Livreécrit par Oscar WildeBibliothèque électronique du QuébecA partir de 10 ans. 403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID mZ8zAU3_Cbst9WfTnMl3Rp7HPlPZnXmsj_H0Tn6KBkXbPS0erpPLmQ==
Enrésumé, cette nouvelle série de cahier d’activités publiée par Le Centre de Langue Easy Spanish (Easy Spanish Language Center - ESLC) vous assure une pratique simple de la lecture et améliore le développement de la compréhension en offrant des exercices et textes adéquats tout spécialement conçus pour augmenter la compréhension de l’espagnol comme seconde langue.
Livres Ebooks & liseuses Nouveautés Coups de cœur Livres à prix réduits Bons plans Papeterie Jeux Reprise de livres Le fantôme qui hante le manoir de Canterville depuis trois siècles est désespéré! Les nouveaux propriétaires, de riches Américains, ne croient... Lire la suite 4,50 € Poche Expédié sous 3 à 6 jours 4,50 € Ebook Téléchargement immédiat 4,49 € Téléchargement immédiat 4,49 € Gros caractères Expédié sous 8 à 17 jours 19,00 € Expédié sous 3 à 6 jours Livré chez vous entre le 31 août et le 5 septembre Le fantôme qui hante le manoir de Canterville depuis trois siècles est désespéré! Les nouveaux propriétaires, de riches Américains, ne croient pas aux esprits. Vexé, le pauvre fantôme agite ses chaînes et laisse même une trace de sang dans le salon. Parviendra-t-il à prouver son existence en semant la terreur ? Date de parution 11/03/2021 Editeur Collection ISBN 978-2-07-515209-9 EAN 9782075152099 Format Poche Présentation Broché Nb. de pages 143 pages Poids Kg Dimensions 12,5 cm × 17,8 cm × 1,0 cm Un grand classique de l'humour noir, suivi du Crime de Lord Arthur Savile.
Lefantôme de Canterville et autres contes BeQ. Oscar Wilde Le fantôme de Canterville et autres contes La Bibliothèque électronique du Québec Collection À tous les vents Volume 719 : version 1.0 2 . Du même auteur, à la Bibliothèque : Le crime de lord Arthur Savile 3 . Le fantôme de Canterville 4 . 1 Lorsque M. Hiram B. Otis, le ministre américain, acheta Canterville Chase, tout
Je refuse de lire les traductions, je lis toujours les livres dans leurs langues originale, même si je comprend rien, ne parlant pas les langues autre que le fantôme de Canterville, en anglais, Don Quichotte en espagnol, la bible en hébreu, la divine comédie de Dante en ouais les gars ! Rien a foutre de la langue de molière et ses traductions moisie y'a rien de mieux que la VO C'est comme les séries, sauf que là y'a pas d'images la plupart du temps. Mais les séries c'est pareil, je regarde en VO, même si je capte pas le norvégien ou le e la graine, vous devriez faire pareil
Résumé Le Fantôme de Canterville met en scène un fantôme nommé Sir Simon et un ministre américain, Mr Otis, accompagné de sa famille. À l'arrivée de ces derniers, Lord Canterville, l'ancien propriétaire des lieux, prévient Mr Otis et sa famille que le fantôme de Sir Simon hante le château depuis que ce dernier a tué sa femme Eleonore voilà quelques siècles. Or, ce fantôme
MARCHÉ HEBDOMADAIRE D'ERNÉE MarchéErnée 53500Du 30/08/2022 au 16/05/2023Un marché au cœur du dynamisme Ernéen - Marchés de France Entre tradition et proximité, le marché assure un rôle essentiel d'animation et de convivialité dans la vie de notre ville. Il a ses fidèles, ses inconditionnels et ses visiteurs. On s’y balade, on y devine les odeurs car prendre le temps de faire son marché reste toujours un plaisir... A Ernée, le marché hebdomadaire se déroule tous les mardis matin de 9h à 12h30 place Renault Morlière, rue Nationale, place Mazarin, place Thiers et place de l’Hôtel de Ville. Chaque mardi, ce sont plus d’une trentaine de commerçants non sédentaires qui déballent dans ces rues. Un large choix vous est proposé confection femme et homme, sous-vêtements, chaussures, maroquinerie, CD-DVD, quincaillerie, literie, chaises, nappes, horticulture, primeurs, poissonnerie, boucherie-charcuterie, miel, rôtisserie, crêpes-galettes-saucisses, volailles mortes ou vivantes, etc.
