommes". Dans sa déclaration, M. Dewilde dit qu'ils ne dépassaient pas un mètre. Il pensa d'abord qu'ils s'agissait d'enfants, puis de "fraudeurs portant un lourd fardeau." Enfin, il aperçut qu'une "espèce de scaphandre" les recouvrait. Tout cela est-il invraisemblable? Auparavant, il est bon de préciser que 1° la scène ne dura pas trente secondes; 2° la nuit de vendredi à samedi était fort obscure; 3° le vent soufflait avec force. M. Dewilde n'eut donc pas le temps "d'examiner" les individus. Il aperçu des ombres et sa lampe lui permit de constater qu'elles étaient revêtues d'un habit spécial. Mais les aviateurs ne sont-ils pas munis, eux aussi, d'une combinaison ample et d'un casque spécial leur permettant d'affronter les hautes altitudes? Des hommes, de taille moyenne, courbés pour ne pas être vus, ne peuvent-ils pas paraître comme de "petits hommes" d'autant que l'ampleur de leur combinaison les rapetisse encore? Ces suppositions plausibles que la police émet autorisent à croire en la sincérité du témoin. Paris-Presse France, 16 septembre 1954 LA RENCONTRE D'ANTOINE MAZAUD, BUGEAT, FRANCE 1954 L'article ci-dessous est paru dans le journal Paris-Presse, de Paris, France, le 16 septembre 1954. Le cigare du Martien bavard a survolé Limoges LIMOGES, 15 septembre. - Un habitant de Limoges, M. Georges Frugier, 30 ans, déclare avoir aperçu, le 10 septembre, peu après 20 h. 30, sillonnant le ciel d'Est en Ouest, un disque rouge qui laissait échapper une traînée bleutée. Or, le jour et l'heure de cette observation coïncident avec l'étrange rencontre du cultivateur de Bugeat Corrèze, M. Antoine Mazaud, qui affirme avoir eu un entretien avec le passager d'un" cigare volant." M. Frugier fit part à sa famille du spectacle dont il avait été le témoin mais il rencontre un franc scepticisme. Cependant, la publication dans la presse, ce matin, de l'aventure survenue à M. Mazaud, imposa un rapprochement Limoge est située au nord-ouest de Bugeat, direction prise par le mystérieux engin, d'après les déclarations du cultivateur. La Croix France, 16 septembre 1954 LA RENCONTRE D'ANTOINE MAZAUD, BUGEAT, FRANCE 1954 L'article ci-dessous est paru dans le quotidien La Croix, de Paris, France, le 16 septembre 1954. Mars... ou rêve! Que voulez-vous, toutes ces histoires de soucoupe [illisible] Et si M. Mazaud, de Bugeat Corrèze avait vraiment reçu le baiser d'un martien?... Nos incrédulités auraient bonne mine... D'autant qu'il y a un autre témoin, en la personne de M. Frugier, de Limoges, qui a vu, au jour et à l'heure même où prenait fin la rencontre aussi affectueuse qu'interplanétaire de Bugeat, un disque rouge sillonnant le ciel d'Est en Ouest. Or, Limoges est au nord-ouest de Bugeat, direction prise par le mystérieux engin selon les déclarations faites par le cultivateur corrézien. Il y a là plus qu'un rapprochement... Quotidien de la Haute-Loire France, 19 septembre 1954 L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le quotidien de la Haute-Loire, France, 19 septembre 1954. LES SOUCOUPES VOLANTES SONT UNE MANIFESTATION DE LA FOUDRE Déclare un astronome allemand M. Haffner, professeur d'astronomie à l'université de Hambourg a publié dans l'hebdomadaire Die Zeit, un article dans lequel il déclare que toutes les soucoupes volantes qui ont été vues jusqu'à maintenant peuvent être classées en quatre groupes 1 Les hallucinations; 2 Illusions d'optiques trompant même l'objectif de l'appareil photographique. Les prétendues photographies de soucoupes volantes sont des reflets souvent constatés quand on prend des photos à contre jour; 3 Ballons météorologiques; 4 Objets volants inconnus. Tous les objets de la quatrième catégorie peuvent être expliqués par ce que l'on sait des boules de feu produites par la foudre. Ce phénomène se produit rarement et l'on ne possède que deux ou trois photographies. La majeure partie des boules de feu produites par la foudre sont observées à moins de 200 mètres de hauteur et ont un diamètre de 20 à 100 centimètres. Mais une plus grande quantité d'énergie se trouve libérée quand les éclairs éclatent à haute altitude, et naturellement plus les boules de feu sont grandes. On en a vu ayant 200 mètres de diamètre et à dix kilomètres d'altitude. Le professeur Haffner ajoute qu'en raison de leur rotation les boules de feu sont souvent aplaties. Or les descriptions de soucoupes volantes parlent d'objet ayant la forme de disques ou de cigares et précisent que les objets tournaient sur eux-même. Les boules de feu émettent souvent des rayons lumineux très brillants, ce qui correspond encore aux récits des gens qui disent avoir vu des soucoupes. De même elles peuvent changer de forme et de direction en moins d'une seconde, tout comme les soucoupes. Ces changements de direction s'expliquent aisément par l'influence des champs magnétiques. Enfin les boules de feu se désintègrent toujours brusquement, parfois silencieusement, parfois avec une forte détonation. Le Courrier de l'Ouest France, 19 septembre 1954 LE CAS DE MARCILLY-SUR-VIENNE DANS LA PRESSE, FRANCE, 1954 L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Courrier de l'Ouest, Angers, France, le 19 octobre 1954. Les visiteurs de l'espace, ces inconnus Le Martien les regardait en silence et lorsque Georges Gatay, le chef de chantier qui se sentait envahir d'une étrange torpeur leva les yeux vers le bord de la carrière, la plus fantastique apparition qu'il eut pu imaginer le cloua sur place. Cela se passait voici deux semaines à peine, et depuis l'étrange visite, ce solide garçon d'une trentaine d'années ne mange presque plus et ne dort guère. Il était à peu près 16 h 30 et les cinq compagnons extrayaient de la carrière de Marcilly-sur-Vienne des graviers et des pierres pour les Ponts-et-Chaussées à l'aide d'une pelleteuse mécanique et d'un certain nombre de machines bruyantes. Creusée au bord de la route de Nouatre, cette carrière est la seule excavation au milieu d'une vaste plaine dégarnie d'arbres. Ces cinq ouvriers, MM. Rougier, Séché, Berois, Lubanevic et Villeneuve, en attendaient un sixième, M. Amirault, le chauffeur d'un lourd camion qui venait faire le plein. L'air ensoleillé de cette fin d'après-midi était limpide et sans le moindre nuage. C'est alors que la chose arriva... "Je n'ai pas la berlue, pensas Georges Gatay en se passant la main sur les cheveux, c'est bien une soucoupe volante et un Martien." Successivement, ses camarades de travail regardèrent dans sa direction et firent la même réflexion. Un objet circulaire, surmonté d'un dôme d'un gris métallique, se tenait immobile à environ un mètre du sol. Il semblait que des pales tournant à très grande vitesse y étaient attachées. L'ensemble avait l'apparence d'un bol renversé. Mais le plus étrange de tout était ce petit être d'un mètre cinquante-cinq environ, qui se tenait immobile devant. Vêtu d'une sorte de combinaison plastique, chaussé de bottillons de même matière, il portait sur la tête un casque opaque qui lui couvrait le visage. "Une sorte de projecteur émettant une lueur très douce était fixé sur sa poitrine et attirait nos regards", racontèrent les témoins par la suite. "A la main l'être d'un autre monde tenait une espèce de revolver ou de tube de métal. L'apparition ne dura qu'une minute et demie peut-être, puis l'individu disparut peu à peu comme une image qui s'efface sur un écran et l'appareil remonta par saccades brusques vers le ciel. Arrivé à une centaine de mètres du sol, il s'entoura d'un nuage circulaire, rappelant une fumée blanche artificielle et disparut." C'est à ce moment-là qu'arrivait M. Amirault. De la cabine de son camion il n'eut que le temps d'apercevoir l'étrange machine avant qu'elle ne disparaisse dans le nuage. Aux enquêteurs qui les pressaient de questions, les témoins de cette visite astrale ont répondu catégoriquement "nous ne sommes pas des illuminés, nous sommes sûrs de ce que nous avons vu." Aujourd'hui, ces témoins sont beaucoup moins catégoriques. Leur petite histoire a fait son chemin et devant la population narquoise et sceptique, ils ont adopté l'attitude la plus prudente celle du silence. D'autres personnes en France ont vu ou touché ces êtres mystérieux. Un enfant de Morez qui n'avait jamais entendu parlé de soucoupes volantes a dit avoir été embrassé par un être "haut comme une porte et brillant comme une armoire à glace", et les fessées n'ont pas pu faire taire ce gamin de 12 ans. Enfin voici la bombe à retardement. Un Anglais se déclare le premier terrien à être entré en contact avec un Martien. "Il avait un charmant sourire comme peu de terriens en ont." Et Cedric Allingham qui va faire paraître à Londres le récit de cette brève rencontre leva le bras pour saluer le Martien qui lui répondit courtoisement. Cet Anglais, féru d'astronomie et ornithologue professionnel, n'a pas eu la berlue lui non plus et a fourni à l'appui de ses dires plusieurs photographies et le témoignage juré d'un paysan témoin de la scène. L'ouvrage de C. Allingham sera d'ici peu traduit en français et les curieux auront alors tout le loisir d'en faire la critique. Retenons-en seulement la séduisante description du visiteur de l'espace. Il était grand, bien proportionné et sa voix évoquait un bruit de source vive. Les seuls détails insolites dans cette silhouette étaient deux petits tubes reliés par un fil engagé dans les narines de l'inconnu et lorsqu'il se retourna une étrange patte de bretelle dont l'utilité n'a pas été découverte. Attendons que la chose d'un autre monde veuille bien atterrir à nouveau pour nous l'expliquer. "Les soucoupes volantes ont atterri". Sous ce titre, le grand champion des relations diplomatiques interplanétaires Georges Adamski lança aux le récit de ses conversations passionnantes avec les Vénusiens. L'ouvrage fut un best-seller aussitôt traduit et plusieurs fois réédité, mais les déclarations de l'auteur trop impressionné, semble-t-il, par les récits d'anticipations n'ont pas encore reçu de confirmation et n'en recevront peut-être jamais. Comme Cédric Allingham, Adamski étaie son récit d'empreintes de pas vénusiens moulées en plâtre de Paris et de photographies de leur merveilleux appareil volant. Il eut même, paraît-il, le grand honneur de se promener