Résumédu chapitre 1:Lorsque M. Hiram B. OTIS le ministre américain achète le domaine de Canter Chase, tout le monde lui dit qu'il faisait une folie car il n
Peu de jours après, Virginia et son amoureux aux cheveux frisés allèrent faire une promenade à cheval dans les prairies de Brockley, où elle déchira son amazone d'une manière si fâcheuse, en franchissant une haie que quand elle revint à la maison, elle prit le parti de passer par l'escalier de derrière, afin de n'être point vue. Comme elle passait en courant devant la Chambre aux Tapisseries, dont la porte était ouverte, elle crut voir quelqu'un à l'intérieur. Elle pensa que c'était la femme de chambre de sa mère, car elle venait souvent travailler dans cette chambre. Elle y jeta un coup d'œil pour prier la femme de raccommoder son habit. Mais à son immense surprise, c'était le fantôme de Canterville en personne ! Il était assis devant la fenêtre, contemplant l'or roussi des arbres jaunissants, qui voltigeait en l'air, les feuilles rougies qui dansaient follement tout le long de la grande avenue. Il avait la tête appuyée sur sa main, et toute son attitude révélait le découragement le plus profond. Il avait vraiment l'air si abattu, si démoli, que la petite Virginia, au lieu de céder à son premier mouvement, qui avait été de courir s'enfermer dans sa chambre, fut remplie de compassion, et prit le parti d'aller le consoler. Elle avait le pas si léger, et lui il avait la mélancolie si profonde, qu'il ne s'aperçut de sa présence que quand elle lui parla. — Je suis bien fâchée pour vous, dit-elle, mais mes frères retournent à Eton demain. Alors si vous vous conduisez bien, personne ne vous tourmentera. — C'est absurde de me demander que je me conduise bien, répondit-il en regardant d'un air stupéfait la petite fillette qui s'était enhardie à lui adresser la parole. C'est tout à fait absurde. Il faut que je secoue mes chaînes, que je grogne par les trous de serrures, que je déambule la nuit, si c'est là ce que vous entendez par se mal conduire. C'est ma seule raison d'être. — Ce n'est pas du tout une raison d'être, et vous avez été bien méchant, savez-vous ? Mrs Umney nous a dit, le jour même de notre arrivée, que vous avez tué votre femme. — Oui, j'en conviens, répondit étourdiment le fantôme. Mais c'était une affaire de famille, et cela ne regardait personne. — C'est bien mal de tuer n'importe qui, dit Virginia, qui avait parfois un joli petit air de gravité puritaine, légué par quelque ancêtre venu de la Nouvelle-Angleterre. — Oh ! je ne puis souffrir la sévérité à bon compte de la morale abstraite. Ma femme était fort laide. Jamais elle n'empesait convenablement mes manchettes et elle n'entendait rien à la cuisine. Tenez, un jour j'avais tué un superbe mâle dans les bois de Hogley, un beau cerf de deux ans. Vous ne devineriez jamais comment elle me le servit. Mais n'en parlons plus. C'est une affaire finie maintenant, et je trouve que ce n'était pas très bien de la part de ses frères, de me faire mourir de faim bien que je l'aie tuée. — Vous faire mourir de faim ! Oh ! Monsieur le Fantôme… Monsieur Simon, veux-je dire, est-ce que vous avez faim ? j'ai un sandwich dans ma cassette. Cela vous plairait-il ? — Non, merci, je ne mange plus maintenant ; mais c'est tout de même très bon de votre part, et vous êtes bien plus gentille que le reste de votre horrible, rude, vulgaire, malhonnête famille ? — Assez ! s'écria Virginia en frappant du pied. C'est vous qui êtes rude, et horrible, et vulgaire. Quant à la malhonnêteté, vous savez bien que vous m'avez volé mes couleurs dans ma boîte pour renouveler cette ridicule tache de sang dans la bibliothèque. Vous avez commencé par me prendre tous mes rouges, y compris le vermillon, de sorte qu'il m'est impossible de faire des couchers de soleil. Puis, vous avez pris le vert émeraude, et le jaune de chrome. Finalement il ne me reste plus que de l'indigo et du blanc de Chine. Je n'ai pu faire depuis que des clairs de lune, qui font toujours de la peine à regarder, et qui ne sont pas du tout commodes à colorier. Je n'ai jamais rien dit de vous, quoique j'aie été bien ennuyée, et