pendant vingt minutes dans l'un de ces engins et put s'entretenir longuement avec les Vénusiens sans ouvrir la bouche... par transmission de pensée. H. G. Wells est très nettement battu par Adamski et l'auteur de la "Guerre des Mondes" n'avait guère d'imagination. [Légendes photos] Ceux qui "en" ont vu Mme GUILLMOTEAU en VendéeGeorges GATAY, chef de chantier en TouraineLe jeune Henri CLEMENT dans les Deux-Sèvres Le Provençal France, 20 septembre 1954 LA VAGUE FRANCAISE DE 1954 DANS LA PRESSE L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provençal, France, le 20 septembre 1954. UNE SOUCOUPE VOLANTE A VICHY Vichy De nombreux Vichyssois ont déclaré avoir observé, au cours de la nuit de samedi, un engin lumineux ayant la forme d'une soucoupe et qui se déplaçait dans le ciel à vive allure. L'engin, a ajouté M. Isnardon, un des témoins, a disparu presque aussitôt. Quotidien de la Haute-Loire France, 22 septembre 1954 OVNI SUR ROME, 1954 L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le quotidien de la Haute-Loire, France, le 22 septembre 1954. UN ENGIN MYSTERIEUX A SURVOLE ROME Un engin mystérieux a traversé vendredi [17 septembre 1954] le ciel de Rome, il a pu être observé durant quarante minutes par la station d'observation du commandement militaire de l'aérodrome de Ciampino. Selon les renseignements donnés par l'aérodrome, il s'agit d'un appareil ayant la forme d'un demi-cigare, volant à une vitesse réduite à environ 1000 mètres d'altitude. Une traînée lumineuse se dégageait de son extrémité plus étroite. En suivant l'évolution de l'engin, la station d'observation de Ciampino a constaté que celui-ci a fait à un moment une chute de 400 mètres pour reprendre de l'altitude en passant de la position horizontale à la verticale. Au moment où l'engin s'éloignait vers la mer, la station de Ciampino signalait la présence à la station militaire de contrôle de Pratica Di Mare, à une trentaine de kilomètres de Rome qui a réussi à le capter dans son radar et à le suivre pendant une vingtaine de minutes. Le radar aurait signalé la présence d'une antenne au centre de la partie la plus large du demi-cigare. L'observatoire de Mont Matio Rome a exclu qu'il puisse s'agir d'un bolide, aucun corps céleste n'ayant traversé le ciel de Rome pendant la journée. La présence de l'engin a été remarquée à 16h45 GMT et il a disparu en direction nord-ouestà 18h28 GMT. Le Provençal France, 22 septembre 1954 LA VAGUE FRANCAISE DE 1954 DANS LA PRESSE L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provençal, France, le 22 septembre 1954. UNE SOUCOUPE silencieuse et fumante dans le ciel raphaélois Saint-Raphael Ouvrier boulanger chez M. Justin Rabbia, rue Marius-Allongue, M. Giraud se trouvait hier matin à 4 h. 30 à la fenêtre du fournil de son patron lorsqu'il aperçut, traversant le ciel et se dirigeant vers le massif de l'Estérel un engin d'environ trois mètres de diamètre se déplaçant très rapidement et laissant derrière lui une traînée de fumée et une lueur rouge. A noter que cet engin ne faisait aucun bruit. Avant que M. Giraud n'ait eu le temps de réaliser, la soucoupe avait disparu par delà les monts. Le Provençal France, 22 septembre 1954 SOUCOUPES EN EUROPE, 1954 L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provençal, France, le 22 septembre 1954. DE MYSTERIEUSES BOULES DE FEU empêchent les 194 habitants d'un village hollandais de dormir La Haye Les 194 habitants du petit village de Zuilaarderveeb dans le Groningus, sont atteints d'insomnie collective depuis une semaine, craignant d'être à leur tour victimes d'une invasion de boules de feu qui selon les affirmations de l'un des agriculteurs du village, M. Van der Veen, s'est produite dans son propre domicile. M. Van der Veen devisait l'autre soir, dans le lit clos à la mode de Bretagne, qu'il partage avec Mme Van der Veen, lorsqu'il remarqua qu'une petite boule de la taille d'une bille, émettant une lueur jaune et entourée d'un cercle noir, flottait au-dessus du lit. Comme il essayait de l'attraper, la boule se mit à grandir et disparut. Quelques instants plus tard, sous les yeux horrifiés de M. et Mme Van der Veen, une quinzaine de petites boules se formèrent brusquement et se mirent à rouler sous les couvertures. Le couple sauta du lit et pendant que M. Van der Veen s'efforçait, d'une main tremblante, d'allumer une lampe à pétrole, les boules s'élevèrent et se confondirent en un long ruban, lequel fit en se tortillant comme un serpent le tour de la chambre pour disparaître au moment même où la lampe s'allumait. L'aventure de M. Van der Veen, appuyé par le crédit de sa solide personnalité, a rencontré peu d'incrédules dans son village, et s'est frayée un chemin jusqu'aux grands journaux hollandais. SELON DES SAVANTS ROMAINS Le "cigare" qui a survolé Rome est un aéronef de type inconnu Rome Le "cigare volant" qui a été observé vendredi après-midi, dans le ciel de Rome, fait l'objet d'études confidentielles dans le grand observatoire astronomique de Rome. Des milliers de personnes ont pu voir l'engin qui a évolué longuement au-dessus de Rome, à mètres d'abord, puis est descendu beaucoup plus bas. Il laissait derrière lui une traînée légère de fumée blanche qui partait de l'extrémité la plus étroite du cigare. Les techniciens du radar de l'aérodrome de Ciampino ont distingué une antenne au milieu de l'extrémité la plus large de l'engin. Celui-ci a la forme d'un cigare élargi et gonflé vers le milieu. Plusieurs savants de Rome, alertés en temps utile, ont pu observer l'appareil, car il s'agissait bien, pour eux, maintenant d'un appareil et non d'un corps céleste "Aéronef de type inconnu jusqu'ici", précisent-ils. A un moment donné, l'engin est descendu brusquement d'environ 400 mètres, puis il s'est mis en position verticale, a repris de la hauteur et, revenant à sa position de vol, a disparu rapidement à l'horizon. Le Quotidien de la Haute Loire France, 22 septembre 1954 CIGARE VOLANT AU-DESSUS DE ANNONAY, 16 SEPTEMBRE 1954 L'article ci-dessous est paru dans le journal Le Quotidien de la Haute Loire, le 22 Septembre 1954. Un cigare volant sur Annonay Jeudi dernier, à 12h15, M. Vialon, retraité des chemins de fer, demeurant à Annonay, se préparait à prendre son repas lorsque son petit fils, âgé de sept ans, qui jouait dans le jardin, lui cria "viens vite voir la soucoupe volante." M. Vialon sortit aussitôt et le spectacle qu'il vit ne fut pas sans le surprendre. Voici le récit qu'il en a fait "Dès que je fus sorti, j'aperçut dans le ciel, se déplaçant silencieusement, dans la direction du nord/sud, un appareil allongé que j'aurais sans doute pris pour un avion s'il n'avait été suivi par une traînée blanche, nettement plus long que lui, peut être huit à dix fois sa longueur, et qui, contrairement à celle produite par certains avions, conservait sa forme rectiligne dans le prolongement de l'engin et gardait toujours la même dimension. La vitesse de cette étrange machine était inférieure à celle des avions qui passent régulièrement et, à l'avant, on distinguait, par instants, une sorte de disque brillant ressemblant à des reflets de soleil sur une partie métallique. Cet appareil mit environ trois à quatre minutes pour traverser le ciel d'Annonay. Puis brusquement, à l'instant où il approchait de la limite de mon champ de vision, il piqua à la verticale et disparut. Pendant cette plongée, la traînée blanche prit immédiatement sa place dans le prolongement de l'appareil et à aucun moment, elle ne s'effilocha dans le ciel comme une traînée habituelle que l'on voit dans le sillage des avions." Un "savant" Allemand "Les soucoupes volantes relèvent de la sottise". Aucun homme raisonnable ne peut croire à la sottise des soucoupes volantes, a déclaré à Wurzbourg, le professeur Otto Hahn, spécialiste allemand des questions atomiques, et lauréat du prix Nobel de chimie 1945. Si les martiens, ou d'autres êtres faisaient des vols de promenade vers la terre, ils nous diraient bonjour, au lieu de croiser à vive allure autour du globe a ajouté le professeur Hahn qui parlait à une réunion scientifique. Le Quotidien de la Haute Loire France, 23 septembre 1954 OBSERVATION D'UN CIGARE VOLANT, 19 SEPTEMBRE 1954, FRANCE Le journal "Le Quotidien de la Haute-Loire," France, a publié l'article suivant le Jeudi 23 Septembre 1954 UN CIGARE VOLANT AURAIT ETE VU SAMEDI DANS LE CIEL DU PUY Samedi, entre 17h et 17h30, alors qu'il était à l'une des fenêtres de l'appartement qu'il occupe, au deuxième étage d'un immeuble de 1a rue des Tables, au Puy, M. Breysse, représentant de commerce, a pu observer comme d'ailleurs plusieurs de ses voisins le passage d'un mystérieux engin, dans l'horizon situé pour lui, entre Vouzac et la Denise. Cet engin, qui paraissait très éloigné, se déplaçait lentement. Affectant la forme d'un cigare coupé en deux, il avançait le coté pointu à l'arrière. Une fumée s'est échappée un court instant de cet appareil qui brillait au soleil couchant et paraissait légèrement doré. Aucun bruit n'a été perçu par M. Breysse, mais celui-ci, qui d'ailleurs précise qu'il ne pouvait s'agir d'une illusion, ajoute qu'étant donné l'éloignement apparent, aucun bruit ne pouvait lui parvenir. Enfin! Le Puy a son cigare et nombreux seront ceux qui envieront M. Breysse de l'avoir aperçu. La Suisse Suisse, 24 septembre 1954 LES OVNIS ET AUTRES MYSTERES, SUISSE 1954 L'article ci-dessous est paru dans le journal La Suisse, le 24 septembre 1954, en page 15. COURRIER JURASSIEN UNE SOUCOUPE VOLANTE! PORRENTRUY, 24 - M. et Mme Périat, garagiste en notre ville, affirment avoir vu dans la nuit de lundi, un disque volant ressemblant à un "soleil lunineux" utilisé au 1er août, placé horizontalement. Les témoins, dignes de foi, disent que la soucoupe volait à la vitesse d'un avion à réaction et a disparu vers le sud-ouest après avoir survolé Porentruy. The Newark Star-Ledger USA, 24 septembre 1954 LA VAGUE FRANCAISE DE 1954 DANS LA PRESSE US L'article ci-dessous est paru dans le quotidien The Newark Star-Ledger, New York, USA, le 24 septembre 1954. LA FUREUR EN FRANCE Une 'soucoupe' file sur le tombeau de Napoleon Pour être quelqu'un en France de nos jours vous devez pratiquement avoir vu une soucoupe volante, de préférence l'une