tout cela, c'était parfaitement ridicule. Est-ce qu'on a jamais vu du sang vert émeraude ? — Voyons, dit le fantôme, non sans douceur, qu'est-ce que je pouvais faire ? C'est chose très difficile par le temps qui court de se procurer du vrai sang, et puisque votre frère a commencé avec son Détacheur incomparable, je ne vois pas pourquoi je n'aurais pas employé vos couleurs à résister, Quant à la nuance, c'est une affaire de goût ainsi par exemple, les Canterville ont le sang bleu, le sang le plus bleu qu'il y ait en Angleterre… Mais je sais que, vous autres Américains, vous ne faites aucun cas de ces choses-là. — Vous n'en savez rien, et ce que vous pouvez faire de mieux, c'est d'émigrer, cela vous formera l'esprit. Mon père se fera un plaisir de vous donner un passage gratuit, et bien qu'il y ait des droits d'entrée fort élevés sur les esprits de toute sorte, on ne fera pas de difficultés à la douane. Tous les employés sont des démocrates. Une fois à New-York, vous pouvez compter sur un grand succès. Je connais des quantités de gens qui donneraient cent mille dollars pour avoir un grand-père, et qui donneraient beaucoup plus pour avoir un fantôme de famille. — Je crois que je ne me plairais pas beaucoup en Amérique. — C'est sans doute parce que nous n'avons pas de ruines, ni de curiosités, dit narquoisement Virginia. — Pas de ruines ! pas de curiosités ? répondit le fantôme. Vous avez votre marine et vos manières. — Bonsoir, je vais demander à papa de faire accorder aux jumeaux une semaine supplémentaire de vacances. — Je vous en prie, Miss Virginia, ne vous en allez pas, s'écria-t-il. Je suis si seul, si malheureux, et je ne sais vraiment plus que faire. Je voudrais aller me coucher, et je ne le puis pas. — Mais c'est absurde ; vous n'avez qu'à vous mettre au lit et à éteindre la bougie. C'est parfois très difficile de rester éveillé, surtout à l'église, mais ça n'est pas difficile du tout de dormir. Tenez, les bébés savent très bien dormir ; cependant, ils ne sont pas des plus malins. — Voilà trois cents ans que je n'ai pas dormi, dit-il tristement, ce qui fit que Virginia ouvrit tout grands ses beaux yeux bleus, tout étonnés. Voilà trois cents ans que je n'ai pas dormi, aussi suis-je bien fatigué. Virginia prit un air tout à fait grave et ses fines lèvres s'agitèrent comme des pétales de rose. Elle s'approcha, s'agenouilla à côté de lui, et considéra la figure vieillie et ridée du fantôme. — Pauvre, pauvre Fantôme, dit-elle à demi-voix, n'y a-t-il pas un endroit où vous pourriez dormir ? — Bien loin au delà des bois de pins, répondit-il d'une voix basse et rêveuse, il y a un petit jardin. Là l'herbe pousse haute et drue ; là se voient les grandes étoiles blanches de la ciguë ; là le rossignol chante toute la nuit. Toute la nuit il chante, et la lune de cristal glacé regarde par là, et l'yeuse étend ses bras de géant au-dessus des dormeurs. Les yeux de Virginia furent troublés par les larmes, et elle se cacha la figure dans les mains. — Vous voulez parler du Jardin de la Mort, murmura-t-elle. — Oui, de la Mort, cela doit être si beau ! Se reposer dans la molle terre brune, pendant que les herbes se balancent au-dessus de votre tête, et écouter le silence ! N'avoir pas d'hier, pas de lendemain. Oublier le temps, oublier la vie, être dans la paix. Vous pouvez m'y aider, vous pouvez m'ouvrir toutes grandes les portes, de la Mort, car l'Amour vous accompagne toujours et l'Amour est plus fort que la Mort. Virginia trembla. Un frisson glacé la parcourut et pendant quelques instants régna le silence. Il lui semblait qu'elle était dans un rêve terrible. Alors le Fantôme reprit la parole, d'une voix qui résonnait comme les soupirs du vent — Avez-vous jamais lu la vieille prophétie sur les vitraux de la bibliothèque ? — Oh ! souvent, s'écria la fillette, en levant les yeux, je la connais très bien. Elle est peinte en curieuses lettres dorées, et elle est difficile à lire. Il n'y a que six vers Lorsqu'une jeune fille blonde saura amenerSur les lèvres du pécheur une prière,Quand l'amandier stérile portera des fruitsEt qu'une enfant laissera couler ses pleurs,Alors