de celles qui sont iridescente et qui changent de couleur comme un juke box. Pouvoir descendre des litres de champagne, ou posséder un château légèrement décrépi ou même être invité à la première d'un film compte à peine. Des soucoupes volantes, et maintenant des cigares volants, sont "observés" pratiquement quotidiennement par des témoins qui sont des citoyens équilibrés, des modèles de probité et de sobriété et des personalités marquantes. La dernière à avoir rapporté les phénomènes était la star de cinéma Michèle Morgan qui a indiqué qu'elle a aperçu un disque lumineux stationnaire au-dessus du dôme des Invalides, là où Napoleon est enterré. "Un vieil homme près de moi l'a également vu," a dit Mlle Morgan. "Mais il est parti en courant." Les soucoupes volantes arc-en-ciel font fureur dans le centre de la France où le dessinateur Jean Besse a dit qu'il en a observé une dans la nuit de vendredi à travers de puissantes jumelles. Il a dit qu'elle a changé de couleur trois fois en quelques secondes. A le Puy, à l'ouest d'ici, le propriétaire d'hôtel Marcel Maillet a dit qu'il a vu une soucoupe iridescente changeant de couleur comme un juke box. Louis Moll, un garde-barrière à Oberdorff a indiqué qu'il a vu une soucoupe "atterrir" dimanche dernier. "Il était environ 1515," a-t-il dit. "Mes yeux ont été aveuglés par une grande masse lumineuse qui a semblé toucher le sol près du village de Tromborn. Tandis qu'elle s'est approchée de la terre, la couleur a changé en ce qui m'a semblé être celle des tubes néon. Cela avait la forme d'un petit autobus. "CA A TOUCHE le sol pendant environ 40 secondes ... Finalement il a volé au loin, droit vers le haut dans le ciel, éclairé par une lueur orange qui s'est changé en rouge. Je n'ai rien entendu." A Origny en Tierache, Robert Chovet, son épouse et beau-frère roulaient dans la nuit de mardi de nuit quand, dit-il, ils ont pratiquement percé une soucoupe volante. "Elle a été stationnaire à plusieurs mètres devant nous," a-t-il dit. "Un énorme disque orange juste environ au niveau des arbres. Il a été immobile pendant plusieurs secondes et puis a filé directement vers le haut avec une vitesse vertigineuse. " Le Quotidien de la Haute Loire France, 25 septembre 1954 VAGUE D'OBSERVATION EN FRANCE EN SEPTEMBRE 1954 L'article ci-dessous est paru dans le journal régional "Le quotidien de la Haute-Loire," le Samedi 25 Septembre 1954 CIGARES VOLANTS DANS LE CIEL DE FRANCE Le mystérieux engin, communément appelé cigare volant, signalé dans le Puy de Dôme et dans le ciel de Rome, a été aperçu, Samedi 18 septembre, à 19h très précise, par trois habitants dignes de foi de Lodève, au nord du département de l'Hérault, alors qu'il évoluait à 1500 mètres d'altitude environ. L'objet se dirigeait vers le sud. Les témoins ont pu observer pendant près de cinq minutes un avant fuselé, remorquant un globe brillamment éclairé rouge feu et se déplaçant sans bruit, approximativement à la vitesse d'un avion ordinaire. Deux gendarmes l'ont vu... Et fait un rapport à leur chef. Rentrant de tournée au cours de la nuit de mardi à mercredi, deux gendarmes de Châteauroux, MM. Coutaud et Peninon, ont déclaré à leur chef avoir vu, entre 21h15 et 21h45 21/09/1954, au-dessus de la Fleuranderie, commune de Montierchaume Indre un engin lumineux immobilisé dans le ciel, à une hauteur d'environ 1500 mètres d'altitude, puis deux autres de couleur verdâtre à une plus grande altitude. Les trois mystérieux objets, après avoir viré à angle droit, auraient pris la direction nord/ouest, sud/est. Le garde champêtre était là... M. Louis Moll, garde champêtre à Oberdorf Moselle a déclaré avoir aperçu, dimanche 19/0/1954 aux environs de 21h15, une intense lueur venant de l'espace et touchant terre à l'est de Tromborn. Cette lueur, semblable à celle d'un tube au néon, a ajouté le garde, et provenant d'un objet aux proportions assez vastes, changea de couleur. Elle devint rougeâtre et M. Moll affirme avoir vu des points noirs évoluer silencieusement. L'objet, immobile pendant près de 40 secondes, s'est mis en rotation et a effectué une ascension presque verticale, prenant l'aspect d'une boule orange et s'aplatissant avant de disparaître à une vitesse vertigineuse dans la direction sud/est. La durée totale du phénomène a été d'une minute environ. Qu'en pense le secrétaire d'état à l'air? Ces évolutions d'engin mystérieux dont un nombre croissant de personnes sont ou croient être les témoins commencent cependant à intriguer l'opinion. Aussi M. de Léonard, député de la Seine, vient-il, dans une question écrite, de demander au secrétaire d'état à l'air 1 Si les instructions ont été données pour que ces phénomènes soient systématiquement et scientifiquement observés; 2 Si ces soucoupes ou cigares ne pouvaient pas être pris en chasse pour être mieux observés, afin que le public sache exactement s'il s'agit d'autosuggestion collective à dissiper ou s'il y a lieu de tenir compte de ces phénomènes au point de vue de sécurité et de la Défense Nationale. La Suisse Suisse, 25 septembre 1954 OBJET LUMINEUX, SUISSE 1954 L'article ci-dessous est paru dans le journal La Suisse, le 25 septembre 1954, en page 13. COURRIER VALAISAN TOUJOURS LES SOUCOUPES VOLANTES ? SION, 25 - La nuit dernière, entre minuit et 2 heures, plusieurs personnes de St - Léonard ont assisté à un phénomène extraordinaire. Elles ont observé, haut dans le ciel un objet lumineux qui se déplaçai, allait, venait, changeait de couleurs. Il était plus gros qu'une étoile. Des automobilistes ont confirmé le récit de ces personnes. De là à croire qu'il s'agissait d'un soucoupe volante... Le Méridional France, 26 septembre 1954 L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Méridional, France, page 7, le 26 septembre 1954. "CIGARES" ET "SOUCOUPES" APERCUS EN AUVERGNE CLERMONT-FERRAND. - Six habitants de Langeac Haute-Loire ont vu une lueur blanche se déplacer dans le ciel en direction du Sud. Une habitante de Gelles Puy-de-Dôme, Mme Vve Melles, a affirmé avoir aperçu dans le ciel un engin lumineux de forme allongée "dans le genre d'un cigare". L'engin se déplaçait sans bruit. Un habitant de Clermont-Ferrand cueillait des champignons il a aperçu dans le ciel, à haute altitude, une traînée lumineuse "légèrement colorée en rose". Des joueurs de rugby à l'entraînement au stade de Vichy ont aperçu un "cigare volant". ... et près de La Rochelle LA ROCHELLE. - A Charron Charente-Maritime trois pêcheurs et un douanier déclarent avoir aperçu, au cours d'une de ces dernières nuits, une formation de soucoupes volantes évoluant très bas et survolant le rivage avant de disparaître Le Provençal France, 27 septembre 1954 . L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provençal, France, le 27 septembre 1954. Soucoupes irisées et oscillantes Tulle M. Besse, dessinateur à l' à Tulle, a aperçu distinctement vendredi soir, vers 23 heures, au-dessus de la ville, une soucoupe volante. A l'aide de puissante jumelles, il a pu suivre durant quelques instants les évolutions de l'engin qui changea, dit-il, trois fois de couleur en quelques instants. * * *Le Puy M. Mallet, propriétaire de l'Hôtel des Cévennes, au Puy, a aperçu à l'Est de cette ville, un engin changeant de couleur et se déplaçant lentement sans bruit animé, semble-t-il, d'une légère oscillation. Le Midi Libre France, 28 septembre 1954 L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Midi Libre, France, le 28 septembre 1954. Le ciel de France est sillonné de "cigares" et de "soucoupes volantes" Paris. 25 septembre. - De plusieurs localités de France, on signale l'apparition de "cigares" ou de "soucoupes volantes" dans le ciel. C'est ainsi qu'à Charron Charente-Maritime, trois pêcheurs et un douanier déclarent avoir aperçu au cours d'une de ces dernières nuits, une formation de soucoupes volantes évoluant très bas et survolant le rivage avant de disparaître. A Bayonne, des habitants affirment avoir vu, très haut dans le ciel, trois objets mystérieux de teinte claire, tranchant sur le ciel. Un gardien de la paix, M. Corrions, a observé ces trois engins immobiles, disposés en triangle, de forme légèrement ovale. "Ils avaient, a-t-il dit, la dimension Lire la suite à la 2e page Soucoupes volantes d'un ballon de rugby et paraissaient se trouver à une hauteur considérable." Dans la Meurthe-et-Moselle, plusieurs dizaines d'ouvriers de "Sidelor", habitant la région de Lantefontaine-les-Baroches affirment avoir aperçu dans le ciel six cigares volants entre 4 h. 30 et 5 h. 30. "Nous avons d'abord aperçu, ont-ils dit, deux "cigares", puis après, quatre autres appareils sont venus se joindre aux deux premiers. Tous restèrent un moment immobile pour finalement disparaître instantanément. Au Puy, Mme Chaumard, demeurant au quartier de la Girète, a vu dans le ciel un engin ayant la forme d'un cigare rougeoyant à une extrémité, silencieux et paraissant immobile. Elle a pu observer l'engin pendant près d'un quart d'heure, puis le "cigare" a brusquement disparu en prenant de l'altitude. Les mêmes observations ont été faites par six habitants de Langeac Haute-Loire et plusieurs habitants de Gelles Puy-de-Dôme ou de Clermont-Ferrand. Dans cette région, des joueurs de rugby à l'entraînement au stade de Vichy ont aperçu un "cigare volant". Dans l'Aveyron De Villefranche-de-Rouergue dans l'Aveyron, on signale qu'un propriétaire de Vabre-Tézac, M. Marre, a aperçu une masse de couleur jaunâtre qui s'éloignait vers le sud, sans laisser derrière elle la moindre trace de fumée. L'attention de M. Marre avait été attirée par le bruit d'un moteur. D'autres habitants de la localité ont également entendu, de l'intérieur de leur maison, le même bruit, mais n'étant pas sortis, ils n'ont pas aperçu la singulière "masse." L'Yonne Républicaine France, 28 septembre 1954 L'article ci-dessous est paru dans le quotidien L'Yonne Républicaine, France, 28 septembre 1954. UNE SOUCOUPE VOLANTE S'EST POSEE DANS L'YONNE A Diges, deux personnes ont aperçu quelques instants, un mystérieux engin et son pilotedans une clairière Seules preuves deux traces dans la rosée du matinDe nos envoyés spéciaux Notre ciel icaunais a déjà eu l'avantage d'être zébré de diverses apparitions diurnes ou nocturnes. Jamais