toute la maison retrouvera le calme,Et la paix rentrera dans Canterville. Mais je ne sais pas ce que cela signifie. — Cela signifie que vous devez pleurer avec moi sur mes péchés, parce que moi je n'ai pas de larmes, que vous devez prier avec moi pour mon âme, parce que je n'ai point de foi et alors si vous avez toujours été douce, bonne et tendre, l'Ange de la Mort prendra pitié de moi. Vous verrez des êtres terribles dans les ténèbres, et des voix funestes murmureront à vos oreilles, mais ils ne pourront vous faire aucun mal, car contre la pureté d'une jeune enfant les puissances de l'Enfer ne sauraient prévaloir. Virginia ne répondit pas, et le Fantôme se tordit les mains clans la violence de son désespoir, tout en regardant la tête blonde qui se penchait. Soudain elle se redressa, très pâle, une lueur étrange dans les yeux. — Je n'ai pas peur, dit-elle d'une voix ferme, et je demanderai à l'Ange d'avoir pitié de vous. Il se leva de son siège, en poussant un faible cri de joie, prit la tête blonde entre ses mains avec une grâce qui rappelait le temps jadis, et la baisa. Ses doigts étaient froids comme de la glace, et ses lèvres brûlantes comme du feu, mais Virginia ne faiblit pas, et il lui fit traverser la chambre sombre. Sur la tapisserie d'un vert fané étaient brodés de petits chasseurs. Ils soufflaient dans leurs cors ornés de franges, et de leurs mains mignonnes, ils lui faisaient signe de reculer. — Reviens sur tes pas, petite Virginia. Va-t'en, va-t'en ! criaient-ils. Mais le fantôme ne lui serrait que plus fort la main, et elle ferma les yeux pour ne pas les voir. D'horribles animaux à queue de lézards ; aux gros yeux saillants, clignotèrent aux angles de la cheminée sculptée et lui dirent à voix basse — Prends garde, petite Virginia, prends garde. Nous pourrons bien ne plus te revoir. Mais le Fantôme ne fit que hâter le pas, et Virginia n'écouta rien. Quand ils furent au bout de la pièce, il s'arrêta et murmura quelques mots qu'elle ne comprit pas. Elle rouvrit les yeux et vit le mur se dissiper lentement comme un brouillard, et devant elle s'ouvrit une noire caverne. Un âpre vent glacé les enveloppa, et elle sentit qu'on tirait sur ses vêtements. — Vite, vite, cria le Fantôme, ou il sera trop tard. Et au même instant, la muraille se referma derrière eux, et la chambre aux tapisseries resta vide.
RÉSUMÉ Mr. Otis, riche ministre américain, s’installe avec sa famille en Angleterre, dans le château des Canterville, malgré les avertissements des propriétaires. Ces derniers prétendent que le lieu est hanté par un dénommé Sir Simon. Le monstrueux fantôme va alors tout faire pour effrayer la famille, en vain.
Accueil Bibliocollège Bibliocollège - Le Fantôme de Canterville, Oscar Wilde Mr. et Mrs. Otis, de riches Américains, s'installent en Angleterre avec leurs quatre enfants dans un manoir dont les anciens propriétaires prétendent qu'il est hanté. Les Américains n'en croient pas un mot et prennent possession des lieux sans se soucier de ce fantôme. Pourtant, ce dernier est bien décidé à les terroriser. Mais que va faire le spectre face à cette famille incrédule ? Parviendra-t-il à effrayer des jumeaux de onze ans qui n'ont peur de rien et ne cessent de lui jouer des mauvais tours ? Découvrez ce récit plein d'humour et de surprises dans lequel se mêlent le fantastique, la caricature, le mystère et l'émotion. Bibliocollège propose • le texte intégral annoté, • des questionnaires au fil du texte, • des documents iconographiques exploités, • une présentation d'Oscar Wilde et de son époque, • un aperçu du genre du conte, • un groupement de textes Mystérieuses apparitions ».Et sinon...Votre établissement peut commander chez un libraireCompléments pédagogiquesGuide pédagogique Autres supports de la collection Toute la collection Bibliocollège
LeFantôme de Canterville met en scène un fantôme nommé sir Simon et un ministre américain, M. Otis, accompagné de sa famille. À l'arrivée de ces derniers, Lord Canterville, l'ancien propriétaire des lieux, prévient M. Otis et sa famille que le fantôme de sir Simon hante le château depuis que ce dernier a tué sa femme Eleanore