encore un de ces engins ne s'était posé sur le sol de notre département. Il semble bien que ce soit chose accomplie désormais, puisque deux personnes de Diges ont aperçu, Vendredi matin, à 9 heures environ, un engin de couleur foncée et terne, tapi à l'angle d'une clairière. Sans bruit, l'appareil a disparu avec rapidité et discrétion. HALLUCINATION OU VERITE? Bien que nous ayons accueilli cette information avec beaucoup de circonspection, nous avons été obligés de nous rendre à l'évidence. Un engin inconnu de la technique volante moderne répandue sur notre planète s'est posé, vendredi matin, à Diges. Reprenons les déclarations recueillies. Vous suivrez plus facilement la logique de notre enquête. [Reste de l'article manquant] Notre collaborateur, Jean-Claude CHARLET a reconstitué pour vous l'image vue par Mme veuve GEOFFROY et Mlle FIN. Cliché l'Yonne Républicaine. Le Quotidien de la Haute Loire France, 29 septembre 1954 L'article ci-dessous est paru dans le journal Le quotidien de la Haute-Loire, le Mercredi 29 Septembre 1954. A LA FRONTIERE HISPANO-PORTUGAISE LES MARTIENS ONT CUELLI DES HERBES ET RAMASSE DES CAILLOUXDes visiteurs d'un autre monde ont atterri le vendredi 24 septembre, à 10h du matin en un point situé dans les monts de la Gardunha, à la frontière hispano-portugaise C'est ce qu'a rapporté au journal Diaro de Lisboa un paysan portugais qui, avec trois autres de ses camarades, travaillait dans la région. Une sphère apparut dans le ciel, à l'est, déclare le témoin. Elle volait à une vitesse vertigineuse et lançait des éclairs multicolores. Elle atterrit sans bruit à 200 mètres de nous et deux silhouettes hautes de 2,50 mètres environ en descendirent. On eut dit des hommes d'aluminium. Ces visiteurs cueillirent d'abord des herbes et ramassèrent des cailloux qu'ils déposèrent dans une boite d'un éclat aveuglant. Puis, nous apercevant, ils vinrent à nous et émirent quelques sons. Devant notre incompréhension, ils nous invitèrent par des gestes à monter dans leur engin. Sur notre refus, ils remontèrent dans la machine qui décolla à la verticale et disparut vers le sud aussi vite qu'elle était arrivée. Le témoin a précisé que seuls les "pôles" de la sphère tournaient et que la partie équatoriale était transparente et laissait voir à l'intérieur des ombres mouvantes. [Il sera découvert dès le lendemain que l'affaire ci-dessus était un canular. Ce journal en informera ses lecteurs. Dossier ici.] LES SOUCOUPES S'INTERESSENT DESORMAIS AUX AUTOMOBILES M. Robert Patient, 35 ans inspecteur adjoint des demeurant à Bourges, qui, jeudi soir, se rendait en voiture à Fasselay, en compagnie de sa femme et de ses enfants de onze et dix ans, déclare avoir aperçu cette nuit là, au hameau de Jou, au nord de Bourges, un objet brillant extrême, semblant descendre dans un champ. Au point d'atterrissage présumé, un reflet rougeoyant apparu. Un filament incandescent d'une longueur de cinquante mètres environ se trouvait au centre de l'objet, hémisphérique dont le diamètre approchait d'une quinzaine de mètres. Pendant vingt à trente secondes, ce fut l'obscurité. Soudain, il n'y eut une nouvelle lueur au-dessus de l'horizon. M Patient, qui avait arrêté sa voiture, repartit, suivi silencieusement pendant quelques centaines de mètres par l'objet qui disparut ensuite. D'autres témoins de Bourges, de Saint-Dolchard et de Vierzon affirment avoir aperçu à des heures concordantes, un objet lumineux. Ref. 654] AIME MICHEL Aimé Michel rapporte que le 23 septembre 1954, à 2100 près de Bourges, Robert Patient, inspecteur des postes, sa femme et ses deux enfants, demeurant 32, rue Diderot, à Bourges, étaient en voiture par la route départementale 58 pour se rendre à Vasselay, à 7 kilomètres au nord de Bourges. Ils roulaient depuis quelques minutes lorsque Mme Patient a fait remarquer qu'il y avait de bizarres lueurs semblables à des éclairs de magnésium dans le ciel, dont la source n'était pas apparente. Mais ils n'y ont pas attaché d'importance. Ils avaient déjà oublié l'incident lorsqu'ils ont soudainement vu apparaître vers le nord un objet extrêmement brillant qui évoluait en face d'eux, au-dessus du hameau du Jou, à 5 kilomètres au nord de Bourges. Robert Patient a rapporté "En raison même de la vive lumière qu'il dégageait, il nous fut impossible d'en définir la forme et la grosseur. Il se déplaçait par à-coups, s'éteignait parfois en un point pour se rallumer un peu à côté deux ou trois secondes après." "Tout à coup, il piqua vers le sol et disparut à nos yeux comme s'il avait atterri, et aussitôt, du point d'atterrissage présumé, une vaste luminosité rougeoyante et hémisphérique s'éleva, couvrant au sol une surface dont je suis tenté d'évaluer le diamètre à une quinzaine de mètres, pour autant que mon appréciation subjective de la distance pût être correcte. Du milieu de cet hémisphère lumineux jaillit vers le ciel un filament incandescent long peut-être, sous la même réserve, d'une cinquantaine de mètres. Le spectacle dura vingt à trente secondes, puis tout s'éteignit. Un instant plus tard, la boule aperçue tout d'abord se ralluma, et nous pûmes voir qu'elle avait repris l'air, car elle était au-dessus de l'horizon." "Nous étions arrêtés sur le bord de la route depuis le commencement du phénomène. La nuit était sombre, sans lune, avec un ciel à demi couvert, et un plafond assez bas. Quand il était allumé, l'objet répandait plus de lumière que la lune, éclairant la campagne et le plafond des nuages. Il était toujours au-dessus du Jou, ayant repris sa première position et son premier manège, et nous le regardions depuis quelques minutes après son "atterrissage", lorsque nous eûmes soudain l'impression qu'il se rapprochait de nous à toute allure. Nous le vîmes en effet grossir très rapidement, cependant que sa luminosité augmentait et que les ombres projetées au sol se déplaçaient et devenaient divergentes. J'avoue que nous n'étions pas très rassurés. Alors qu'il se trouvait à peut-être deux cents mètres, nous remontâmes précipitamment dans la voiture et je démarrai sans plus attendre vers le hameau voisin de Fonland, où nous avons des parents. Tandis que nous roulions, ma femme put l'apercevoir à travers les arbres de la forêt de Villaines il semblait nous suivre, et cela dura plusieurs centaines de mètres. Lorsque nous arrivâmes à Fonland, il était encore visible. Mais, en une minute, il s'effaça et nous ne vîmes plus rien. Il était environ 2120." Arrivés très émus chez leurs parents de Fonland, ils racontent ce qu'ils ont vu. Quand la famille Patient a repris la route vers 2200, ils ont roulé cette fois sur la nationale 144, et alors qu'ils commentaient encore avec animation ce qu'ils avaient déjà vu, ils sont repassé à proximité du Jou, et alors qu'ils regardaient le ciel à l'endroit où ils avaient vu les choses une heure avant, un autre objet a soudainement surgit et a traversé le lointain en quelques secondes parallèlement à l'horizon. Ils ont pensé que c'était un autre objet car il avait cette fois une forme plate et allongée, et la couleur rougeoyante n'avait plus rien d'éblouissant. Aimé Michel indique qu'il a choisi de présenter le rapport de la famille Patient parce que c’est le plus complet pour cette observation; mais des cheminots d'Asnières entre le Jou et Bourges, un employée des postes, et d'autres témoins de Bourges et de Saint-Doulchard, un kilomètre au nord de Bourges ont aussi vu de vives lueurs mouvantes du côté du Jou. Parmi tous ces témoins, les plus rapprochés du phénomène furent les Patient, mais les autres ont confirmé que dans la région où ceux-ci roulaient et au moment où ils le rapportent, de bizarres luminosités semblaient jaillir du sol ou d'un point situé trop bas pour être aperçu directement, ce qui peut être dû à la présence de la forêt de Villaines. [Ref. 415] MICHEL CARROUGES Michel Carrouges, faisant quelques tris dans les observations française de 1954, note que cette observation a été faite avec une distance témoin-objet de plus de 200 mètres. [Ref. 152] JACQUES VALLEE L'auteur indique que le 23 septembre 1954 près d'en endroit nommé Le Jou au nord de Bourges, la famille Patient voit un objet brillant émettant une lumière semblable à celle du magnésium. Quand il est sur le sol, il émet une lueur rouge et un étroit rayon de lumière. Un moment plus tard, il s'envole de nouveau, redevient brillant, se dirige vers les témoins et suit leur voiture jusqu'à ce qu'ils atteignent le village de Fontland. Bowen note que des observations indépendantes ont été faites par la police de Plombières et par plusieurs autres personnes. L'objet vola de façon erratique pendant une heure. Jacques Vallée mentionne ici également l'observation à Plombière, mais en indiquant une durée de une heure qui ne correspond pas aux dix minutes notées par Aimé Michel. Voir Plombière pour ce même jour. 151 23 Septembre 1954, 21h00, Le Jou France La famille Patient a été témoin d'un atterrissage d'un objet brillant, émettant une lumière comparable à celle du magnésium, un feu rouge et un étroit rayon lumineux. Il décolla de nouveau un moment plus tard et suivit leur voiture jusqu'à ce qu'ils atteignent Fontland. A Plombières, des policiers et plusieurs témoins isolés observèrent alors l'objet qui survola les environs d'une manière erratique pendant une heure. Le Figaro 27 sept. 1954; Paris-Presse, La Croix, 28 sept. 1954 13; M 69. [Ref. 50] CHARLES GARREAU ET RAYMOND LAVIER Les deux auteurs indiquent qu'à Jou, près de Bourges, le 23 septembre 1954, à 21 heures, selon des coupures de presse et leurs dossiers personnels, Robert Patient, 35 ans, inspecteur adjoint des demeurant à Bourges, était allé passer la soirée, avec sa femme et leurs jeunes enfants, chez ses parents, à Vasselay. La famille venait de quitter ce village pour se rendre à Fonland, où elle a d'autres parents. A ce moment, un objet extrêmement brillant apparaît dans le ciel, au-dessus du hameau de Jou. Les auteurs rapportent le récit de Robert Patient La suite ici Pour faire un trackback sur ce billet Retrouvezles 179 critiques et avis pour le film 3 mètres au-dessus du ciel - Twilight Love, réalisé par Fernando González Molina avec Mario Casas, María Valverde, Álvaro Cervantes.