29 octobre 2009 4 29 /10 /octobre /2009 1349 De Oscar Wilde Format Broché Editeur J'ai Lu Collection Librio Imaginaire Pages 93 Parution 2003 Lorsque Mr Hiram B. Otis, le ministre américain, acheta le domaine de Canterville Case, tout le monde lui dit qu’il faisait une folie car il n’y avait pas le moindre doute que le manoir fût le ministre américain et sa famille n’ont pas vraiment peur des apparitions nocturnes du spectre des lieux. Les jumeaux Otis lui jouent de bien mauvais tours, et les parents ont l’outrecuidance de lui offrir de l’huile pour graisser ses chaînes. Pauvre de lui, jadis si redouté, et désormais dépourvu de toute crédibilité !Oscar Wilde nous livre les secrets de l’humour anglais, chic et grinçant, à travers cinq contes fantastiques empreints de poésie. Continuons notre semaine dans l'imaginaire et le fantastique. Je ne savais pas trop où classer ce livre car il s'agit de Nouvelles, le style humoristique est très présent, mais vu que Librio le classe dans la collection Imaginaire, j'ai donc créé une section Fantastique. Le fantôme de Canterville est une parodie avec un fantôme, Sir Simon. Sir Simon qui hante donc le château depuis qu’il a tué son épouse voilà maintenant quelques siècles. Mr Hiram B. Otis est en voyage en Angleterre et il s’éprend de ce château. Le château est à vendre, il saute sur l’occasion et n’a que faire des balivernes racontées comme quoi le château serait hanté. Fariboles ! Il ne croit absolument pas à cette histoire de fantôme. Il s’installe donc avec sa famille dans ce château hanté. Lorsque la famille pénétra dans l’avenue de Canterville Chase, le ciel s’assombrit d’un coup et un grand vol de corneilles passa silencieusement au dessus de leurs têtes… Arrivés au pas de la porte, c’est l’ancienne gouvernante qui les reçoit. Après avoir traversé un vestibule Tudor, la famille entre dans la bibliothèque et chacun est attiré vers une tache rouge sur le paquet près de la cheminée. La gouvernante explique que c’est du sang et que cela ne s’enlève pas… Euh personne n’y croit trop dans la famille Otis. La 1ère nuit où le fantôme de Canterville fit son apparition dans les couloirs, Mr Otis se leva. Pas vraiment effrayé de cette vision, le ministre américain propose une huile pour graisser les chaînes du fantôme qui font beaucoup de bruits dans les couloirs la nuit. Le pauvre fantôme est totalement dépité car visiblement Mr Otis n’a pas peur de lui. Mais ça ne s’arrête pas là, les jumeaux de la famille Otis prennent un malin plaisir à jouer des tours à ce pauvre fantôme. Là, Sir Simon, notre fantôme doit absolument se reprendre car il compte bien faire déguerpir ces américains de son château. Alors il va devoir innover pour les faire trembler de peur…… D'ailleurs il a bien réussit auparavant à faire mourir de peur plus d’une personne alors !! Bon visiblement les temps ont changé car malgré ses nouvelles tactiques, personnes n’a peur de lui et il va encore subir les outrances de ces américains. Il n’y a que la fille de la famille Otis qui va comprendre ce fantôme. Et je vous laisse lire la suite. Le fantôme de Canterville est suivi d’autres contes, Le prince heureux, Le géant égoïste, L’ami dévoué, Le rossignol et la rose. Cette nouvelle a été souvent adapté en film. Quelle drôlerie !!!! Drôlerie déjà avec cette famille américaine moderne, et drôlerie avec ce fantôme à l’esprit britannique qui tente par tous les moyens de faire mourir de peur cette famille mais qui n’y arrive absolument pas. Personne ne se laisse avoir par les facéties du spectre. Oscar Wilde est un génie de l’humour et du ton satirique. Il nous offre une caricature de la famille américaine moderne et téméraire ; et de la famille britannique, qui est au plus profond d’elle-même, superstitieuse. Une vraie parodie du choc des autres contes de ce petit Librio à 2€ sont tout aussi riches en morales et tout aussi magnifiquement écrits. Et puis alors je ne sais pas pourquoi mais j’adore ce fantôme sur la couverture du livre Librio…En bref, un conte qui allie la drôlerie au fantastique. Avis de Nanne, Keltia
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